Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 18:49

C'était un vendredi soir, comme les autres. Une journée tout à fait ordinaire, sans fait marquant. Ce soir là, j'étais chez Alex, et je venais de prendre une douche en vue de me détendre, et probablement être soumise avant d'aller me coucher. Je ne pensais pas que ça allait venir beaucoup plus tôt que ce que je pensais.

J'ai essayée de m'installer sur le canapé, mais je n'avais pas le droit. Il s'est installé derrière moi pour me tenir fermement par les épaules, et me faire des bisous dans le cou. La réaction était immédiate. Il a soulevé mon haut avant de me caresser les seins, serrant les pointes entre ses doigts. Il me dominait encore, et j'avais envie de ça, moi qui le trouvais "sage" depuis quelques jours. Puis il a baissé ma jupe et mon string, et je me suis retrouvée en bas noirs, toujours dos à lui. Il m'a chuchoté dans l'oreille, "ce soir tu vas découvrir quelque-chose de nouveau!". J'en tremblais... J'étais son étudiante, prête à tout apprendre. Il m'a guidée sur le canapé; les genoux sur le rebord, à quatre pattes. Il est parti chercher quelques jouets dans le tiroir, et je me demandais ce que j'allais découvrir. Il est revenu, mais je ne me suis pas retournée; je n'avais pas eu l'ordre de me relever ou changer de position, alors je restais à quattre pattes, les fesses en l'air et le dos courbé, comme il aimait. Click. Ah, le gel! Puis j'ai sentie son doigt venir entre mes fesses pour me chatouiller l'anus. Depuis quelques semaines déjà, quand il me prenait par derrière, il avait tendance a y glisser un doigt. J'avoue que j'aimais bien, même si je trouvais ça... "bizarre", au début, mais il n'avait jamais commencé directement par ça. Très doucement, son doigt est rentré dans moi, et tout aussi lentement, il est ressorti. En faisant ça, j'avais une bonne dose de gel partout autour. Il pouvait commencer.

J'ai su après ce que c'était comme jouet, mais sur le coup, je ne le savais pas. J'ai sentie quelque-chose, quelque-chose de beaucoup plus petit rentrer en moi, puis un deuxième, et un troisième... Je n'ai pas comptée, mais peut-être une dizaine... Et puis il a commence à les retirer... Je sentais comme une petite boule, et le mouvement provoquait des sensations très étranges, et plutôt agréables. Quand l'objet en question est sorti, il y avait un pic de plaisir, et j'ai du sursauter un peu. Puis le deuxième, puis le troisième... A chaque fois, j'avais des pics de plaisir. Juste un doigt, ça peut être assez agréable, mais là, c'était encore autre chose. Il continuait, mais de plus en plus vite, et au bout d'une petite dizaine d'aller retours, j'étais en train de mordre le canapé. Puis il a tout retiré. Il a recommencé, mais avec un autre jouet, et cette fois çi, les boules étaient bien plus gros. Comme la dernière fois, il en a mis un très doucement, puis un deuxième, et un troisième. Et puis il les a retiré, très doucement, me laissant sentir chaque sensation. Il n'a pas fait comme la dernière fois, il ne voulait pas aller plus rapidement, mais il a fait l'aller-retour trois ou quatre fois. Puis il a tout retiré, et il m'a expliqué.

"Je vais venir en toi; je vais me placer, mais c'est toi qui va faire le travail. Tu pousseras sur moi à la vitesse que tu voudras, prends ton temps, mais je vais venir en toi, et je vais jouir en toi. Tu as compris?"

"Oui". J'étais éssouflée. Je ne m'y attendais pas, je n'avais aucune idée qu'il avait prévu ça. Il s'est positionné derrière moi, et j'ai senti son sexe sur mon anus. Et là, c'était à moi de jouer. J'avais envie de lui faire plaisir, j'ai voulu pousser d'un coup, mais il m'a arrêtée net; "Non, prends ton temps, vas-y très doucement". Alors j'ai obéi, et j'ai très bien fait. Très doucement, je suis venue sur lui; au début je sentais une préssion et une résistance, puis petit à petit ça a commencé à s'ouvrir... puis finalement, la tête est passée d'un coup, et doucement, très doucement, j'ai continuée pour l'accueillir entièrement en moi. Ce n'est pas le plaisir que j'ai ressenti en premier, loin de là. C'était assez douloureux, mais pas une douleur insupportable qui fait envie de crier, mais une douleur qui sous-entend du plaisir derrière (littéralement). Une fois qu'il était entièrement en moi, il a commencé a retirer, puis il en a profité pour mettre un peu plus de gel, et puis lentement, il est revenu dans moi. Il a fait quelques va et vient, et j'ai commencée à ressentir le plaisir à chaque mouvement. Une minute plus tard, c'était plutôt agréable, et une minute plus tard, j'aimais beaucoup. Il commençait à aller de plus en plus vite, en me prenant fermement par la taille, et en m'ordonnant de me caresser. Je l'entendais derrière dire "Mon Dieu que c'est serré, j'adore ça!", et j'ai essayée de serrer encore plus pour qu'il en profite. Ses mouvements étaient fors, mais moins forts et moins vite que si il me prenait comme d'habitude; il prenait soin de moi. A sentir son sexe rentrer et sortir de mon cul, mes doigts qui caresaient mon clitoris, j'étais rapidement aux anges, en train de jouir fort. Après, il m'a raconté que je serrais tellement et que je criais tellement qu'il a joui en même temps! Mon seul regret c'est de ne pas l'avoir bien senti, mais j'ai eu l'occasion depuis.

Normalement je ne fais que raconter, mais cette fois ci je me permet une petite parenthèse. La sodomie, ça peut vraiment être agréable, mais j'ai quelques copines qui ne sont pas du même avis que moi, et une fois que j'entend leur histoire, je comprends mieux. Il faut un petit peu d'entrainement avant de se lancer; en prenant soin de me "préparer" avec son doigt quelques semaines avant, de presque me couvrir de gel et de me détendre avec des jouets, ça piquait un peu avant et un peu après. Ce n'est pas la pratique que nous préférons, mais on pratique quand-même assez régulièrement, mais je suis contente d'être tombée sur lui pour ça; une copine en particulier a dit que son petit ami avait essayé comme ça un soir, sans aucune préparation, et je la comprends quand elle dit qu'elle a eu mal (et lui aussi). Prenez votre temps, préparez-vous bien, et soyez à l'aise avec la personne, si non ça ne sert à rien. Je ne regrette absolument pas, et rien qu'en décrivant ce qui s'est passé, j'ai déjà envie de recommencer. Peut-être ce soir?

Par Ana - Publié dans : Expérience
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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 18:28

Voici la première d'une série de parenthèses. Ici, je ne raconterai pas d'histoire, mais plutôt des pensées. Pour ceux d'entre vous qui ont juste envie de lire mes expériences, ne vous inquiétez pas, j'ai l'intention de publier une histoire avec chaque parenthèse.

Cette fois çi, je vais tenter de répondre à quelques questions que j'ai pu avoir. Ce blog est, pour moi, un espèce de psychothérapie, et qui coute nettements moins cher que les vraies scéances. Alors j'en profite. J'ai essayée de communiquer un peu avec les gens, mais je n'ai pas envie de partager mon MSN ou Yahoo; je n'ai pas envie de répondre à Skype ou donner mon numéro de téléphone. Pour compenser à ça, je me suis connectée sur IRC, j'en avais tellement entendue parler. Les réactions ont été mitigées. J'ai eu des commentaires, des réactions, des mots, et parfois même des insultes. Voici une petite liste de questions...

- Pourquoi es-tu avec quelqu'un de beaucoup plus vieux que toi? Bonne question... Et quelque-part, c'est la question. Je n'ai jamais vraiment été à l'aise avec les enfants de mon âge. Loin de moi l'idée de vouloir passer pour une intello ou quoi que ce soit, mais quand d'autres jouaient à la voiture, à la guerre ou aux poupées, je lisais. Je pouvais passer des journées entières avec une Petite Larousse; en cherchant un article au hasard, il y avait des références vers un autre article, qui avait d'autres références, etc. Arrivée à 15-16 ans, les gens me donnaient déjà plus que mon age, physiquement et mentalement. Je restais à table avec les adultes, et je leur tenais tête avec quelques sujets. Ca m'amusais de citer des auteurs et de voir les réactions, mais en même temps, ça faisait mal. Les mêmes personnes qui étaient si contents que je puisse citer quelqu'un, étaient, en général, ceux qui m'avait pris pour un enfant quelques secondes avant. C'était à la limite de "On va parler de trucs d'adulte, tu veux pas aller regarder les dessins animés à la télé?". Non, je veux pas. Alex était différent, il ne m'avais jamais pris pour un enfant. A ses yeux, j'étais déjà adulte, et j'adorais ça. Je n'ai pas son niveau d'intelligence, ni sa connaisance, et encore moins son expérience de la vie, mais il me le partage, sans jamais m'avoir jugée pour manque de connaissance. Il est fascinant, il est drôle, et surtout, il excite mon plus grand zone érogène, mon cerveau.

- T'es super sexy, tu dois coucher avec tout le monde! Non. Alex est la seule personne que j'ai connu d'une façon amoureuse. J'ai eu d'autres partenaires sexuelles, mais uniquement dans le cadre de mon "initiation". L'histoire précédente le prouve. Je n'ai jamais eu d'autres relations qu'il n'avait pas organisé, et je n'en cherche pas. Seule exception (pour lequel il est d'accord), sur Internet j'ai le droit de faire autant de cybersexe que je veux, mais c'est rare. Encore une fois, il faut que la personne soit capable de titiller me neurones avant tout.

- J'ai une queue de xx centimètres, tu veux pas qu'on se rencontre? Et voilà une des raisons pourquoi je ne me suis pas vraiment entendue avec les garçons de mon âge. Non, je n'ai pas envie de me ballader de personne en personne, de découvrir absolument tout sur tout le monde, et les histoires d'une seule nuit, ça ne m'a jamais intéressée.

- Mais il n'a pas honte d'avoir touché un enfant de ton âge? Je rappelle que c'est moi qui a cherchée, et activement. Pire encore, à ses yeux j'ai toujours été une adulte. Je ne lui ai jamais donnée l'occasion de douter de ça non plus. Physiquement, j'étais peut-être un ado de moins de 18, mais dans ma tête, j'avais beaucoup plus. Il a séduit ma tête, il pouvait avoir mon corps

- Tu penses pas aller voir quelqu'un pour ta dépendance au sexe? Je vois quelqu'un, Alex. Ma dépendance du sexe me convient parfaitement, et peut-être que je suis hors normes (et encore, depuis que j'écris ce blog, je me rends compte que, finalement, je ne suis pas la seule dans ce cas). Et ceci n'affecte pas ma vie. Je n'ai jamais séchée les cours juste pour le sexe (exception faite pour une autre histoire, mais je raconterai ça plus tard), le sexe ne m'a jamais mis en danger physiquement, et je n'ai jamais été en détresse émotionnel à cause de ça. On m'apprend plein de choses, mais au fur et a mesure je prends l'initiative aussi, et on a un mot secret pour tout arrêter. L'histoire viendra plus tard, mais j'ai eu l'occasion de le tester le mot magique, et il a arrêtée en une fraction de seconde; aussitôt après j'avais mon manteau sur le dos, j'étais couverte et pas nue, et il ne m'a pas pris automatiquement dans ses bras, il l'a proposé (que j'ai acceptée volontiers). Je suis heureuse comme je suis, a l'exception près que la société me regarde bizarrement.

- Hummm, mais t'es une sale chienne de merde, j'adore ça! Oui, mais pas moi. Etre sa chienne? Oh, mais j'adore ça. Etre son objet? Oui. Me soumettre entièrement? Carrément. Ajouter des gros mots comme ça? Pas du tout, c'est anti-excitant. Pendant l'action, oui, j'ai souvent le droit à "salope" ou "pute", mais c'est dans une autre contexte; il ne m'a jamais, jamais manqué de respect le reste du temps, et je crois que la seule "insulte" que j'ai eu, c'était "plaie" ou "boulet" quand je faisais une connerie. Ca m'a toujours fait sourire, mais les insultes? Non.

- Mais tu ne mets pas de photos sur ton blog! Et oui, désolée! :-) Depuis le début, je voulais quelque-chose où je pouvais partager ce que j'avais de plus intime, mon esprit. J'ai toujours fait la séparation; quand on pouvait me connaitre physiquement (et voir les photos, ça compte aussi) alors ils n'avaient pas le droit de connaitre ce qui se passait dans mon esprit. Au contraire, ceux qui avaient le droit de plonger dans mon esprit ne pouvaient pas savoir qui j'étais vraiment. J'ai toujours fait la séparation, et désolée pour quelques fans, mais je vais continuer à le faire, pour l'instant. Ceci est mon jardin secret, mon intimité, et j'ai envie de le partager avec des mots.

Par Ana - Publié dans : Parenthèse
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Mardi 13 novembre 2 13 /11 /Nov 18:44

Il était tard quand j'ai frappée à sa porte. Il voulait que je sois là à 22h, et 22h pile poil, pas une minute avant, pas une minute après. Il a ouvert la porte, et m'a fait rentrer. On s'est embrassé, puis il m'a pris la main pour m'emmener dans le salon.

"Enlèves ta robe"

J'ai poussée les bretelles pour laisser apparaitre mon soutien gorge, puis ma robe est tombée par terre, exposant mon string noir et les bas noirs, comme il avait demandé. Je portais des talons aiguilles. Il m'a regardé, content de mon choix.

"Enlèves ton soutien gorge"

Avec un petit strip tease, je l'ai enlevée, le jetant sur lui.

"Enlèves ton string"

Petit strip tease à nouveau, je l'ai enlevé en prenant mon temps, lui montrant mes fesses puis ma chatte offerte, avant de lui lancer mon string. Il l'a ratrappé, et m'a fait un beau sourire. En déboutonnant son pantalon, il m'a ordonnée de me mettre à genoux devant lui.

"Suces-moi, doucement, je ne veux pas jouir tout de suite, je veux prendre mon temps". J'ai pris son membre dans la main, avant de la ponger dans ma bouche. J'étais gourmande, j'avais envie de la sentir en moi, mais il m'a dit d'y aller doucement. Ca ne voulait pas dire que je devais faire trainer les préliminaires.

"Voilà, là c'est bon. Continues à me sucer, peu importe ce qui se passe, t'arrêtes pas!".

Comptes sur moi. De toute façon, qu'est-ce qui ouvait bien arriver? C'est pas comme si... Il y avait un bruit de porte derrière moi, et j'aurais dit un bruit de pas. On n'est pas seul! J'ai sursautée, mais une main ferme et rassurante me tenait la tête fermement. Peu importe ce qui se passait derrière moi, c'était prévu. Mais est-ce que quelqu'un d'autre était avec nous? Ca voulait dire qu'il pouvait me voir? Mais c'est surement ce que voulait Alex, si non il n'aurait pas dit "peu importe ce qui se passe"... Je me suis détendue, et j'ai continuée le jeu, un peu plus timidement. Plusieurs secondes sans un bruit, et je commençais à me dire que j'avais juste entendu un bruit, rien de plus. Puis là, plus de doute, un bruit de pas. On n'était pas tout seul. Je ne pouvais pas voir le visage d'Alex, il tenait ma tête fermement en place, et je ne pouvais pas regarder derrière moi. Je n'avais pas d'autre choix, me laisser faire.

L'inconnu était derrière moi, pas de doute possible. Je me demandais qui c'était... Est-ce que je le connaissait? Si Alex était en train de lui montrer à quel point j'étais obéissante et que j'étais son objet, j'avais envie de le rendre jaloux. J'ai amplifiée mes mouvements; mes fesses balancaient de gauche à droite, ma chatte humide était plus que visisble et j'ai écartée les jambes pour qu'il puisse mieux voir, et quand à ma fellation, j'ai augmentée le bruit et l'amplitude. J'allais lui montrer à quel point j'étais une bonne suceuse! Mais je n'avais pas anticipée ce qui allait se passer...

L'inconnu s'est mis à geloux derrière moi, et m'a pris par la taille. Alex n'était pas paniqué, donc moi non plus. Tout ce qui se passait, il le voulait, alors j'étais obéissante et docile. L'inconnu s'est mieux installé, et j'avais la certitude que c'était un homme quand j'ai senti son sexe pousser contre le mien. Mes lèvres l'ont accueilli chaudement, et j'ai attendu qu'il rentre en moi avant de bouger à nouveau mon bassin, venant à son rencontre à chaque coup de queue. Mon cerveau était en ébullition, il y a un inconnu, derrière, qui me prend! Alex partage ses jouets, et il est en train de me baiser! Puisque j'avais confiance en Alex, je savais que rien de mal ne pouvait se passer, alors je me suis offerte à l'inconnu.

"Oh, ouais, comme ça, c'est bon, salope!". La voix était grave, rauque. je ne le reconnaissait pas, c'était donc pas un ami. Il avait probablement un certain age, et il ne manquait pas d'expérience. Mais me traiter de salope? Tu veux voir salope? J'ai accelerée mes mouvements de bassin; ma priorité était de continuer à sucer Alex, mais pour le reste, j'étais libre de bouger. Je faisais des va et vient avec mon bassin, tellement que, finalement, c'est moi qui bougait sur lui. Alors, qui est en train de baiser qui? J'ai jouée ce jeu pendant une dizaine de minutes; je me masturbais sur cet inconnu, c'était lui mon jouet, et tout ça pour le plaisir d'Alex. Je voulais qu'il soit fier de moi, que je faisais ce qu'il avait envie, et surtout lui donner du plaisir.

L'inconnu a commencé à jouir avant que je n'ai eu le temps de jouir; ses coups de bassins étaient plus forts, mais un peu moins fréquents. Ma chatte lui a servi d'objet, et maintenant il avait fini avec. Il s'est retiré, et j'ai entendu le bruit d'une fermeture éclair et d'une ceinture. Quelques secondes plus tard, j'ai entendu des bruits de pas allant vers la porte, une porte qui s'ouvre, une porte qui se ferme, puis plus rien. Je ne savais pas à quoi m'attendre; j'avais toujours la queue d'Alex dans la bouche, elle était toujours dure, et je salivais toujours autant dessus. Est-ce qu'il y a autre chose? Quelqu'un d'autre?

La main rassurante de mon Maitre soulever ma tête, et sa voix douce me demander si tout allait bien. Oui, ça va super bien! Mais je n'ai pas joui... Il s'est relevé, et m'a poussée sur le canapé, à nouveau à quatre pattes. Il s'est mis derrière, tout comme l'inconnu, et ma chatte l'a accueilli volontiers. Ah, voici le rythme que je connaissait, que j'aimais tant... Il y allait fort, sans préliminaires, il savait que je n'avais pas joui, et il savait que je n'étais pas loin. Je me suis laissée aller; je mordais le coussin, je criais de plaisir, je sentais sa queue venir frapper le fond de mon vagin pendant que ses couilles venaient tapper contre mon clitoris. En a peine deux minutes, j'étais aux anges, en train de sentir les vagues de plaisir d'une enième orgasme grace à lui. C'était intense, c'était magnifique, et il venait de m'offrir ma première expérience à trois.

J'étais son jouet, mais son jouet qu'il aimait plus que tout. Il m'avait à nouveau montré quelque-chose de nouveau, et j'avais à nouveau relevée le défi. Il pouvait recommencer quand il voulait; ça ne me dérangeait pas d'être "partagée" comme ça, si ça l'excitait. Il pouvait refaire ça quand il voulait, mais pas tout de suite... Je voulais le remercier avant tout. Il a fini par terre, sur le dos, et je l'ai sucé aussi fort et aussi vite que possible, en avalant toute sa jouissance. Ses cris, ses hanches qui poussaient vers ma bouche et sa sémence ont prouvé qu'il a beaucoup aimé ce que je lui ai fait.

Par Ana - Publié dans : Expérience
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Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 19:42

La semaine a été difficile pour lui. Il a travaillé tard presque tous les jours pour un gros projet, et il était super fatigué. Samedi matin vers huit heures, j'étais déjà réveillée, mais il dormait paisiblement à coté de moi. Je me suis levée pour aller chercher l'objet que je cachais depuis la veille, pour ensuite revenir au lit. J'étais en nuisette, légèrement transparente, je savais qu'il l'aimais bien, et j'aimais lui plaire. Je lui ai fait un petit bisou pour le réveiller en douceur. Il a commencé à ouvrir les yeux, mais quand il a vu le réveil, et l'heure affichée, il a commencé un petit grognement trop mignon. "Mais non! Il est trop tôt! Qu'est-ce que tu fais?". Je lui ai tendu les dés que j'avais cachée. "Vas-y". Il avait bien compris où je voulais en venir; une petite vengeance. Il les a jeté. Deux et quatre, donc six. J'étais un peu déçue, j'aurais vraiment aimée un score plus gros, mais on allait faire avec. "Six. Alors tu vas devoir jouir six fois aujourd'hui. Et tu peux commencer dès maintenant!". Je me suis glissée sous les draps pour venir lécher sa queue, qui était déjà presque dure. Elle a fini le travail à l'intérieur de ma bouche, au chaud, pendant que je le suçais. Une petite féllation du matin, je me suis dit qu'il le méritait avec sa semaine. J'aurais aimée lui montrer un peu plus, mais le but n'était pas de trop le réveiller, mais au contraire, le détendre. Une main faisant des va et vient sur sa queue en rythme de ma tête, et l'autre en train de lui caresser les testicules, il ne lui a pas fallu longtemps avant d'exploser dans ma bouche. Je l'ai laissée faire, tout en continuant très, très doucement les va et vient, caressant doucement ses cuisses et son ventre, avant qu'il ne s'endorme a nouveau. Et de un!

J'ai essayée de ne pas faire de bruit, plongée dans ma lecture de quelques livres et travailler un petit peu sur mon ordinateur. Deux heures plus tard, il était l'heure de le réveiller, et j'avais déjà une petite idée. Enlevant ma nuisette, j'étais nue devant lui. Je me suis mise sur le lit, entre ses jambes, et j'ai tirée doucement sur les draps pour venir le découvrir. Une fois son sexe pleinement exposé, j'ai mis du lubrifiant sur mes mains, avant de venir le caresser. Le gel était un peu froid au début, mais il n'a pas fallu très longtemps pour sentir son membre durcir, et j'adore ça! Avec les deux mains, je caressais, des mouvements de va et vient, des caresses entre les jambes... Tout pour l'exciter. Je ne l'ai pas laissé m'aider, j'avais envie de tout faire toute seule comme une grande. Mes mains glissaient sur son membre, et le petit bruit du gel était très excitant. Son excitation montait, et je voyais bien son regard rivé sur mes seins nus. Je lui offrais ce spectacle, ravie de pouvoir lui faire plaisr. Je continuais mon mouvement de va et vient, assez rapide, et gardant la même citesse aussi longtemps que possible. Je le voyais au bord de l'extase; ses poings qui tenaient fermement les draps, son sexe qui était raide et dure comme je n'avais jamais vue avant, et puis ça a commencé... Une contraction, puis une autre, pendant qu'il lachait des cris de plaisir. Et voilà que son sperme est sorti en petits jets, tel une fontaine ça sortait avant de retomber sur sa queue et sur mes mains. Je caressais très doucement, l'aidant à se vider, et profitant de la vue à mon tour. J'étais fascinée par ce que je voyais. Il est resté sur son petit nuage pendant 30 secondes, avant de redescendre et me sourire. On s'est embrassé, avant d'aller prendre une douche. Et de deux!

La troisième fois est venue pendant que je faisais à manger. Il aimait beaucoup quand je faisais à manger en portant mon tablier, rien que mon tablier. Quand j'avais envie de l'exciter un peu, je pouvais chercher des casseroles en me penchant bien en avant, pour lui exposer mon intimité. Quand je l'ai sentie venir derrière moi, je me doutais du résultat. Un bisou dans le cou, une caresse sur l'épaule et sur mes cheveux, je souriais, mais je continuais à préparer le repas. Encore quelques bisous dans le cou, et il sait très bien que je ne peux pas résister à ça! J'ai penchée la tête sur le côté pour qu'il puisse en faire d'autres, et c'est exactement ce qu'il a fait. Une main est passée sous mon tablier pour venir me caresser un sein, et le téton qui durcissait n'est pas passé inaperçu. Il est venu contre moi, contre mon dos, et je sentais déjà son érection pousser contre mes fesses. Je me suis positionnée pour l'aider, et son sexe est venu chercher l'humidité entre mes jambes. D'un coup de hanche, il s'est inséré en moi, et j'avais à peine le temps de pousser ma préparation sur le côté, avant de m'allonger a moitié sur la table, les fesses bien en arrière. Il me tenait fermement par les cheveux, tirant, me dominant, et l'autre main me tenait par les fesses, avec un doigt qui explorait entre les deux. Ses coups de hanche étaient de plus en plus forts, de plus en plus vite, et je sentais l'excitation monter, et j'ai été submergée par des vagues de plaisir. J'ai jouie sur la table, la tête en arrière à cause de la main qui me tirait les cheveux, en criant son nom. Il ne lui a pas fallu longtemps pour venir jouir aussi, me remplissant à l'intérieur avec son plaisir. Nous sommes restées comme ça deux minutes, pendant qu'il me caressait le dos, et pendant que son membre se détendait à l'intérieur de moi. Qu'il reste là autant de temps qu'il veut! J'avais le sourire jusqu'aux oreilles... Et de trois!

La quatrième était lors d'une sieste de l'après-midi; on pensait vouloir dormir, mais finalement, on a voulu autre chose avant de dormir.

La cinquième est venue quand on est sortis pour aller au cinéma. On est parti très tôt; je lui avais donnée la mauvaise heure de début de film. En voiture, il s'est étonnée que je me "trompe" de chemin, en passant par les petites routes de campagne dans une banlieue sympatique. Déjà qu'il était surpris que j'insiste pour prendre la voiture. En plein milieu de nulle part, sur une route dans une forêt, j'ai quittée la route pour prendre un tout petit chemin, avant de me garer. Le soleil se couchait, et a première vue on était tous seuls. Avant qu'il ait le temps de dire quoi que ce soit, je suis sortie de la voiture pour me reposer contre un arbre, relever ma jupe et me caresser les cuisses et la chatte. Je le regardais toujours dans la voiture, pendant que ma main caressait. Il ne lui a pas fallu très longtemps avant de comprendre, et de vouloir en profiter. Il est sorti de la voiture, et il s'est approché de moi. Je n'ai strictement rien changée, je continuais à me caresser. Du coup, il m'a suivi; il a ouvert la fermeture éclair de son pantalon pour sortir son sexe et se caresser devant moi; il me regardait pendant qu'il se caressait, et je le regardais pendant que je me caressait. C'était excitant de partager ça à l'extérieur, mais quelques minutes plus tard on a voulu passer à autre chose. Il me tenait par les poignets, les mains au-dessus de ma tête et contre l'arbre, mes seins à l'air et ma jupe remontée; il me prenait, son sexe rentrant et sortant avec son va et vient pendant que son corps me plaquait contre l'arbre. Avec le soleil qui se couchait, le vent dans les feuilles et son sexe qui venait en moi, le cadre était presque idéale. J'ai jouie fort, mais je n'ai pas osée faire de bruit; je ne savais pas si quelqu'un serait à côté ou pas. Il n'a pas arrêtée pour autant; son mouvement continuait de plus en plus fort, et quand il s'est retiré de moi, je suis tombée à genoux pour l'accueillir dans ma bouche. En douceur, j'ai tout pris, ma langue caressant doucement sa peau pendant qu'il finissait sa cinquième fois.

La sixième a été dans son lit après le cinéma, et nous nous sommes endormis dans les bras de l'autre. J'ai eu ma vengeance!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 13:55

Depuis un peu de temps déjà, je m'amusais avec mon petit canard, qui occupait mes nuits et mes réveils. Un samedi matin, j'étais invitée chez Alex, a une heure précise. Je devais être là à 10h. Je suis arrivée à 9h, on a pris un café, on a bavardé ensemble, et puis nous sommes passés aux choses sérieuses. Les bisous se sont transformés en baiser, et en très peu de temps, ses mains balladeuses étaient sous mon haut, sous ma jupe, en train de me déshabiller. Une fois nue, j'étais attachée à un fauteuil, les mains dans le dos, les jambes écartées, mon sexe offert, mes seins à l'air. Il s'est amusé à me chatouiller, à me pincer les tétons, à titiller mon clitoris. Il prenait son temps, il prenait plaisir à me voir comme ça, mais toujours sans se déshabiller. Il avait envie de jouer, et je lui laissait faire.

J'ai sursauté quand quelqu'un a sonné à la porte. Il n'allait pas me laisser comme ça? Il attendait quelqu'un? Il s'est levé et il parti vers la porte, me laissant nue, attachée sur mon fauteuil. Je commençais à avoir un peu peur, mais je lui faisait confiance. Il a ouvert la porte, j'étais a peu près cachée de la vue, mais si la personne entrait...

"Bonjour! J'ai un colis pour vous!". Une minute plus tard, il a refermé la porte, et il est revenu devant moi, seul, avec un gros paquet dans les mains, et un sourire pervers. Il s'est installé devant moi, et a commencé à ouvrir son paquet, son cadeau. Il en a sorti une dizaine de petits paquets, et quelques accessoires. Tout premièrement, il a sorti une paire de menottes, et il en a profité pour mieux m'attacher les mains. Avant, j'aurais peut-être pu m'en sortir, mais avec les menottes, aucune chance. Le métal froid me rappellait où j'étais, et que j'étais à sa merci.

Ensuite, il a montré quelques jouets, expliquant qu'il allait les utiliser plus tard. J'étais fascinée, en entendant parler de boules de geisha, de perles, de rabbit et un petit vibromasseur très discret. Il y avait également deux tenues; soubrette et écolière. Quelques gels, quelques huiles de massage et un ou deux autres bricoles. Pour commencer, le rabbit.

C'était transparent, d'une forme de sexe masculin, mais avec deux autres parties; un pour l'anus, l'autre pour le clitoris. Après qu'il ait mis les piles, il a commencé à le l'enfoncer doucement dans ma chatte. Aucune résistance posée; j'étais plus que trempé à l'idée de découvrir d'autres objets et pratiques. Une fois le sextoy en moi, il a appuyé sur un bouton, et il s'est mis à bouger. Les sensations étaient très agréables, je le sentais bouger en moi comme un petit serpent, cherchant à rentrer au plus profond de moi. Les "oreilles" se reposaient contre mon clitoris, et l'autre branche caressait doucement mon anus. Tout a changé quand il a appuyé sur d'autres boutons... Tout s'est mis à vibrer, et a bouger plus fort. J'ai sursautée, et il s'est éloigné pour mieux me regarder. Les vibrations sur mon clitoris étaient intenses, et quand à mon petit cul, j'avais l'impression que le jouait chercher à rentrer en moi. Je sentais les tremblements d'une jouissance, et je me suis laissée aller. Je me montrais, je montrais toute mon intimité à Alex pendant que ça montait. Il avait envie de voir, alors il allait voir, et entendre! Et voilà que je jouissais très fort, presque hurlant chez lui, ravie d'avoir découvert ce petit jouet. Il m'a enfin détaché, et j'en ai profité pour lui faire plaisir à mon tour!

Le soir même, il me proposait de sortir prendre un verre. D'accord! Avec grand plaisir! Je me suis préparée à sortir, mais avant, il voulait faire quelque-chose. En remontant ma jupe, et en baissant ma culotte, il m'a titillé pour que je redevienne humide, chose qui n'allait pas tarder. Une fois humide, il a sorti le petit objet, et il l'a glissé dans ma chatte. Il est rentré sans difficulté, puis a disparu au fond de moi. Je ne le sentais presque plus. Puis il a remonté ma culotte, a défroissé ma jupe, et a dit "C'est bon, on peut sortir!". Je ne comprenais pas, mais main en main, on est sorti.

Nous sommes allé à un petit bar, on a bu quelques verres, et puis on a repris le chemin du retour, dans le noir, dans les rues de la ville. Il y avait toujours quelqu'un, quelque-part, la ville ne dormait jamais. On croisait des couples, quelques voitures, mais on n'était jamais vraiment seuls. En prenant bien notre temps, on en avait pour 20 minutes pour rentrer à pied, et les ballades étaient très agréables. Puis il s'est arrêté, et il m'a appellé. "Ana?" Je me suis retournée. "Oui?". Et là, je l'ai senti. Une vibration très forte venant de mon vagin. Ca m'a pris par surprise; je devais tenir le mur pour ne pas tomber. En une fraction de seconde, l'excitation est revenue. A peine commencé, les vibrations se sont arrêtées. "Mais c'était quoi, ça?!" Il a sorti une télécommande de sa poche, en souriant. "Il suffit d'appuyer ici..." Les vibrations ont repris. Les mains entre mes jambes, j'essayais de rester debout sans tomber, mais c'était difficile. Il s'amusais à l'allumer et à l'éteindre, et quand des gens étaient là, je faisais tout pour essayer de ne pas montrer mon excitation, et le plaisir que je prenais en privée. Finalement, la route était beaucoup, beaucoup plus longue que prévue, puisque je devais m'arrêter partout. Alex en avait presque un fou rire en rentrant, en sachant que ça m'excitait au plus haut point, et que je ne pouvais rien faire. Pas dans la rue, quand-même! Mais dans l'ascenceur de l'immeuble... A peine les portes fermées, je me suis plaquée contre son corps, et je sentais déjà son érection. Je lui mordillais l'oreille pendant que je posais sa main sur mon sein. "J'ai trop envie de toi... Prends-moi! Fais de moi tout ce que tu veux!". Nous sommes rentrés chez lui, et c'est exactement ce qu'il a fait!

Par Ana - Publié dans : Expérience
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