Jeudi 27 septembre 4 27 /09 /Sep 20:50

Ma première leçon, la fellation. Bien-sûr, j'avais déjà vu des vidéos, j'en avais déjà entendu parler, mais je n'avais jamais essayée. Je ne savais pas trop par où commencer, mais il a su me guider.

 

Il s'est deshabillé, j'étais toujours devant lui, sans bouger. Il s'est assis sur le bord du canapé, et m'a dit de venir à genoux devant lui. J'ai fait ce qu'il demandait, sans le quitter du regard. J'étais à genoux, nue, sa queue dessée juste devant moi, et mes yeux pleines de fascination et de perversion. Il a commencé par un cours d'anatomie; expliquer chaque zone. J'étais fascinée en le regardant tirer sur la peu, exposant le gland et la petite goutte qui s'y coulait déjà. Je l'ai prise dans les mains, j'aurais voulu faire quelques mouvements de va et vient pour essayer, mais il m'a arrêtée. "Attention, quand c'est sec au bout, ça peut parfois faire un peu mal". Ne t'inquiètes pas, je sais quoi faire! J'ai léchée le bout tel une gourmande, en laissant plein de salive dessus. Dès que je faisais ça, je m'imaginais à nouveau comme une petite chienne en train de lécher son maitre... Il ne me manquait plus qu'un collier. J'ai gardée l'idée en tête pour plus tard.

 

"Prends le bout dans ta bouche"

 

Sans dire un mot, j'ai fait exactement ça. J'ai commencée par faire de petits mouvements de va et vient avec ma tête, et au fur et a mesure il m'expliquait certaines choses. J'ai tout appris; attention aux dents, mettre sa queue dans la bonne position pour que ça glisse plus facilement, bien humidifier avec ma langue, et aspirer comme si je voulais tout prendre dans ma gorge. C'était une sensation très agréable; je savais dès que je faisais quelque-chose qu'il aimait, je pouvais sentir des frissons directment. Sa queue était douce, et c'était une sensation très agréable. Mais surtout, j'étais en train de le masturber avec ma bouche, il adorait ça, donc moi aussi! Là, j'avais les commandes. C'était moi, et uniquement moi qui faisait monter son désir. J'ai rapidement appris que je pouvais lui faire perdre les pédales avec quelques mouvements, et même si j'étais une débutante, quelque-chose me disait que j'allais rapidement devenir une experte.

 

On a du continuer pendant 10 minutes ou plus, et à force je commençais à avoir mal à la macheoire. Manque d'entrainement! Sans avoir joui, il m'a dit de me mettre debout. "Va dans la chambre, dans le tiroir du commode, au fond à gauche, et reviens avec un préservatif. Choisis celui que tu veux". J'étais presque en train de courir pour lui chercher ça. Quelques secondes plus tard, j'étais en train de fouiller dans le tiroir; ok, voilà les préservatifs, mais les autres objets, je ne connais pas... Je lui demanderai plus tard. Je suis revenue avec un préservatif, emballage rouge.

 

"Fraise, bon choix!". Il l'a déballé, et je me suis remise à genoux devant lui, attendant sagement, gentillement qu'il ait fini de dérouler le préservatif le long de sa queue. "Dis-moi ce que tu en penses!". Je l'ai repris dans les mains, et je l'ai plongée dans ma bouche. J'ai sucé fort, prenant le plus de goût possible. Bon, ce n'était peut-être pas un bonbon, mais ce n'était pas désagréable, mais le latex faisait une texture un peu bizarre. "Je préfère sans", ai-je répondu.

 

"Oui, mais il va le falloir. Viens t'asseoir sur moi". J'ai écartée les jambes pour venir m'installer sur lui; les genoux sur le canapé, les fesses dans le vide, et me chate juste au-dessus de son membre. Il m'a pris par la taille et m'a forcée sur lui. Mes lèvres se sont écartées sans résistance, prenant sa queue en moi. Encore un petit cri de plaisir.

 

"Je veux pas jouir tout de suite, mais je veux que tu jouisses! Masturbes-toi sur moi". Une main est partie chercher mon clitoris, pendant que l'autre me serrait un sein, jouant avec le téton. J'ai penchée la tête en arrière de plaisir, laissant mes cheveux tomber derrière moi.

 

"J'adore te voir comme ça! Tu sens comment tu m'excites?"

 

"Oui!". Il aimait la vue, et je n'allais pas lui priver. J'ai essayée de lui montrer tout ce qu'il voulait, et si il aimait me voir me caresser, je n'allais pas dire non! En bougeant doucement, je pouvais monter et descendre sur sa queue, et c'était super agréable de le sentir en moi pendant que je me masturbais. J'aurais aimée faire plus vite et plus fort, mais il m'a rappellé à l'ordre; tout pour moi, il ne voulais pas jouir comme ça, mais il voulait me voir jouir. Il n'allait pas tarder à avoir ce qu'il voulait. J'ai explosée de plaisir, frissonnant et en serrant sa queue fort en moi. Ma tête est venue trouver appui contre son épaule, en me blottant dans ses bras. Il m'a serré fort contre lui, et j'ai jouie fort, longuement, dans ses bras. J'étais aux anges!

 

Il m'a laissée sur mon petit nuage pendant une minute, puis quand il a vu que l'extase était fini, il m'a fait un sourire - "Mon tour!". Je me suis relevée, un peu triste de sentir sa queue partir de ma chatte, mais je n'allais vraiment pas tarder à pouvoir l'avoir à nouveau en moi! Je me suis mis à genoux, et j'ai attendu qu'il enlève le préservatif, mais il ne l'a pas fait. Il m'a expliqué que non, vaudrait mieux la garder, et que je n'allais pas tarder à comprendre pourquoi. j'avais déjà une idée.

 

J'ai recommencée ce que j'avais déjà entamée; sa queue était dure, et n'attendais que ma bouche. J'ai pris son membre dans ma bouche, sucant, caressant, léchant, et en savourant chaque frisson. Je la sentais gonfler en moi, et j'ai pu sentir le moment qu'il allait exploser en moi. J'avais hâte! J'ai senti sa main me prendre par les cheveux pour ralentir la cadence, j'ai suivi ses mouvements, et là, ça a commencé! Je sucais toujours, mais j'ai senti sa queue bondir en moi, devenant raide, puis se dégonfler un tout petit peu, avant de recommencer, encore et encore! C'était ça, sa jouissance! Il criait de plaisir, mes oreilles entendaient ses cris, ma langue et mes lèvres sentaient les pulsions... J'étais vraiment aux anges... Toute seule, j'ai réussi à le faire jouir! De la façon qu'il voulait! J'étais fière de moi, heureuse, et épanouie! Je suis restée à le sucer quelques secondes, le temps qu'il finisse, qu'il en profite sur son petit nuage avant de descendre. Puis il ma très doucement tiré sur les cheveux, 

m'indiquant que je pouvais arrêter le travail. J'ai vu ses yeux étincellants, et j'ai craquée. J'étais heureuse, amoureuse, et épanouie.

 

Il a enlevée le préservatif, j'ai vu son sperme emprisonné, avec le bout toujours humide de sa jouissance.

 

"Lèches"

 

Je n'y ai même pas réfléchi, il m'a dit de lécher, alors j'ai léchée. J'ai senti le gout amère, la texture un peu glissant, mais uniquement un aperçu. Il ne voulait pas me fair peur avec son sperme tout de suite, à croire qu'il n'avait toujours pas compris que j'aurais tout fait pour lui! Il m'a laissé faire que quelques secondes avant de me relever, et me demander si ça allait. Le goût, tu veux dire? Ca vient de toi, c'est ton jouissance, alors j'ai aimée. Il a sourit, et m'a pris dans les bras.

 

"On verra ça la prochaine fois alors, en attendant, fin du premier leçon!"

Par Ana - Publié dans : Expérience
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 18:22

Nous en avons largement profité pendant ces deux jours, mais même si j'aurais bien aimée que ça dure plus longtemps, il fallait être sâge. Mes parents étaient rentrés, je n'étais plus seule. Je ne pouvais pas voir Alex tous les jours, mais on pouvait discuter par email et par messagerie instantanée. Nos discussions les soirs restaient assez chaudes; une ou deux fois je me montrais sur ma webcam, mais uniquement pour Alex. Je n'allais plus sur les chats pour trouver quelqu'un d'autre, j'avais tout ce qu'il me fallait. Alex aimait beaucoup savoir quand je me masturbait, alors j'essayait de lui faire plaisir.

 

Il s'est passé quelques semaines avant qu'on ait pu se revoir. Je ne montrais rien aux parents, rien à mes copines... C'était mon petit jardin secret, mais j'avais hâte de le revoir. Un jour, mon père était en déplacement, et ma mère avait une réunion jusqu'à tard. C'était le moment idéale pour passer chez Alex. J'ai sonnée à la porte, quelques secondes plus tard il l'a ouvert. Il était surpris de me voir, mais très content. Et moi donc! Très sâge, j'ai demandée si je pouvais entrer. Mais bien-sur! Alors je suis rentrée, et quand il a refermé la porte, j'ai tout laissée tomber, et je lui ai presque sautée au cou pour l'embrasser. Il m'a pris dans ses bras et on s'est embrassé longuement. Ses mains étaient partout sur moi; dans le bas de mon dos, sur mes fesses pour mieux me tirer vers lui... Ca m'avait tellement manqué!

 

On s'est installé sur le canapé, très proche l'un de l'autre; ses mains dans mon dos, les miens sur sa cuisse.

 

"Je voudrais que tu sois mon prof. Apprends-moi tout!"

 

"Sur quel sujet?"

 

"Le sexe". J'ai été directe, et il a été assez surpris, mais il n'avait rien contre. "Je suis jeune, j'ai pas d'expérience, je sais pas trop quoi faire. J'ai besoin que tu me montres un peu."

 

"D'accord. Je veux bien te montrer quelques trucs, mais il faudrait que tu me montres ton journal, que je voie ce qui t'intéresse".

 

"D'accord". Je n'en revenait pas. J'avais dit oui! "Mais toi, qu'est-ce que tu aimes faire? Qu'est-ce que tu aimerais me faire?" Mes doigts jouaient avec le petit noeud sur mon décolleté.

 

"Plein de choses! Mais tout dépend jusqu'où tu voudrais aller".

 

"Jusqu'où tu voudras."

 

"Sans exception?"

 

"Sans exception."

 

"Tu es ma chose, c'est ça?"

 

J'ai sentie comme une goutte couler le long de ma jambe. J'ai juste réussi à chuchotter "Oui"

 

"C'est quoi le mot pour tout arrêter?"

 

"Chocolat?"

 

"Bien. Déshabilles-toi"

 

Je me suis mise debout devant lui, et sans le quitter du regard, j'ai enlevée mon haut, puis mon pantalon, pour paraitre en sous-vêtements devant lui. Du mieux que je pouvais, j'essayais d'être sensuelle et faire un strip-tease. J'ai enlevée mon soutien-gorge, puis ma petite culotte, pour paraitre nue devant lui, comme il me l'avait demandé.

 

"Viens t'asseoir sur moi". Sans hésiter un instant, j'ai fait ce qu'il m'avait demandée. Il a mis sa main sur ma chatte, souriant en remarquant mon humidité.

 

"Tu ferais vraiment tout, n'est-ce pas?"

 

"Tout"

 

"D'accord. Je t'enseignerai, mais il faut que tu sois honnête avec moi, si tu aimes quelque-chose, si tu aimes pas"

 

"J'aime quand tu fais ce que tu veux de moi. J'aime vraiment ça!"

 

"D'accord! Tu seras ma petite écolière, mais tu as intérêt de faire tes devoirs!".

 

"Quand est-ce que je commence?" J'avais le sourire jusqu'aux oreilles...

 

"Maintenant?"

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 18:53

10 heures le lendemain matin. J'avais eu la nuit pour réfléchir, et j'étais inquiète. Je ne regrettais rien, mais lui? Est-ce qu'il avait changé d'avis sur moi? Que finalement, c'était juste un soir, et aujourd'hui tout était déjà fini? Je n'allais pas tarder à le savoir. Je m'étais habillée en robe, beaucoup plus sage que la veille. 10 heures pile, ça a sonnée à la porte. J'ai presque couru jusqu'à la porte, et effectivement, c'était Alex. Je sautais presque de joie, mais il était différent de la veille. Peut-être un peu plus froid, un peu plus distant. Je n'ai pas eu de bise, et pas de bisou, juste un "Salut, toi!". J'an tentée le tout pour le tout, et je lui ai fait un bisou au coin du lèvre. Sa réponse était de mettre sa main dans le bas de mon dos, et me tirer contre lui. Je ne résistait pas, et il m'a embrassé.

 

"Je pensais que tu aurais peut-être changée d'avis".

 

"Tiens, je me disais la même chose!" C'est vrai, je stressais depuis que je m'étais levée. Je m'étais même pas caressée ce matin, trop de noeuds dans l'estomac. J'étais soulagée, mais j'avais besoin d'être sûre, j'avais besoin d'entendre les mots. "On sort toujours ensemble?". Sortir ensemble? Ca fait trop gamine, ça! Etre ensemble, peut-être, sortir ensemble?

 

"Toujours, mais il ne faut pas que tes parents sachent, on est bien d'accord?". J'ai répondu avec un bisou, "Ils ne le sauront jamais!".

 

Je l'ai pris par la main, et je l'ai emmenée dans le salon, la partie centrale de la maison.

 

"Tu n'as pas de regrets pour hier soir?" m'a-t-il dit.

 

"Des regrets? Aucun! C'était géniale, je t'en remercie!" Je n'osais pas dire qu'il pouvait recommencer quand il voulait.

 

"Je pensais que tu allais remettre ta jupe écossaise ce matin"

 

"Oh, tu veux? Allez, viens!" Je l'ai pris à nouveau par la main, et je l'ai emmené dans ma chambre, prête à lui faire plaisir en m'habillant comme ça lui plaisait. Il n'a même pas eu le temps de dire quoi que ce soit. Typique des informaticiens, il est allé directement regarder mon PC pendant que je me suis éclipsée dans la salle de mains. Je n'ai pas pris mon temps pour me changer; la jupe était froisée, la chemise n'en parlons même pas, mais j'avais envie de mettre ça car je savais que ça lui plaisait. Naturellement, c'était identique à hier soir, je n'avais pas de sous-vêtements. J'ai regardée mon décolleté... Allez, on peut enlever un bouton ou deux. Je suis sortie de la salle de bain, et je suis allée le reoindre. Il m'a regardé de la tête aux pieds avec ce même sourire pervers, et j'avour que je regardais souvent vers son entre-jambe pour savoir si ça lui faisait un effet. Eh oui, ça lui faisait un début d'effet.

 

Il m'a tiré vers lui pour m'embrasser à nouveau, et sa main est allée directement sous ma jupe pour tester... Et non! Je n'en ai pas mis! Il m'a regardé à nouveau avec ce sourire pervers, et je savais ce qu'il voulait. Il ne pouvait plus cacher son envie, ça se voyait clairement à travers son jean.

 

"Tu as aimée hier soir?"

 

"Beaucoup" J'ai encore répondu en chuchotant plus qu'autre chose. Il m'a retournée pour que je sois dos à lui; une main est venue me caresser les seins à travers ma chemise, l'autre est allée directement vers ma chatte, qui était humide depuis un certain temps déjà. J'ai penchée la tête en arrière pour me coller contre lui. On s'est embrassé comme ça. Puis ses mains sont allées déboutonner ma chemise, et je l'ai fait tomber par terre sans aucune tentative de la ratrapper. Je me laissais faire. Je l'ai gardée en tout moins de deux minutes. Puis il a remontée ma jupe, exposant mes fesses pour son plus grand plaisir. Il a caressé longuement, ses doigts dessinant une ligne entre mes fesses, et parfois descendant jusqu'à ma chatte. Il m'a poussée à genoux, je n'ai pas résistée. Il m'a poussée sur l'assise de mon fauteuil, je me suis allongée dessus; mes fesses vers lui, ma tête vers mon ordinateur, et le dossier d'un côté. Je n'ai pas non plus résistés quand il a pris mes mains, et que je l'ai senti m'attacher les mains dans le dos. J'ai fait quelques mouvements pour essayer; ce n'était pas trop serrée, je n'avais pas mal, mais c'était solide, pas moyen de m'échapper à nouveau. Il est venu chuchotter dans mon oreille. "Dis 'chocolat'".

 

"Chocolat?"

 

"C'est le mot magique. Si tu as peur, si tu as envie qu'on arrête, tu dis ce mot là, et j'arrête tout, tout de suite." C'était rassurant. Ca voulait aussi dire que je pouvais dire "non" tout ce que je voulais, il n'allait pas s'arrêter. Je l'ai entendu derrière moi, le bruit magique d'un bouton de jean qui s'enlève, le bruit de la fermeture éclair, et de vêtements qui tombent par terre. J'ai essayée de me repositionner, pour que mes fesses soient encore plus en l'air pour qu'il profite pleinement du spectacle, mais rien à faire. J'étais coincée sur mon fauteuil. Un bruit inconnu... Un bruit de plastique... Une odeur... Ah, un préservatif! Pas de préliminaires aujourd'hui, il veut y aller directement! J'ai senti à nouveau la même sensation que la veille, quand son sexe a poussé contre le mien. J'étais trempée, mes lèvres se sont écartées pour laisser passer, mais rien... J'ai essayée de me pousser en arrière pour accueillir sa queue, mais rien à faire. Il dominait.

 

"Tu en as envie?"

 

"Oui!" Ce n'était pas un chuchotement, loin de là, j'avais réellement envie qu'il me fasse l'amour. 

 

"C'est quoi le mot de passe?"

 

Le mot de passe? Mais de quoi qu'il... J'ai regardée mon écran de PC. Il avait ouvert mon journal intime! Et là, sur l'écran, était la fenêtre pour écrire mon mot de passe. Hé, attends! C'est personnel, ça!

 

"Alors?"

 

J'ai essayée de me débattre, je voulais prendre le clavier et... le clavier, mais il était où? Il avait tout derrière lui... J'avais peur, je tremblais, je ne voulais pas, mais je n'ai pas dit le mot magique. Puis j'ai senti sa main sur mon cul, juste sur mon anus. Il caressait doucement. C'était une autre première pour moi, et une partie de mon cerveau aimait bien, mais une plus grande partie paniquait à l'idée de me dévoiler si intimement.

 

"Le mot de passe?"

 

Sa queue glissait en moi. J'étais encore humide, pas forcément par excitation mais juste les restes de l'excitation quelques secondes avant. Panique!! Au secours! Je veux pas, je veux pas... Mais je ne voulais pas dire "chocolat", hors de question!

 

Il a commencée à se retirer; sa queue sortait doucement de ma chatte, et son doigts n'était plus entre mes fesses.

 

"Si tu me dis pas, je ne te ferai plus jamais ça."

 

Je lui ai donnée le mot de passe, en chuchotant plus qu'autre chose, et en tremblant fortement. Peut-être qu'il était encore temps de dire chocolat, peut-être qu'il n'irait pas tout regarder...

 

Et là, ma vie s'est dévoilée devant lui. Il avait tout sous les yeux. Les pages qui défilaient contenaient des photos de moi nue d'il y a un an, la formation de mon corps, du texte stratégiquement mis en gras. Je n'avais jamais pensée que quelqu'un le regarderait. J'étais choquée, presque en larmes. Une partie de moi était encore excitée, mais une autre partie avait envie de le mettre dehors et de ne jamais le revoir. Je ne savais pas quelle partie était en train de gagner.

 

Et là, la dernière page. Le texte écrit en gras, "Je suis sa pute". Ca lui a coupé le souffle, je l'ai entendu derrière moi, une inspiration forte. Il est sorti entièrement de moi, il ne me tenait pas par la taille. J'avais une larme qui coulait sur le visage... Je m'en voulais. j'avais tout gâchée. C'était ma faute si il ne voulait plus de moi, tout ce que j'ai écrit lui a fait peur. Les pages ont continué a défiler, dans l'autre sens. Encore des phrases soulignés en gras, exposant mes fantasmes... Des fantasmes sur lui, des images de moi en train d'essayer des poses sexy, et une photo de moi le jour que j'ai voulu voler des sous-vêtements de ma mère. Ce n'était même pas la peine de dire "chocolat"; il allait me détacher, j'allais supplier qu'il ne dise jamais rien, et notre histoire serait fini.

 

J'avais tort.

 

J'ai ressentie ses mains se poser sur ma taille, mais pas pareil. Avant j'étais tenue fermement, mais là... Là, c'était encore pire. Il me tenait comme il tiendrait un outil, une chose. Sa queue est venue écarter les lèvres de ma chatte, mais sans tendresse, sans me laissant le temps. Il a poussé au plus profond de moi, mais pas comme hier. Finalement, hier c'était doux par rapport à ce qui se passait. Hier, il m'avait fait l'amour. Là, il me prenait. Si je voulais être un objet, c'était maintenant. J'étais sa chose, j'étais son sex-toy. Il voulait jouir, et il pouvait le faire de la façon qu'il voulait. Il aurait pu m'obliger à le sucer, il aurait pu jouir sur moi, il pouvait faire ce qu'il voulait de moi, tout, j'aurais tout fait pour lui. Là, il a choisi de m'empaler par derrière, et tous mes sens étaient réveillées. Je sentais sa queue en moi, je sentais ses couilles frapper ma chatte avec chaque pulsion, je sentais mes tétons contre le siège, et je sentais ses mains me tenir très, très fermement, me 

tirant vers lui pour rentrer au plus profond de moi.

 

"Dis-moi ce que tu es!"

 

"Je suis une pute! Je suis ta pute! Je suis ton objet, fais ce que tu veux avec moi! T'arrêtes pas! Baise-moi!". Je n'y croyais pas moi-même. Je ne disais jamais ce genre de chose, et même dans mon journal je n'avais jamais parlée de baiser. Je venais d'avouer que j'étais une pute, d'accord, mais le reste? C'est venu naturellement, car c'est ce que j'étais, et c'est exactement ce que je voulais. Je criais à chaque coup de queue, je hurlais de plaisir, et plus je criais, plus il poussait fort.

 

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, encore une fois j'avais perdue la notion du temps, mais nous avons joui ensemble, presque au même moment. Il m'a détachée, et nous nous sommes allongés sur le lit; lui sur le dos, moi sur le côté, en train de l'embrasser, et sa queue dans ma main. Je ne voulais pas la lacher; je voulais qu'elle me domine. De temps en temps je léchais le bout, je faisais des bisous. Je la regardais dégonfler doucement, toujours enfermée dans son préservatif. J'étais amoureuse, j'étais heureuse. Il venait de comprendre ce que je ressentais, et la colère et l'inquiétude que j'ai pu éprouver peu de temps avant avait disparu; désormais je n'avais rien à lui cacher. Il pouvait lire tout ce qu'il voulait. Il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Je lui faisais confiance avec tout, je savais qu'il ne me trahirait jamais, et j'avais envie qu'il me domine.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 23:54

Je me suis réveillée vers 22h; il faisait noir, j'étais toujours chez Alex, nue sur son lit. Il fallait que je rentre chez moi; même si on était à 200m, il fallait que je rentre. Et si mes parents m'appellaient? Alex s'est réveillé aussi, je lui ai expliquée qu'il fallait que je rentre, et il a très bien compris. Il est allé chercher mes vêtements, encore chauds mais secs, je me suis habillée devant lui, et je suis partie pour chez moi. Inutile qu'il m'accompagne, on allait se revoir très bientôt. Pour être honnête, je voulais me retrouver toute seule pour essayer de comprendre ce qui m'était arrivée.

 

Je suis arrivée chez moi, toujours sans sous-vêtements, et la première chose que j'ai fait a été de récupérer mes sous-vêtements du salon. Vérification du téléphone, pas d'appels. Ouf! Le temps de ranger rapidement le salon, et je suis montée dans ma chambre. PC, allumes-toi! Faut qu'on parle! En attendant, je vais prendre une douche. La douche a été rapide, mais j'ai passée plus de temps après à me regarder dans le miroir. Je regardais mon corps. Je regardais mes seins, mes hanches, mes fesses, ma chatte. J'avais une sensation incroyable de savoir que je lui plaisais, que mon corps pouvait exciter! Il a joui! Avec moi! Grace à moi, à mon corps! Je n'en revenais pas... Il s'était concentré sur mes tétons, alors je les ai examinée longuement. Il m'a caressé sous le sein, prenant tout leurs poids dans ses mains. J'ai fait de même. Je regardais, j'essayais de me mettre à sa place, et de me voir, à travers le miroir. Jusqu'ici, je ne m'étais pas vraiment considérée comme belle, mais là, j'étais encore mieux que belle, j'étais une femme à ses yeux, un objet de désir. Objet?

 

Je suis allée m'allonger sur le lit, en passant par mon PC rapidement. Un message doux d'Alex. On se voit demain? Mais bien-sûr qu'on se voit demain! Tu viens demain matin? Vers 10h? Bisous, je t'aime. Je t'aime?! J'ai réellement écrit ça? Ohla... J'ai besoin de réfléchir.

 

Je me suis allongée sur le lit. J'étais encore nue, et à temps normal, ça aurait fini avec des caresses, mais pas ce soir. Je rejouais la scène dans ma tête. Depuis longtemps, j'imaginais ma première fois. Une chambre d'hôtel, un lit couvert de pétales de rose? Probablement pas. Sur la plage, un soir, après une fête un peu trop arrosée? Non plus... Mais à chaque fois que je l'avais imaginée, j'étais sur le dos, et l'homme venait sur moi, me faire l'amour en missionnaire. A aucun moment j'avais imaginée me faire caresser jusqu'à jouir, lécher une queue ou pire encore, me faire prendre en levrette. Ca, non.

 

Dans mon imagination, je me donnais à quelqu'un (la personne changeait souvent), mais il se donnait à moi. Là, encore une fois, ce n'était pas tout à fait pareil. Apart le bisou que j'avais fait à Alex au début, c'est lui qui a mené la danse, du début à la fin. Bon, c'est normal, je ne savais pas quoi faire, mais bon, j'aurais pu improviser, non? C'est pas comme si je n'avais pas déjà regardée plein de vidéos, lu plein de textes, vu plein de photos. Et j'ai jouie, 3 fois, mais je ne faisais jamais ça toute seule. Je ne pense même avoir eu deux orgasmes avec des caresses, alors trois? Mais ce n'est pas ça, ce n'est pas ça qui m'a excitée bien au-delà de ce que j'avais connu jusqu'ici, ce n'est pas ça qui m'a fait oublier mes craintes, mes inhibitions. Il y avait autre chose...

 

Je m'imaginais encore à quatre pattes, en train de me faire prendre en levrette. Je l'aimais, oui, c'était sur maintenant, je l'aimais. Mon coeur battait plus fort quand il était là, j'avais le souffle coupée quand je pensais à lui. Est-ce que c'était l'amour qui m'a rendue comme ça? Je continuais à penser à cette scène là. J'étais en train de prendre du plaisir, Alex aussi... Et ça m'a plu. Non, c'est ça! Ca m'a plu! Ca m'a vraiment, vraiment plu!

 

C'était une révélation pour moi. Qu'est-ce qui a le plus plu pour moi ce soir? Je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus jusqu'à là. Pourquoi est-ce que j'étais déçue la première fois? Pourquoi est-ce que j'ai failli être déçue la deuxième? Pourquoi ai-je acceptée d'obéir à ses ordres sans réfléchir, qu'on me regarde de la façon le plus intime possible, qu'il me prenne en levrette? Il avait envie de ça, et moi, oui, voilà, moi j'avais envie d'être son objet. Contrairement à ce que je pensais, il ne m'avait pas demandée... ordonnée, de le sucer. Je ne pourrais pas forcément d'envie d'essayer, mais si il l'avait demandé, je l'aurais fait, sans broncher, car il voulait ça. La levrette m'a tant plu car il me prenait comme il avait envie, comme ça le faisait plaisir, et puisque ça lui faisait plaisir, forcément, ça me faisait plaisir aussi.

 

J'étais pas une salope; je n'écartais pas mes jambes plus souvent que j'ouvrais mon coeur. Je m'étais souvent posée la question, si j'aime tant le sujet du sexe, suis-je une salope? Non, définitivement, non, ce n'est pas le cas. Ce qui se rapproche le plus, c'est "pute". Je ne lui dirai jamais non, si il a envie, peu importe l'heure, peu importe l'endroit, j'aurais envie de le faire jouir. C'était ça mon trophée, le voir jouir. Savoir qu'il l'a fait avec moi, grâce à moi, ou alors dans moi. Fallait que j'écrive ça!

 

Je me suis pressée de retourner sur mon ordinateur. A demain, 10h? Ok, ça marche! Bon, journal intime, où es-tu? J'ai ouvert mon document avec mon mot de passe super secret (le nom de mon dessin animée quand j'étais plus jeune), et j'ai commencée à écrire. Ce soit, ça y est! C'est officiel, je ne suis plus vierge! J'ai racontée comment, j'ai racontée le petit jeu que j'avais fait, qu'il m'ait masturbé, qu'il s'est caressé entre mes seins, et que je suis même allée chez lui, et qu'on a fini sur le lit. J'ai écrit tous les détails, et j'ai même fini par ma conclusion; Je suis une pute. Je suis sa pute; il peut me demander n'importe quoi, je lui dirai oui. J'ai envie qu'il me prenne, qu'il fasse de moi ce qu'il veut. Je suis sa pute, et je l'aime.

 

J'ai fermée le document, et je suis allée me coucher. Ma nuit a été pleine de rêves érotiques; à chaque fois il y avait le visage d'Alex.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Dimanche 23 septembre 7 23 /09 /Sep 12:02

Il m'a emmené jusqu'à sa chambre, et m'a pris dans ses bras. Il m'a embrassé, puis m'a retournée pour que je sois face à un miroir. Il s'est mis derrière moi et me regardais dans le reflet. "Qu-as-tu envie de faire, là?" Je ne comprenais pas la question. "Là, tout de suite, as-tu envie de faire quelque-chose?" "Oui, bien-sûr! Je, euhh... je..." Oui, j'avais envie, mais je ne savais pas de quoi. Il s'est éloginé de moi pour s'asseoir sur le lit, toujours en me regardant. "Retournes-toi". je me suis retournée vers lui. "Enlèves la serviette". Sans le quitter du regard, j'ai déserré la serviette et je l'ai laissée tomber par terre. Ses yeux me regardaient, chaque centimètre de mon corps. Chaque courbe, chaque recoin. Je sentais ma peau chauffer sous son regard pénétrant.

"Tu aimes que je te regarde?"

"Oui, j'adore ça"

"Mets-toi à genoux". Je ne savais pas pourquoi, mais j'ai obéi.

"Mets-toi à quattre pattes". A nouveau, je n'ai même pas réfléchi, j'ai juste obéi, comme on me l'avait demandé.

"J'aime beaucoup cette vue". Sa voix était pleine de perversion, et j'adorais ça. "J'aime beaucoup te voir comme ça. Je vois ta taille, ça me donne envie d'y mettre mes mains". Je frissonnais rien qu'à l'idée. "Je vois aussi ton cul, et ta chatte offerte, dans le miroir". J'arrivais presque à sentir son regard sur ma chatte.

"Viens grimper sur le lit". Toujours à quatre pattes, j'ai pris position sur le lit, et j'ai voulu me retourner. "Non, reste comme ça. Je veux te voir de plus près". Je ne pouvais pas le voir, je ne savais pas ce qu'il faisait derrière moi, mais peu importe! Je sentais son regard sur mon cul et ma chatte. Finalement, il est venu s'allonger contre moi, sa tête près de la mienne.

"On dirait que tu es plutôt soumise". Je ne comprenais pas ce qu'il disait, enfin, pas entièrement.

"On dirait que tu aimes que je te donne des ordres, que tu aimes faire ce que je te dis de faire".

"Oui"

"Et tu aimes quand je te touche comme ça?". J'ai senti sa main sur mon sein, en train de pincer mon téton.

"Oui", a nouveau, mais en tremblant.

"Et aimes-tu quand je te regarde?"

"Oui", a nouveau, mais presque en chuchotant.

"Bien, et bien on va essayer ça, dans un premier temps". Sur ce, il est retourné derrière moi, et à nouveau, je ne savais pas ce qu'il faisait. Je l'ai su quelques secondes plus tard quand sa main a pris fermement une fesse, écartant pour mieux regarder. L'autre main est retourné sur ma chatte, et il n'a pas fallu beaucoup d'effort pour qu'il puisse glisser à nouveau un doigt dans mon intimité. Intimité. Il était derrière moi, et il pouvait toit voir. J'avais entendu de la position levrette, j'avais vu quelques vidéos, mais le vivre... C'était autre chose. Effectivement, je ne pouvais rien cacher, tout lui était offert. Ma chatte lui était offerte, les lèvres écartées, n'attendant que son doigt... ou mieux! Et j'adorais ça! J'aurais du avoir peur, j'aurais peut-être du vouloir que la première fois se passe en missionnaire dans le noir, mais là, non. Il pouvait faire de moi tout ce qu'il voulait, et je ne demandais que ça.

Il a continué à me caresser et me masturber, et je mouillais comme jamais je ne l'avais fait auparavant. Je ne sais pas combien de temps ça avait duré; quelques minutes, une demi-heure, je ne sais pas. J'avais totalement perdue tout notion de temps; je profitais du plaisir, je me laissais aller complètement. C'est bien ce qu'il disait; plus d'inhibitions, plus de tabous. Le plaisir avant tout! Je sentais le plaisir monter en moi, et je savais bien que je n'allais pas tarder à jouir, encore! Je me suis effondrée sur le lit; plus a quattre pattes, mais le visage collé contre les draps, en train de les mordre. Je gémissait, après tout, qui pourrait m'entendre? Alex? J'espère bien! Je sais qu'il adore ça... Avec deux doigts dans ma chatte, et un doigt sur mon clitoris, j'ai joui pour la deuxième fois sous ses caresses expertes. Ca a duré un éternité! J'ai du crier, je ne m'en souviens pas très bien! Le va et vient des doigts se sont transformés en caresses douces sur les fesses et sur le bas du dos. Je suis restée un bout de temps sur mon petit nuage, avant de redescendre tout doucement. Mais à nouveau, j'étais presque déçue... Ce n'était pas exactement à quoi je m'attendais...

"Retournes-toi"

J'ai pris un petit peu plus mon temps cette fois çi; pour être honnête, je pensais que c'était fini. Dans les films on a tendance à croire que lors de l'orgasme, c'est bon, c'est fini, on s'habille et on s'en va. Quand je l'ai vu enlever son caleçon, sa queue juste devant mon visage, j'ai su que ce n'était pas encore fini. Ma chatte en tremblait encore, mais l'envie y était encore... Je pouvais peut-être donner un petit peu plus...

J'étais à nouveau prise de panique; que faire? J'étais débutante, je ne savais même pas comment la tenir, quoi faire avec... Heureusement, je n'avais pas trop à me préoccuper de ça, Alex m'a dit exactement quoi faire.

"Lèches-moi le bout". Je l'ai regardée dans les yeux, et quels yeux! Remplis de désir et de perversion... Je suis restée quelques secondes à regarder, mais j'avais mes ordres! Je me suis avancée de quelques centimètres et doucement, avec le bout de la langue, j'ai commencée à lécher doucement sa virilité. Un coup de langue rapide, qui frôlait plus qu'autre chose. Je ne savais pas à quoi m'attendre; un goût bizarre? Une texture étonnant? Finalement, c'était doux, bien plus que ce que je pensais, avec un léger goût mais rien de désagréable, au contraire. J'ai recommencée, léchant plus fort et plus loin à chaque fois. Je me laissais aller, je me sentais comme une chienne en train de lécher son maître, car il aime ça.

"Lèches tout le long de ma queue". Qu'est-ce que ça m'a excitée d'entendre ce mot! Penis... sexe... des mots classiques. Queue! C'était grossier, c'était super excitante! Je n'y aurais jamais pensée. Je n'aurais jamais pu croire que des mots crus auraient pu autant m'exciter. J'ai mis ma tête d'un côté, et ma langue a dessinée une ligne allant de la base de sa queue jusqu'au bout... Puis j'ai recommencée, à nouveau en allant plis vite et plus fort, faisant des petits bruits de plaisir et de léchage; toujours avec l'idée d'une petite chienne qui lèche. Il a pris sa queue dans sa main pour se masturber, me laissant à nouveau lécher le bout. Je pensais vraiment qu'il allait finir comme ça, et qu'importe! Du moment qu'il prenne du plaisir... mais non!

Il s'est éloigné, laissant ma langue lécher dans le vide. Je l'ai vu s'installer sur le bord du lit, sa queue dressée en l'air. Il m'a regardé avec un sourire, avant de plonger sa main dans un tiroir pour sortir un préservatif. Je regardais, fascinée. Je l'ai vu sortir l'objet, le poser sur le bout, et le dérouler doucement le long de son sexe. Il s'est allongé sur le lit, puis m'a dit de venir sur lui. Il m'a guidé avec ses mains, pour que je suis toujours à quattre pattes, mais au-dessus de lui, puis il a pris sa queue dans une main et l'a frottée contre ma chatte. Il a du sentir mon désir brûler, j'étais rouge de chaleur et d'envie... La tête est venue juste à l'entrée de ma chatte, puis il m'a dit de venir m'asseoir, doucement, sur lui. Je m'étais déjà "entrainée", ma brosse à cheveux m'a beaucoup aidée, mais ça n'avait rien à avoir. On dit que la première fois ça fait mal, mais ça n'a pas été le cas. En utilisant ma brosse, ma virginité est partie depuis bien longtemps, mais quand-même, ce n'était pas pareil. Au début ça piquait un petit peu, rien de désagréable, mais c'était la première fois que j'avais une queue en moi, une vraie!

Il me laissait faire. Il pensait peut-être que j'aurais besoin de plus de temps, mais il était en moi, aussi profondement que possible. J'ai senti sa queue glisser en moi quand je me suis relevée, et maintenant c'était à mon tour de faire des va et vient avec mon corps, sentir sa queue glisser en moi, me remplir, m'éloigner un peu pour qu'elle me remplisse à nouveau. Une fois que j'avais pris un rythme, il a mis ses mains sur mes seins, et a commencé à les serrer, à les pincer. Ce n'était pas très doux, mais ce n'est pas ce que je voulais! Je voulais qu'il fasse ce qu'il voulait de moi, j'étais prête à tout (ou presque).

Ca a continué quelques minutes, et à chaque mouvement je regardais son expression, ses yeux, à étudier chaque gémissement de plaisir quand je bougais mon bassin. Soudainement, il a mis ses mains sur mes fesses pour me soulever, et sa queue est sortie de moi... Non! Pas encore, j'en veux encore! Il m'a guidée sur le côté, toujours à quattre pattes, et puis il est venu derrière moi. Je sentais ses mains sur ma taille... Ses mains étaient fermement posées, inutile d'essayer de me débattre, je ne pouvais pas m'échapper, mais je n'en avais pas envie. Je l'ai senti se préparer, sa queue venait à nouveau chercher l'humiditée de ma chatte, puis d'un coup de rein... J'ai criée, un "Ah!" perçant. Ce n'était pas de douleur, ce n'était pas de peur, mais simplement par extase. Ca n'avait rien à avoir! C'était beaucoup plus profond qu'avant, je sentais sa queue au plus profond de moi! J'ai aussi senti que mon cri a du lui faire peur, mais hors de question qu'il se retire! "Vas-y, t'arrêtes pas!", c'es tout ce que j'ai pu dire, déjà à court de souffle. Il s'est retiré doucement pour à nouveau venir fort en moi. A chaque impulsion, mon corps poussait contre le matelas. Je mordais les draps aussi fort que possible, sentant sa queue venir en moi, et ses couilles tapper contre mon clitoris. J'utilisais toute mon énergie pour ne pas basculer en avant, je m'appuyais contre la tête du lit pour ne pas tomber. Si je tenais bien, mon bassin bougeait un peu moins, et moins ça bougeait, plus sa virilité rentrait profondement en moi. Par instinct, ma main est venue me caresser ma chatte, en profitant pour lui caresser la queue en même temps. Je le pensais pas, mais j'étais à nouveau à deux doigts de jouir. Ca ne m'était jamais arrivée pendant que je me masturbais; une fois que j'ai jouie, c'était fini, mais ici, on me laissait pas le choix. Il était comme un marteau piqueur, des impulsions incessants qui faisaient bouger tout mon corps, me poussant contre la tête du lit. Je commençais à jour, mon corps tremblait...

"Vas-y, je veux t'entendre!" Après, il m'a avoué qu'il ne pensait pas que j'allais crier si fort.

Pendant que je jouissait, il n'a pas ralenti le rythme, au contraire... Il était presque là, je le sentais... Je me suis offerte à lui, ma chatte était là pour ses désirs, il n'avait qu'à faire ce qu'il voulait... Son rythme a changé, il a ralenti, et d'un coup il a poussé fort en moi pour y rester. Je l'ai entendu crier, un cri presque bestiale. J'ai vraiment sentie sa queue bouger en moi; pas avec un va et vient, mais toute la queue qui se dressait dans la chatte. On aurait dit qu'elle grossissait par impulsion, pendant qu'il se vidait. Je regrettais presque le préservatif, je voulais lui sentir en moi, mais il fallait qu'on soit un minimum sâge. Ses mains me caressait à nouveau les fesses et le bas du dos, éfleurant ma peau. Après le sport, j'avais droit à un massage doux, c'était très agréable. J'ai senti sa queue dégonfler doucement en moi, jusqu'à ce qu'il se retire. Elle me manquait déjà, et j'ai voulu le lui faire savoir. Je me suis retournée face à lui, je l'ai prise dans ma main pour venir faire quelques bisous au bout (le préservatif à un goût bizarre, je confirme), avant de me mettre è genoux et venir me blottir dans ses bras. On s'est allongé sur le lit, et on s'est endormi comme ça.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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