Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 19:12

La journée a commencée avec une fellation, comme à chaque fois. Je voulais qu'il parte au travail en pleine forme. Je savais que la chambre était nettoyée tous les jours vers 10h, et je savais qu'il rentrait vers 15h. J'en ai profitée pour faire un peu de PC, d'aller faire quelques longueurs dans la piscine pendant le nettoyage de la chambre, et d'aller manger a l'heure du midi. En revenant, la chambre était propre, il ne manquait plus qu'Alex. Je me suis déshabillée avant de me mettre sur le lit, à l'attendre. J'étais nue, allongée en plein milieu du lit, ma main entre mes jambes à me caresser doucement, sentant l'excitation monter. J'attendais. J'attendais qu'il rentre. Il allait peut-être venir dans la minute, ou peut-être même dans une heure, c'est pas grave! J'allais attendre.

20 minutes plus tard, j'ai entendu la carte dans le lecteur. Clic! Et la porte qui s'ouvrait. Et si ce n'était pas lui? Ce n'est pas grave, je ne connaissait personne ici, et si jamais quelqu'un me voyait me masturber, et alors? Dans une semaine j'étais partie. J'ai donc continuée à me caresser, les jambes écartées, le doigt glissant doucement sur mon clitoris, et l'autre main à serrer les draps de plaisir. J'ai entendu un petit soupir, Alex avec le souffle coupé. C'est bon, c'était lui, je pouvais donc me lâcher. Je gigotais dans le lit, un doigt qui me caressait, et puis deux, et puis trois... J'ai commencée à me caresser les seins, me concentrant sur la vue que je lui offrais, mais aussi sur mon plaisir. Il est resté à me regarder. J'ai tirée une jambe en arrière, exposant ma chatte et mes fesses, toujours avec une main qui caressait, et puis qui caressait entre mes fesses. J'imaginais son excitation monter, et je sentais ses yeux rivés sur mon corps, et ça ne faisait que m'exciter encore plus. J'ai glissée un doigt dans ma chatte trempée, en faisant du va et vient, avant de mettre un deuxième doigt. Ma main serrait mon sein très fort, pincant le téton, mais tout en faisant attention de ne pas cacher la vue. Je sentais l'excitation monter de plus en plus, mais j'étais loin d'avoir fini!

Je me suis mis à quatre pattes, mes fesses balançant doucement de gauche a droite pour qu'il puisse bien me voir, avant de recommencer à me caresser. La tête contre le matelas, une main me caressait la chatte, pendant que l'autre me caressait les fesses. Je lui montrais mon intimité, de façon à dire "Je pense à toi pendant que je me caresse", et "Tout ceci est à toi!". Je savais qu'il était excité, je savais qu'il avait envie de moi, et je pouvais presque sentir son érection traverser son pantalon, mais je n'avais toujours pas fini! Ma main est partie sous l'oreiller pour chercher le vibromasseur que j'y avais cachée, avant de venir le sucer comme si c'était Alex. J'étais gourmande, j'avais envie de lui sentir en moi, et ma langue et mes lèvres lui montraient de quoi j'avais envie. Je suçais longuement pendant que mes doigts me pénétraient, le tout en vue de son regard pervers. Une fois que je n'en pouvais plus, le vibromasseur est partie entre mes jambes, et en un mouvement, est allé au plus profond de moi.

Je criais de plaisir, le bruit étouffée par le matelas; des sons de "Mmmm oui", "Oh" et "Oui, j'aime ça!". Je sentais le plaisir monter, et avant de jouir j'ai retirée le vibromasseur pour finir en me caressant le clitoris. Avec les jambes bien écartées, j'ai jouie. Je sentais mes lèvres se serrer, et Alex pouvait tout voir de là où il était... A chaque cague de plaisir, ma chatte se reserrait de plus en plus, et je lui offrais ce spectacle, rien que pour ses yeux.

Je me sentais femme. Je me sentais belle. Je me sentais sexy.

C'était intense, et je ne tenais plus à genoux; je me suis éffondrée dans le lit. J'adore qu'on me regarde jouir. Quelques-uns de mes orgasmes les plus puissants étaient quand on avait les yeux rivés sur moi. Je ne suis pas égoïste; j'adore exciter, j'adore jouir, mais j'adore faire jouir. Alors quand j'ai sentie ses mains me prendre par la taille et me mettre en position, j'étais aux anges! J'étais à nouveau à quatre pattes, son sexe me pénétrant fort et vite, son doigt me caressant entre les fesses; j'étais ivre de plaisir. Je serrais les draps dans mes mains, je murmurais des "Oh, oui, vas-y, utilise-moi!", et j'essayais de tenir le mieux possible, répondant à ses mouvements de bassin avec le mouvement inverse. Vu la force de ses coups, je pense l'avoir vraiment excité. Je ne peux pas dire combien de temps ça a duré, j'en avais la tête qui tournait. Il s'est retiré pour jouir sur mes fesses et mon dos, avec un cri de "Ouiiii!". J'ai réussi à le faire jouir, je lui avait fait plaisir, et je me suis à nouveau éffondrée sur le lit. Je me suis réveillé une heure plus tard, Alex était en train de travailler sur le PC, mais se retournait de temps en temps pour me regarder dormir, nue, exposée. Je me suis levée pour venir m'installer sur ses genoux et l'embrasser, je sentais toujours sa jouissance sur mon dos. Je l'ai remercié, il ne savait pas pourquoi.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 20:04

Il était tôt, et il faisait nuit dehors. Vive le décalage horaire, on s'était encore levé trop tôt. Dehors, il faisait froid, mais la chambre était tout sauf froid. Un soupçon de gel dehors me glaçait, même si il faisait 22 degrés, j'avais envie d'avoir quelque-chose sur le dos en regardant dehors. Je portais une couverture autour des épaules, à contempler la scène. Je ne me rendais toujours pas compte que j'étais à l'étranger. Alex est venu derrière moi, toujours nu, et m'a serré dans ses bras. C'est dans ces moments là, dans les moments les plus philosophiques ou romantiques, que j'ai tendance à tout gâcher.


"J'ai entendu dire que la sodomie est interdit ici, c'est vrai?"


"C'était le cas, je ne sais pas si c'est toujours vrai".


Il faisait nuit dehors, uniquement quelques lumières de rue éclairait légèrement le paysage, mais ici, au 7ème étage, il faisait noir. Il n'y avait pas de lumière dans la pièce, personne ne pouvait nous voir. J'ai retirée le drap de mes épaules avant de le laisser tomber sur le côté. Retournant juste ma tête, je l'ai regardée dans les yeux;

 

"Alex, sodomise-moi, s'il te plait..."


J'ai senti ses mains me serrer fort par la taille, me poussant en avant. Je me suis laissée faire, lui offrant mes fesses. Il m'a caressé le dos, ses mains me rechauffant la peau pendant qu'elles descendaient vers mes fesses. Il me tenait fermement, puis soudainement je ne sentais plus ses mains sur moi. Je suis restée sur place; je sentais son regard sur mes fesses et entre mes jambes pendant qu'il est allé chercher quelque-chose dans la valise. Puis il est revenu derrière moi.

J'étais nue devant lui. Je ne le regardais pas; mon regard était attiré par la vue par la fenêtre. Je m'offrais à lui, je le laissais faire. Je sentais déjà son envie pour moi contre mes cuisses, pendant qu'il me caressait entre les fesses. Il avais pris le gel, et mettait suffisament sur moi pour que tout se passe bien. Doucement, avec un doigt, il me massait, il enfonçait doucement le doigt pour me pénétrer, pour me détendre. J'avais tellement chaud que mes mains laissaient des traces sur les fenêtres qui rayonnait de mes doigts.

Je me laissais aller avec les sensations, mais ce n'était que le début. Il a placé son sexe contre moi, et puis très doucement, il a commencé à pousser. Au début ça résistait, puis soudainement la tête est passée. Puis là, il ne bougeait plus. "Je te laisse venir sur moi". C'est donc moi qui guidait, qui me faisait pénétrer à ma vitesse. J'y allais doucement, comme il me l'avait conseillé. Ca fait un peu "mal" au début, mais il faut peu de temps pour s'habituer. Trente secondes plus tard, je faisais déjà des va et vient timides sur son sexe, m'empalant sur son désir. Et une fois prête, je me suis à nouveau penchée en arrière, en courbant mon dos au maximum, et en me soumettant à ses envies. Ses mains étaient à nouveau sur ma taille; fortes, chaudes, comme j'aime. Il me tenait, impossible de s'échapper. Il me tenait, il me prenait, j'étais à lui. Il a commencé les va et vient à son rythme; doucement au début, mais en accélerant pour atteindre un rythme qui lui plaisait. Je n'en pouvais plus, je voulais me caresser pendant qu'il me prenait. J'ai glissée ma main entre les cuisses, et j'étais étonnée de l'humidité que j'y ai trouvée. Mon clitoris ne demandait que du plaisir, et j'étais plus que contente de lui en donner. L'idée de faire quelque-chose d'interdit m'excitait au plus haut niveau, et j'ai jouie avant Alex.

Une fois les vagues de plaisirs finies, c'était à son tour à cent pourcent de prendre du plaisir, et il le savait. On n'a pas changé de position, on n'est pas allé sur le lit, on est resté là à la fenêtre. Il me tenait fermement, me pénétrant à son rythme. Je le taquinais en serrant de temps en temps, et j'adorais les petits "Oh mon Dieu!" que j'éntendais derrière moi. Puis la respiration est devenue plus forte; d'un coup il m'a tirée fort vers lui, pour venir me pénétrer au plus profond. Je sentais sa queue pulser en moi pendant qu'il se vidait; je sentais chaque vague, j'entendais chaque petit cri, et j'adorais. Après la force, voici la tendresse. Il s'est éfondrée sur mon dos; je sentais la chaleur et les gouttes de sueur. Ses mains étaient sur mon ventre et sur mes seins; caressant très doucement. J'adore ses moments de tendresse...

On est resté là quelques minutes à regarder, puis direction la douche...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 21:58

Ce qui est bien avec les décalages horaires, c'est qu'on a soit plus de temps le matin, soit plus de temps le soir. Et là, même après ce qui était une grasse matinée pour nous, il n'était que 5 heures du matin heure locale. Son contact devait venir le chercher vers huit heures à l'hôtel, ce qui nous laissait plein de temps. Je n'avais pas oubliée ma place, ni le fait qu'il "comptait" sur moi pour être en forme, et quand je l'ai vu sauter sur son téléphone pour lire ses emails et regarder son agenda, j'ai voulu le détendre un petit peu. Je me suis glissée sous les draps pour lui faire plaisir. Il pouvait continuer à lire ses emails si il voulait, j'allais m'occuper pendant ce temps. Je me suis mis à côté de lui, ma tête au niveau de ses hanches, et j'ai caressée son sexe doucement, le regardant et le sentant durcir à chaque caresse. La peau était sèche, mais quelques coups de langue a rapidement changé tout ça. Ma langue titillait le bout, puis léchait du haut en bas avant de revenir, et une fois suffisament excité, je l'ai plongée dans ma bouche pour venir le sucer. Ses mains dans les cheveux m'ont dit qu'il avait déjà laissé tomber ses emails, mais ce n'est pas pour ça que j'allais m'arrêter! J'y allais doucement, comme la douche de la veille. On avait le temps, je pouvais prendre deux heures si j'en avais envie, alors j'avais envie qu'il sente mes lèvres glisser doucement sur son membre. Ma main répétait les mouvements sur son sexe, faisant de va et vient, et l'autre lui caressait doucement entre les jambes. Je l'ai senti suivre mes mouvements avec ses hanches, et quelques minutes plus tard, je me suis redressée pour venir m'installer sur lui. J'étais déjà mouillée depuis longtemps, alors son sexe a pu glisser doucement en moi quand je me suis assise sur lui. Je n'étais pas allongée; j'avais le dos droit, lui montrant mes seins pendant que je montais et descendais sur son sexe. Ses mains sont venues pincer mes tétons pendant que je gémissait, mordant ma lèvre et laissant mes cheveux se ballader dans mes cheveux. Nous avons continué un certain temps à prendre du plaisir comme ça, allant plus vite avant de ralentir, profitant de la vue et des sensations. Quand des mains sont venues sur ma taille pour me soulever, je me suis laissée tomber sur le coté avant de me retresser à quatre pattes, mes fesses offertes à sa vue. Le lit était tellement grand qu'on n'avait pas besoin de se re-positionner; il pouvait profiter de moi directement sans perdre du temps, et il n'a pas perdu de temps. Ses mains m'ont pris fermement par la taille avant qu'il ne me prenne profondement. On était à l'hôtel, et comme on n'a rien entendu de la nuit, j'ai pu me lâcher un petit peu. Son coup de bassin m'a fait crier de plaisir, et je me suis laissée prendre en offrant des "Oh, oui! Oh, OUI!" de plus en plus fort. Son mouvement s'accélerait, et il rentrait de plus en plus profondement en moi, chaque mouvement de bassin semblait encore plus grand que le précédent. Je me suis laissée aller avant de jouir; criant son nom, et lui suppliant de continuer. Une fois les vagues de plaisir finies, je me suis retournée pour venir prendre son sexe dans la bouche pendant qu'il se caressait, et il ne lui a pas fallu très longtemps avant de jouir. J'ai tout pris, envieuse de faire plaisir, et prenant mon temps, faisant de doux mouvements de va et vient avec les lèvres, ma langue tournant doucement sur le bout, et le sentant se reposer doucement après l'effort. En regardant l'horloge, on s'est rendu compte qu'on faisait l'amour depuis plus d'une heure! Le temps de prendre une douche et de s'habailler, c'était l'heure de prendre le petit déjeuner, avant de le voir partir, heureux, pour son travail.
J'étais toute seule à l'hôtel pour la journée. L'hôtel avait une piscine, mais je n'avais pas pensée à prendre mon maillot de bain. Je me suis balladée dans les magasins près de l'hôtel (placé juste à côté d'un grand centre commercial, mais du genre beaucoup plus grand que tout ce que j'ai pu voir en France). J'avais espoir de le voir revenir à l'hôtel pour le repas du midi, mais pas de chance, il a du manger avec le client. Je me suis retrouvée toute seule au restaurant de l'hôtel, avec un plat absolument délicieux. Envoyant la note vers sa chambre, je suis ensuite remontée vers la chambre pour m'installer sur mon PC. Vers 15h il est rentré, et je ne m'y attendais pas. J'ai appris avec grand plaisir qu'il allait passer tous les matins à l'entreprise, et tous les après-midis à travailler dans la chambre, car l'environnement de l'entreprise lui permettait pas de travailler convenablement. Par contre, pour le premier jour, il n'avait pas grande chose à faire, donc on allait faire quelques courses. Moi qui avait oubliée mon maillot de bain, finalement j'ai eu de la chance, il m'en a acheté un, ainsi que quelques vêtements pour marquer l'occasion. J'étais ivre de joie, mais il y avait autre chose qui m'a marquée. J'étais habillée en femme, pas en fille, mais quand-même, j'avais plus de 10 ans de différence avec lui, mais personne ne nous a regardé bizarrement, pas un. On pouvait se ballader la main dans la main, et on n'a jamais eu un seul regard critique.
En rentrant, il m'a dit de profiter de la piscine le temps qu'il travaille un petit peu. J'ai quittée la pièce avec Alex assis devant un bureu, les yeux rivés sur son écran, et quand je suis revenue deux heures plus tard, il était dans la même position. Je lui ai fait un petit bisou par derrière et je lui ai demandée si tout allait bien; il m'a pris la main avant de répondre à mon bisou et me dire que tout allait bien, qu'il était confiant. Direction le restaurant encore, avant une petite ballade dans les jardins à côté de l'hôtel, puis nous sommes remontés dans la chambre. Il ne lui a pas fallu longtemps pour se remettre sur son ordinateur pour vérifier quelques détails, et je lui ai laissée quelques minutes pour ça. Une fois que j'étais sûre qu'il avait tout verifié, j'ai enlevée ma robe très discrètement avant d'aller le rejoindre. M'installant sur ses genoux, les jambes écartées, je lui ai demandé avec le sourire si il ne pensait pas qu'il avait eu le temps qu'il lui fallait pour vérifier, et qu'il ferait mieux de sé détendre un petit peu avant de s'endormir? Un petit bisou, sur ses lèvres, et un deuxième... Et un troisième... Pendant ce temps je dégraffais mon soutien-gorge pour lui montrer mes seins... Il m'a soulevé comme si je pensais dix kilos, avant de me mettre de force sur le lit. En déboutonnant son pantalon, il m'a mis à quatre pattes. Le lit était haut par rapport à chez moi, et il a pu me prendre tout en restant debout. Ses mouvements étaient beaucoup plus forts que d'habitude, et il était tellement excité qu'il ne m'avait même pas enlevé mon string, il l'avait simplement poussé sur le côté avant de me pénétrer. Mon visage était collé contre le lit, je mordais les draps pour ne pas hurler pendant qu'il me prenait les mains pour me tirer les bras en arrière. Il était comme un étalon, il me prenait fort et profondement. Je sentais ses testicules venir frapper ma chatte à chaque mouvement, il me remplissait, et il n'avait aucune intention d'arrêter. Je ne pouvais que crier de plaisir, en répétant "Oui, ah oui, continues, t'arrêtes pas! Encore!". Son mouvement était de plus en plus fort, et je savais qu'il allait jouir... Il s'est retiré pour finir en se caressant, se vidant sur mes fesses. Je sentais le liquide chaud sur mes fesses et le bas de mon dos, en entendant ses cris de jouissance. Je me suis retournée pour le regarder, un énorme sourire au visage. Avec un doigt, je jouais avec quelques gouttes sur mes fesses avant de mettre mon doigt dans la bouche pour lui montrer que j'adorais ça, avant de me retourner pour venir prendre son membre doucement dans la bouche. Je suçais très lentement, le laissant se détendre très tendrement. Deux minutes plus tard, j'ai laissé son membre tranquille, au repos, avant de le regarder avec le sourire, "Je crois que j'ai besoin d'une douche!".
"Je t'accompagne"

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 21:35

Mes parents le faisaient, et à croire que c'est le sort qui est réservé aux développeurs informatique. Alex devait partir en déplacement à l'étranger, un déplacement plutôt stratégique. J'ai cru comprendre que sa société lui mettait une certaine pression, et qu'il devait être en forme et bien préparé pour pouvoir assurer ce qu'il y avait à faire. Il paraissait confiant, mais ça m'embêtait de le voir partir. Je ne savais pas qu'il avait un plan B.


"Tu fais quoi la semaine prochaine?". Comme d'habitude; ma vie était bien plus monotone que la sienne. J'ai quelques cours, je vais peut-être aller à la piscine un soir; rien de bien exceptionnel. "Alors viens avec moi." J'ai éclatée de rire, mais bien-sûr! Ca serait géniale! On ira aux States, on se promenera partout, toi et ton boulot, moi et mes études... Puis c'est là que j'ai compris, en fait, il était sérieux. "Je suis sérieux, viens avec moi". Que dire? J'avais très peu de temps pour m'organiser. J'ai demandée à mon école, et en exagérant un tout petit peu sur mes raisons de partir, mes professeurs étaient d'accord. J'avais un passeport en règle. Qu'est-ce qui me manquait? Les règles, peut-être... Et il était assez clair. Sans être méchant, il a bien dit qu'il était là principalement pour le travail, que pendant la semaine, c'était son travail avant tout. Il aurait du temps à m'accorder le soir, le matin, mais en journée, il ne serait probablement pas là. En attendant, le vol, l'hôtel, les repas et les ballades étaient tous pris en charge. Il me semble que ça s'appelle "escort girl". L'idée me séduisait! Oui, on parlait de sexe, pour qu'il soit en forme, mais ça j'adorais faire de toute façon, inutile de me le demander! Et après, l'épauler dans son travail, être là pour lui, et pouvoir l'accompagner aux restaurants et aux ballades? Je signe où? J'ai dit oui. Le lendemain, j'avais mes billets d'avion.

 

Question de la plus haute importance pour une fille; que mettre dans ma valise? Et comment faire pour que tout rentre? Alex m'a donné un petit coup de pouce, en m'offrant un bon d'achat pour un magasin, j'ai pu m'acheter quelques robes un peu plus élégantes que ce que je mettais habituellement (même si je ne suis pas vraiment le genre jean basket). J'ai mis des robes, des sous-vêtements un peu sexy... En gros, j'ai pris le plus sexy, le plus sensuel de ce que j'avais, et je l'ai mise dans une valise. Et les sex-toys. Et mon PC. Je savais que je m'allais m'en servir! Le jour J, il est passé me prendre avant qu'on aille à la gare. J'étais en robe noire, ni trop courte ni trop longue, les cheveux plaqués, chaussures élégantes; j'étais une femme. Je me souviendrai toujours de son regard, et de son "Mon Dieu que tu es belle". J'ai rougie, et j'ai quittée mon appartement, pour une semaine.


C'était le dimanche matin, et il n'y avait pas beaucoup de monde dans le train à direction de Paris. Je m'imaginais comme son associée, ou sa secretaire, à le suivre là où il avait besoin. Il était confiant, et là où il me fallait 5 minutes pour trouver le quai, il savait déjà où aller. Il était fort, il n'avait besoin de rien, rien apart moi. J'adorais cette idée! Après 3 heures de train, j'étais à l'aéroport, et j'essayais de le suivre comme avant, mais à l'intérieur j'étais comme une folle! Je n'avais jamais pris l'avion, je n'avais même jamais mis les pieds dans un aéroport. Il a bien vu que je regardais partout, et il m'a dit de me détendre, qu'on n'était pas encore au travail, que c'était le weekend, et arrêtes de sauter partout, vas-y, regardes! On a pas mal d'avance! J'ai rajeunie de 10 ans au moins avant d'aller regarder les avions par les fenêtres! Enregistrement de baggages, un petit restaurant, et nous voilà en train d'embarquer. Sa société l'a envoyé en classe économique, mais vu qu'il voyageait beaucoup, il avait une carte de fidélité digne de ce nom, et on a pu embarquer dans la file VIP. Je sentais les regards sur moi, et j'adorais ça! Nous avons embarqué dans l'avion, on a pris nos places, et en gentleman qu'il est, il m'a laissé la place hublot. Il y avait deux fauteuils avant le couloir, donc on était que tous les deux, mais l'avion était plein à craquer, aucune place de disponible. Je m'attendais à moins de monde, et si j'avais envie d'être pas très sâge, c'était raté. Impossible de lui faire plaisir sans qu'on nous voit. Et comme c'était un vol de jour, on n'allait pas pouvoir se cacher. Dommage, j'avais prévue des bas noirs, je sais qu'il les adore tant!


Avoir un fauteil à côté du hublot, c'est sympa, mais pour un vol de huit heures, ça ne suffit pas. Au dessus de l'atlantique, il n'y a strictement rien à voir, et heureusement que chaque place a son lecteur multimédia. On a mangé, on a regardé un film, on a papoté, et il a même réussi à dormir, mais je n'ai aucune idée comment il a fait. Il y en a qui adorent passer leur vie en avion, je ne les comprend pas. J'étais vraiment désolée pour Alex, mais je devais me faire un peu plaisir, et je me suis levée pour aller aux toilettes, avec mon téléphone pour faire quelques photos de tout ça. Ca a toujours été un fantasme de faire l'amour dans un avion, mais pas moyen, je devais le faire toute seule. Et justement, toute seule dans un endroit microscopique, et pas ultra glamour, je me suis quand-même caressée; en me caressant les seins, je sentais bien que j'étais excitée, puis une main est allée caresser mes cuisses avant de remonter sur mon clitoris. Je me suis caressée comme je le fais habituellement, en m'accordant quelques pauses par çi par là pour faire quelques photos pour Alex. Il ne m'a pas fallu longtemps avant de jouir, la tête qui tournait de plaisir et d'excitation de voyager... J'étais quand-même vraiment triste de ne pas pouvoir le faire avec Alex.


En arrivant aux Etats Unis, tout était different, même l'air semblait différent. Là, par contre, on était dans son territoire, on n'était plus en train de s'amuser, alors j'étais sage et je le suivais. Les douanes, les baggages; pendant tout ce temps j'étais juste derrière lui. C'est étrange, le changement de comportement. J'ai connu l'Alex rigolo, adorable, pervers, mais là, c'était autre chose. C'était un professionnel, en costume cravate, et franchement, ça lui allait trop bien. Après avoir réussi à passer les douanes et récupérer nos valises, direction taxi, direction hôtel. On est arrivé à l'hôtel vers 18h heure locale, mais ça faisait minuit chez nous, et on était fatigué de notre voyage.


L'hôtel était vraiment sympa, et a priori très habitués aux étrangers. On nous a proposé de monter nos valises pendant qu'on profite du restaurant, et nous sommes restés un peu de temps à manger, a discuter et à rire. Je n'étais plus la petite étudiante, je me sentais vraiment proche de lui, et habillée comme ça, je me sentais femme. Je n'ai jamais eu à me plaindre, il a toujours été adorable avec moi, mais là, il me ramenait avec lui à l'étranger! L'avion, le restaurant... tout était pris en charge. J'étais aux anges. Il m'a demandée si je voulais un dessert, je lui ai montrée mon téléphone, et les photos prises lors du vol. Il m'a fait un sourire coquin, a demandé l'addition et nous sommes montés découvrir la chambre. Elle était immense, le lit était le plus grand que j'ai vu jusqu'ici, et la salle de bain était sublime. Nos valises nous attendaient, et Alex a pris quelques affaires avant d'aller vers la salle de bains. Je lui ai dit qu'il en profite, que j'allais prendre ma douche après lui. "Tu n'es pas obligée d'attendre, tu as vu la taille?" Je suis rentrée dans la salle de bain pour regarer, et en effet, on pourvait s'y mettre à deux sans aucun souci. Alex était en train de rentrer, l'eau chaude sur son corps, et je pouvais profiter du spectacle grâce a une plaque de verre qui ne cachait rien. Je pouvais tout voir, ce qui voulait dire qu'il pouvait tout voir aussi. J'ai attendue qu'il me regarde, avant d'enlever la bretelle de ma robe. Je me suis caressée l'épaule, puis le sein, avant de descendre sur mes hanches. J'ai enlevée l'autre bretelle, avant de défaire la fermeture éclair sur le côté, lentement. A chaque centimètre, ma robé dévoilait un petit peu le côté, et a mi-distance il savait ce que je portais comme soutien-gorge; une dentelle noire qui mettait en valeur ma décolleté, et qui cachait à peine mes tétons. Je voyais déjà sa réaction. Sans le quitter des yeux, j'ai continué, et à la fin de la fermeture, ma robe est tombée par terre, montrant mon string noir et mes bas noirs. Là, il était totalement excité; son sexe ne pouvait plus cacher son envie. Je lui ai fait une strip-tease, dégraffant mon soutien gorge pour ensuite cacher mes seins avec mes bras, avant de doucement les exposer. Le string est descendu doucement aussi, me retournant en l'enlevant pour qu'il puisse voir mes fesses et ma chatte brièvement. Et puis les bas, aussi sensuellement que possible, avant d'avancer doucement vers la douche, sans le quitter du regard. Il m'a ouvert la porte, et je suis rentrée avec lui, le prenant dans les bras et en l'embrassant longuement. Ses mains étaient sur mes hanches, et l'eau chaude sur mon corps m'a réveillée d'un coup. Ses mains sont passées sur mes fesses, me tirant vers lui, et j'ai sentie son envie presser contre moi. Je me suis retournée pour lui offrir mes fesses, et il ne demandait que ça! Le bruit de l'eau qui coulait sur mon dos, la chaleur de l'eau et la vapeur, les odeurs du gel douche et son sexe qui rentrait en moi, tout ça m'a mis dans un état d'excitation incroyable. J'avais envie de lui, j'avais besoin de lui; besoin qu'il me prenne, qu'il m'embrasse, et qu'il fasse ce qu'il veut de moi. Il a pris son temps; m'explorant, me pénétrant doucement, lentement. J'étais soumise, il est vrai, mais ça ne veut pas dire que ça doit être rapide ou bestiale à chaque fois; on a appris à faire l'amour plus lentement, et les mouvements étaient fluides et sensuelles. Je me suis penchée en arrière pendant qu'il me caressait les seins, et j'en ai profitée pour lui mordiller l'oreille, qui avait un effet magique à chaque fois. Le va et vient s'accélerait, ses mains me serraient et pincaient de plus en plus, et quand j'ai sentie le moment venir, je me suis mis à genoux devant lui pour lui goûter, son sexe dans ma bouche et une main sur ses fesses pour le tirer d'avantage vers moi, l'autre entre mes jambes en me caressant le clitoris. Nous avons joui ensemble, mes cris étouffés par son sexe, et ses tremblements qui étaient bercés par ma langue... Ne tenant pas debout, il s'est assis à côté de moi sous la pluie d'eau, et on s'est caressé quelques minutes en silence. Ensuite, après notre douche, direction le lit pour tomber de sommeil.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 21:10

Les écrits qui suivent ne sont pas forcément dans l'ordre chronologique. C'était important de savoir comment les choses se sont passés au début, mais depuis ce temps, je pense que mes écrits peuvent maintenant être écrits dans le désordre; j'écrirai les événéments les plus marquants, ceux dont je me souviens le mieux, ou qui m'ont le plus marquée, avant de revenir sur d'autres. Bien entendu, quand je parle d'un sujet ou d'une histoire en plusieurs messages (comme ce qui va suivre), c'est dans l'ordre chronologique. Mon journal intime est rempli d'événéments très sympatiques, mais il y a aussi des périodes qui sont reltivement calme par rapport aux autres; je ne vais pas donc raconter que ça a été "calme" pendant deux semaines! Et sur ce, la suite! J'espère que ça va vous plaire...

Par Ana - Publié dans : Parenthèse
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