Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 20:04

Il était tôt, et il faisait nuit dehors. Vive le décalage horaire, on s'était encore levé trop tôt. Dehors, il faisait froid, mais la chambre était tout sauf froid. Un soupçon de gel dehors me glaçait, même si il faisait 22 degrés, j'avais envie d'avoir quelque-chose sur le dos en regardant dehors. Je portais une couverture autour des épaules, à contempler la scène. Je ne me rendais toujours pas compte que j'étais à l'étranger. Alex est venu derrière moi, toujours nu, et m'a serré dans ses bras. C'est dans ces moments là, dans les moments les plus philosophiques ou romantiques, que j'ai tendance à tout gâcher.


"J'ai entendu dire que la sodomie est interdit ici, c'est vrai?"


"C'était le cas, je ne sais pas si c'est toujours vrai".


Il faisait nuit dehors, uniquement quelques lumières de rue éclairait légèrement le paysage, mais ici, au 7ème étage, il faisait noir. Il n'y avait pas de lumière dans la pièce, personne ne pouvait nous voir. J'ai retirée le drap de mes épaules avant de le laisser tomber sur le côté. Retournant juste ma tête, je l'ai regardée dans les yeux;

 

"Alex, sodomise-moi, s'il te plait..."


J'ai senti ses mains me serrer fort par la taille, me poussant en avant. Je me suis laissée faire, lui offrant mes fesses. Il m'a caressé le dos, ses mains me rechauffant la peau pendant qu'elles descendaient vers mes fesses. Il me tenait fermement, puis soudainement je ne sentais plus ses mains sur moi. Je suis restée sur place; je sentais son regard sur mes fesses et entre mes jambes pendant qu'il est allé chercher quelque-chose dans la valise. Puis il est revenu derrière moi.

J'étais nue devant lui. Je ne le regardais pas; mon regard était attiré par la vue par la fenêtre. Je m'offrais à lui, je le laissais faire. Je sentais déjà son envie pour moi contre mes cuisses, pendant qu'il me caressait entre les fesses. Il avais pris le gel, et mettait suffisament sur moi pour que tout se passe bien. Doucement, avec un doigt, il me massait, il enfonçait doucement le doigt pour me pénétrer, pour me détendre. J'avais tellement chaud que mes mains laissaient des traces sur les fenêtres qui rayonnait de mes doigts.

Je me laissais aller avec les sensations, mais ce n'était que le début. Il a placé son sexe contre moi, et puis très doucement, il a commencé à pousser. Au début ça résistait, puis soudainement la tête est passée. Puis là, il ne bougeait plus. "Je te laisse venir sur moi". C'est donc moi qui guidait, qui me faisait pénétrer à ma vitesse. J'y allais doucement, comme il me l'avait conseillé. Ca fait un peu "mal" au début, mais il faut peu de temps pour s'habituer. Trente secondes plus tard, je faisais déjà des va et vient timides sur son sexe, m'empalant sur son désir. Et une fois prête, je me suis à nouveau penchée en arrière, en courbant mon dos au maximum, et en me soumettant à ses envies. Ses mains étaient à nouveau sur ma taille; fortes, chaudes, comme j'aime. Il me tenait, impossible de s'échapper. Il me tenait, il me prenait, j'étais à lui. Il a commencé les va et vient à son rythme; doucement au début, mais en accélerant pour atteindre un rythme qui lui plaisait. Je n'en pouvais plus, je voulais me caresser pendant qu'il me prenait. J'ai glissée ma main entre les cuisses, et j'étais étonnée de l'humidité que j'y ai trouvée. Mon clitoris ne demandait que du plaisir, et j'étais plus que contente de lui en donner. L'idée de faire quelque-chose d'interdit m'excitait au plus haut niveau, et j'ai jouie avant Alex.

Une fois les vagues de plaisirs finies, c'était à son tour à cent pourcent de prendre du plaisir, et il le savait. On n'a pas changé de position, on n'est pas allé sur le lit, on est resté là à la fenêtre. Il me tenait fermement, me pénétrant à son rythme. Je le taquinais en serrant de temps en temps, et j'adorais les petits "Oh mon Dieu!" que j'éntendais derrière moi. Puis la respiration est devenue plus forte; d'un coup il m'a tirée fort vers lui, pour venir me pénétrer au plus profond. Je sentais sa queue pulser en moi pendant qu'il se vidait; je sentais chaque vague, j'entendais chaque petit cri, et j'adorais. Après la force, voici la tendresse. Il s'est éfondrée sur mon dos; je sentais la chaleur et les gouttes de sueur. Ses mains étaient sur mon ventre et sur mes seins; caressant très doucement. J'adore ses moments de tendresse...

On est resté là quelques minutes à regarder, puis direction la douche...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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