Histoire

Samedi 9 février 6 09 /02 /Fév 19:04

Comme j'ai dit, tout n'est pas forcément dans l'ordre. Ceci s'est passé quand j'étais plus jeune.

Je suis rentrée chez Alex un soir après les cours. On est parti rapidement à Casa chercher quelques objets de décoration. Des bougies, un vase décoratif et deux ou trois boites de cailloux. De tout petits cailloux qu'on met dans un bocal pour la décoration. Je ne savais absolument pas ce qu'il allait en faire; simplement un peu de décoration chez lui? Perdu.

En rentrant, on s'est installé sur le canapé. Il a pris son ordinateur, avant de faire un tour sur Internet. Il m'a fait signe de venir contre lui, et je l'ai fait sans hésiter. Collée contre lui, ma tête sur son épaule, je voyais son écran. Youporn? Ah oui? D'accord... Ah, ce n'est pas le seul. D'accord! Voyons voir ce qu'il veut en faire.

Il m'a montré quelques vidéos, et il m'a demandé de dire ce que j'aimais, et ce que j'aimais pas. C'est difficile à dire, je n'étais pas encore une experte dans le domaine. Quelques vidéos sont plutôt classiques. Un couple qui fait l'amour dans un lit. Suivant. Un couple qui fait l'amour dehors? Pourquoi pas. Et une vidéo qui s'appellait "Faciale". Et moi, la question naïve, "C'est qui une faciale?". Il m'a montré sur la vidéo. Puis il a pris un des cailloux qu'il avait acheté, a pris un marqueur, et a marqué "faciale" dessus. Puis il l'a glissé dans un petit sac en velours noir. Je ne comprenais pas. Je l'ai regardée avec un air surprise, et il m'a dit qu'à chaque fois que je voyais quelque-chose de nouveau, je devais le dire. On le met sur un caillou, et puis je piocherai dans le sac. Puis on essayera. J'ai senti mon coeur battre un grand coup, et j'aurais pu jurer sentir mon sexe passer instantanément de l'étape "repos" à l'étape "S'il te plait, s'il te plait, du plaisir!!".

Quelques vidéos plus loin, on avait déjà une liste. Je n'avais strictement aucune idée si ça allait me plaire ou pas, mais je voulais tester. Bondage, fessée, dominatrice, expérience lesbienne, fantasme du viol... Quelques positions aussi. Tellement de choses dedans, et hélas, je ne me souviens pas de tout! Je vais devoir piocher un petit peu dans mon journal. Une fois qu'on avait fini, c'était à mon tour de travailler. Il a mélangé le sac, puis me l'a tendu. J'y ai plongée la main, et après avoir remué un petit peu, j'ai sorti mon premier galet.

Dominatrice.

Les règles étaient simples. Je piochais un gâlet, mais on ne le faisais pas immédiatement. Autant une faciale, on aurait pu le faire de suite, autant quelques pratiques nécessitaient un peu de préparation, voir au pire des courses. J'allais donc jouer le rôle de dominatrice, mais demain. J'avais le temps d'y penser, Alex le temps de préparer une scène. En attendant, il était aussi excité que moi, et il savait bien ce qu'il voulait. D'un geste fort, il m'a tiré sur ses genoux, en position de fessée. La fessée faisait partie des gâlets, donc j'étais un peu surprise, mais ce n'est pas à ça qu'il pensait. Il a relevé ma jupe pour regarder ce qui s'y cachait en dessous, et jouait avec mon string. Ses doigts suivaient le tissu, puis passaient entre mes jambes. A chaque fois qu'il frôlait mon sexe, je frisonnait. J'étais absolument trempée, je le sentais sur mes cuisses depuis un peu de temps déjà. Il y a glissé un doigt, puis deux, puis trois... "Mmmmm" est tout ce que j'ai pu faire comme bruit. Il me masturbait avec ses doigts, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Son doigt titillait mon clitoris, avant de plonger à nouveau profondement. Puis il m'a relevée pour me remettre à genoux, plaquée contre le canapée. Il me tenait mes mains derrière mon dos, et s'est positionné derrière moi pour me prendre en levrette. C'était fort, c'était rapide, et c'était exactement ce qu'il me fallait! J'ai jouie en criant, étouffée par le coussin. Puis il m'a installée sur le canapé, allongée sur le ventre, et il est venu derrière moi. Au lieu de se positionner entre mes jambes, j'avais les jambes fermées. Il m'a fait geste de mettre mes mains sur mes fesses et de les écarter, et il m'a pénétrée comme ça. J'étais trempée, et son sexe glissait entre mes cuisses et dans ma chatte sans résistance. C'était serré, et les sensations étaient très agréables, pour les deux. Si je voulais qu'il continue à me prendre, je devais mouiller, et c'est exactement ce que je faisais. Il me serrait les jambes avec les siens, et son sexe faisait du va et vient entre mes cuisses et a plus profond de moi, pendant qu'il se reposait sur ses mains sur mon dos. Plaquée, prisonnière... Et aux anges.

Il a joui en moi, pendant que je serrais mes jambes et mon sexe. Puis on est resté comme ça quelques minutes, il me massait le dos, je me détendais, sentant quelque-chose couler doucement sur ma jambe. Une trophée...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 21:09

En relisant mon blog, j'ai l'impression de donner une fausse impression sur mon couple. Jusqu'ici, tout a été rose. Je suis peut-être jeune, mais pas naïve à ce point. Je ne vis pas dans un monde Disney, avec des pricesses, des fées et des grenouilles magiques. Aucun couple n'est absolument parfait, et même si tout se passe très bien, on a quand-même eu des moments difficiles. On n'est pas du genre à se disputer, bien au contraire, mais on a déjà eu des désaccords, et parfois des moments très difficiles.

Alex est ingénieur, et a déjà travaillé sur l'analyse de défaillances. Etudier un système (ou ce qu'il en reste) et tenter de comprendre ce qui a échoué, ce qui a fait en sorte que le système se plante. Tiens, pourquoi ce lecteur CD a explosé? Pourquoi la télé a crammée? Ca pourrait être drôle... sauf que lui a travaillé sur les défaillances en aéronautique. J'ai assistée à une de ses conférences où il exposait une défaillance logicielle, et les conséquences (desastreuses) que ça a eu. Je me souviens avoir naïvement dit à la fin que ça doit être géniale de travailler dans ce domaine, et il m'a répondu que non. La vie est parfois très injuste. Pour quelqu'un qui a essayé de rendre le système plus fiable, il a été attristé d'apprendre la disparition d'un avion entre Rio et Paris. Surtout qu'il connaissait l'équipage. Quelques uns étaient des amis.

Ce vol était marquant pour plusieurs raisons, mais surtout le fait qu'aujourd'hui, avec tout notre technologie, on ne peut pas admettre de "perdre" un avion. Il s'est écrasé, on a trouvé des morceaux flotter dans l'eau, mais on ne savait pas où était l'épave. Malgré les systèmes, l'avion était perdu. Ca doit être difficile de vivre une situation comme ça, où on a perdu des gens, et qu'on risque de ne jamais savoir ce qui s'est passé. Je suis consciente que je "tue" un peu l'ambiance du blog. Désolée!

Par "miracle", ils ont réussi à trouver les boites noires après presque deux ans, et le BEA a commencé à faire son analyse. Etant personellement touché par cette situation, Alex a reçu un rapport officiel. Il est encore quelque-part dans son armoire. Il y avait un avant et un après. Le jour même, j'ai retrouvée un inconnu. Physiquement, c'était Alex, mais quelque-chose dans ce rapport l'avait complètement bouleversé. Fini les sourires, et fini les câlins. Il entamait une dépression.

C'était difficile pour nous. C'était difficile pour moi puisque je n'avais pas mon quota de câlins (n'en parlons même pas du sexe), mais je comprenais. C'était difficile pour Alex, car il n'est pas comme ça normalement. Quand il passe une mauvaise journée, il fini dans mes bras. Là, non. Je ne voulais pas le laisser comme ça, mais il n'avait plus beaucoup de désir. Je pouvais m'habiller librement sans le sentir derrière moi, et ça me manquait. Il ne me caressait plus les seins, je ne sentais plus sa main entre mes cuisses. Difficile...

Je me suis décidée. Il avait besoin d'un coup de main pour s'en sortir, mais il ne pouvait pas le demander. Je l'ai laissée se coucher en premier, et je suis allée le rejoindre quelques minutes plus tard. J'étais nue, mais je ne pensais pas que la vue de mon corps le fasse réagir. J'avais une autre idée. Je me suis allongée devant lui, dos à lui, avant de venir le coller contre lui. Il n'était pas étouffé, libre à lui de se retourner si j'en faisais trop. J'ai réussi à placer mes fesses exactement là où je voulais, contre son sexe. Quelques mouvements de bassin, j'ai pu caresser très doucement, tatant le terrain pour voir si il y avait une réponse. Et il y en avait une. Je sentais son sexe durcir doucement contre mes fesses, alors j'ai continuée. Son membre se durcissant; je le sentais qui cherchait du plaisir. En me positionnant autrement, son sexe s'est glissé entre mes cuisses. C'est là que j'ai sentie une main venir sur mon sein, et chercher un téton qui était déjà dur. Quelques bisous dans le cou. J'étais aux anges; ça me manquait tellement. On s'est câliné comme ça deux ou trois minutes, puis je me suis "penchée" en avant. L'effet était d'une levrette "allongée" sur le côté. Il m'a pénetré doucement, et ça faisait vraiment du bien de retrouver cette tendresse et complicité. Il manquait de vigueur et d'énergie, mais je pouvais donner un peu plus. Je l'ai laissée faire, il me prenait comme il voulait, mais quand le rythme ralentissait, je me suis repositionnée pour le mettre sur le dos, puis je suis venue sur lui, face à face. Cette fois çi c'est moi qui travaillait; je faisais les va et vient avec mon bassin et mes jambes, pendant que ses mains venaient sur mes seins; caressant, soutenant, et parfois pinçant. Je ne sais pas combien de temps ça a duré. On profitait de la situation pour faire plaisir, pour se faire plaisir. Il était de plus en plus dûr, et il retrouvait son énergie. Je ne l'ai pas laissée travailler pour autant; toujours avec mes mouvements de bassin, je me suis masturbée devant lui. Mon doigt caressait mon clitoris pendant qu'il me pénétrait (ou que je me pénétrait sur lui). J'ai jouie fort, en criant, et en m'abandonnant totalement.

C'était pas fini, je faisais tout ça principalement pour lui. Je me suis relevée pour venir m'installer sur lui, cette fois çi dos à lui. Je pouvais mieux contrôler mes mouvements et c'était plus profond. J'ai sentie ses mains venir sur ma taille pour me guider, m'encourager. Je ne le voyais plus, mais je pouvais presque sentir son regard rivé sur mes fesses. J'essayais de lui offrir un spectacle revigorant; je ne sais pas si c'était le spectacle, ce que je faisais ou un mélange de tout ce qui se passait, mais il était devenu dur comme du marbre, et j'entendais ses petits cris de plaisir; "Oui, oui!". Je l'ai laissée faire quelques minutes avant de me relever. Il aurait pu finir comme ça, mais je voulais lui offrir autre chose. Je lui ai fait s'asseoir sur le rebord du lit, avant de m'installer à genoux devant lui. Placée juste devant le miroir de l'amoire, il avait une vue imprenable sur mees yeux, mes cheveux, ma taille et mes fesses, et en écartant les jambes, ma chatte et l'humidité qui s'y cacheait. En le regardant droit dans les yeux, j'ai fixée les règles. "Ne me préviens pas quand tu vas jouir, laisses-toi aller, et laisse-moi faire le reste!". Puis j'ai plongée son sexe dans ma boche pour le sucer longuement. Il a obéi à mes ordres, j'ai rapidement sentie les tremblements suivi de sa jouissance. Il n'a pas vu le sourire que j'avais, et j'espère qu'il avait le même sourire. Je suis restée entre ses jambes deux ou trois minutes, en sentant son membre se reposer doucement. Puis on s'est recouché, et on s'est refait un petit câlin.

Il m'a fallu quelques scéances, mais j'ai réussi à le remettre en forme. Fière de moi!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 12:41

La veille a été une journée de tendresse, mais aujourd'hui ça commençait tout autrement. J'ai été réveillée par une main qui me tenait le sein. Dos à Alex, je l'ai senti se coller contre moi, en m'embrassant le cou, pendant que l'autre main descendait vers mes fesses, caressant doucement, et plongeant entre mes jambes pour chercher un peu d'humidité. Et Alex en a trouvé.

Il s'est positionné derrière moi, et en relevant ma jambe, il a poussé fort en moi. J'ai lâchée un petit cri, avant d'enterrer ma tête dans l'oreiller. J'ai courbée mon dos pour qu'il puisse me prendre comme il voulait, pour qu'il puisse sentir mes fesses contre lui. Il adore ça, et moi aussi! Il me tenait par la taille, avant de finir par me tenir les cheveux. D'un geste expert, j'ai été mise à quatre pattes. Il était toujours derrière moi, à me prendre en levrette, avec des mouvements forts. Je ne savais pas si il avait passé sa nuit à faire des rêves érotiques, mais il était en forme! Il me tenait mes mains derrière mon dos, et il me tenait fermement par les cheveux aussi. Mes fesses étaient en l'air, offertes, et ma tête collée contre les draps humides. Il me prenait avec des mouvements forts et profonds. Il ne m'a pas fallu très longtemps avant de jouïr, fort! Il s'est retiré pour se remettre debout à côté du lit. Il n'a rien dit, mais je savais ce que je devais faire. Je me suis remise devant lui, toujours à quatre pattes, ma bouche ouverte, offerte, pendant qu'il se carresait. Ses gestes étaient rapides, et je voyais l'excitation monter. Je ne l'ai pas quitté des yeux. J'étais sa chienne devant lui, obéissante, et j'avais tellement envie de le voir, de le sentir, jouir. J'ai titillée le bout de son sexe avec ma langue, souriant, sans le quitter des yeux. Il me regardait dans les yeux, il regardait ma bouche, il regardait mes fesses. Pour son plaisir, j'ai ondulée mes fesses de gauche à droite à gauche, encore et encore, doucement, comme une chienne qui remue sa queue. Et puis ça a commencé... J'ai pris tout ce que je pouvais dans ma bouche, en gémissant de plaisir pendant que je sentais les vagues de jouissance. J'ai sucée, en prenant tout sa jouissance dans ma bouche comme une trophée. J'adore le sentir jouir comme ça, c'est tellement intime. Ce n'est pas moi qui a arrêtée en premier. Tant qu'il ne bougeait pas, je continuais à le sucer très doucement, avec un énorme sourire. Je faisais du va et vient très doucement en sentant son sexe se reposer lentement. Puis il s'est retiré, il m'a embrassé, et on est parti sous la douche pour un peu de tendresse.

Nous devions libérer la chambre pour 16 heures, ce qui nous laissait le temps de nous ballader un peu en ville pour découvrir un peu. Notre vol de retour était pour 20 heures, alors on avait tout notre temps. J'étais une touriste, et je profitais de chaque instant. Des magasins, des lieux sympas, et même quelques rencontres. Mon journal allait se remplir de souvenirs, et de photos. J'étais aux anges! On est retourné à l'hôtel vers 15 heures pour préparer nos affaires avant d'aller à l'aéroport. Sans hésiter, direction la douche pour me rafraichir un peu, et j'avoue que j'ai été très surprise de voir qu'Alex ne m'avait pas accompagné. Bon... Pas grave! Il a du s'éclipser pour regarder quelques emails. Je voulais remettre ma robe noire, et donc je suis sortie de la salle de bains avec une serviette autour de moi. C'est là où je l'ai vu avec son téléphone pointé vers moi. Probablement en train de filmer?

"Oh, salut toi!". Je l'ai salué avec un petit sourire coquin.

"Salut! Qu'est-ce que tu faisais?"

"Oh, je prenais ma douche, pour me rafraîchir... Et toi, que fais-tu?"

"Moi? Je profite de la vue. Tu as aimée ton voyage aux Etats-Unis?"

"J'ai a-do-rée! J'ai plein de souvenirs!" J'ai dit ça en souriant encore, en marchant vers la fenêtre avec un déhanchement quelque-peu exagéré, mais qui se voulait sensuel.

"Moi aussi j'ai adoré, j'ai adoré t'avoir avec moi, et je voulais avoir un petit souvenir avant de partir".

"Oh, c'est vrai? Et qu'est-ce que tu aimerais? Oups! Ma serviette est tombée..." D'un geste discret, j'ai fait tomber ma serviette, et me voici nue devant lui, marchant doucement vers lui, le laissant profiter de la vue. Je regardais le téléphone, pas Alex. A un mètre de lui, je me suis mise à genoux devant Alex, et toujours en regardant le téléphone: "J'ai une idée d'un souvenir qui pourrait te plaire. D'ailleurs, j'ai adorée te sucer tous les matins, tu sais... ". J'ai déboutonné son pantalon (il avait prévu le coup et avait fait le nécessaire pour que ça soit pas très difficile. En prenant son sexe dans ma main, j'ai regardé à nouveau la caméra avant de plonger son sexe dans ma bouche avec un "Mmmmmm" qu'il aime tant. J'ai fait quelques mouvements de va et vient, avant de la sortir et de dire "J'adore sentir ta queue dans ma bouche!" Puis j'ai recommencée à le sucer.

Je faisais tout pour la caméra. Je voulais que son plaisir soit visuel avant tout, mais j'allais aussi le faire jouir! Je l'ai sucé pendant quelques minutes (4, pour être précise, en re-regardant la vidéo), puis j'ai remarquée sa main qui me montrait le lit. Je me suis mise debout, avant d'aller lentement au lit. Je me suis assise sur le rebord, en écartant bien les jambes. D'une main, je me caressait le sein, et de l'autre je me caressait le sexe. "J'ai envie de toi". J'ai penchée la tête en arrière pour faire voler mes cheveux (un autre point qui le fait craquer), avant de continuer à me caresser avec des gémissements. Une ou deux minutes comme ça, et je me suis mise à quatre pattes, les fesses offertes. En regardant derrière moi, vers la caméra, j'ai dit "Prends-moi!". Il ne lui a pas fallu d'autres invitations; il s'est approché de moi, avant de me caresser les fesses. A chaque caresse, je faisais du bruit de plaisir, sachant très bien qu'il allait être excité à chaque fois qu'il revoyait la vidéo. *paf* Le bruit sur mes fesses sonnait dans mes oreilles. "Oh, oui, frappes-moi!". *paf* "Oui, encore, j'adore ça!". *PAF* "Mmmmm..." Puis il m'a pénétré. Je faisais exprès de faire du bruit à chaque mouvement, mais j'en prenais énormément à être filmée. Quelque-chose de nouveau pour moi, je ne savais pas que ça me ferait un tel effet. J'ai déjà été prise en photo, mais vidéo, non. Je m'étais déjà filmée, mais ceci était nouveau.

Il m'a pris pendant quelques minutes, en faisant de gros plans de son sexe qui rentrait en moi. Parfois lent pour profiter de la vue, parfois rapide pour les sensations. Quand il s'est retiré, je me suis retournée comme le matin même, a quatre pattes devant lui, son sexe dressé devant ma bouche, mon corps dans une position qu'il adore regarder. Il se caressait devant moi.

"S'il te plait, laisses-moi te goûter! S'il te plait! J'ai envie de te sucer, j'ai envie de t'avaler!". Je le suppliait de finir en moi, même si je n'avais pas besoin, je savais qu'il allait le faire. Je titillais le bout avec ma langue, regardant la caméra, et en suppliant. J'ai eu ce que je voulais; il a plongé son sexe dans ma bouche, que j'ai prise comme une gourmande qui n'attendant que ça. Il a joui longuement en moi pendant que je faisais "Mmmmm"... La répétition de ce matin. Puis je suçais lentement, toujours en regardant la caméra. En l'éteignant, il m'a embrassé longuement, puis a chuchoté "merci" à mon oreille. Mais de rien! Ca m'a fait plaisir!

On s'est habillé, et direction l'aéroport; plein de souvenirs dans ma tête, dans mon ordinateur et maintenant sur une carte mémoire.

Je voulais me venger dans l'avion de retour, mais ce n'était pas possible. Contrairement à l'aller, le vol retour était plutôt désagréable. Alex restait parfaitement calme, mais il y avait (à mon avis) beaucoup de turbulences. On a du garder les ceintures presque tout le vol, et aucune possibilité de lui faire une surprise ou une gâterie. Zut! Un fantasme qui devait attendre... Je suis donc rentrée en France pour continuer ma vie d'étudiante. On me demandait "Ca s'est bien passé, ton voyage?" Très. Très très!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Vendredi 25 janvier 5 25 /01 /Jan 18:29

La journée avait commencée comme n'importe quelle autre de son déplacement; tendresse, câlins et sexualité. Faire l'amour pour nous était presque comme dire bonjour. J'aimais le sentir en moi dès le réveil, et j'aimais le faire plaisir pour qu'il passe une bonne journée, et aujourd'hui surtout, il en avait besoin.

Je savais que j'allais rester seule presque toute la journée. Aujourd'hui il installait les modifications dans l'usine, et puis il passait l'après-midi avec le client pour en parler. Il n'allait pas pouvoir rentrer manger avec moi à midi, donc j'étais vraiment toute seule, toute la journée. Il allait surement revenir vers 19 heures, mais en attendant, "Désolé, je te laisse t'amuser seule..." m'a-t-il dit d'un ton triste. Je ne lui en voulait pas, bien au contraire. Travail avant tout! L'avantage, si ça marchait comme il fallait, demain on passait toute la journée ensemble.

La matinée était calme. J'ai passée un peu de temps sur le PC en train de jouer à Dofus (on ne rigole pas!), et quelques longueurs dans la piscine pendant qu'on nettoyait la chambre. De retour dans la chambre, une petite douche, encore un peu de PC, puis direction le restaurant pour manger, seule. En France, j'aurais probablement été accostée, mais ici, je me balladais seule sans aucun souci. Pour une fois, j'aurais peut-être aimée avoir un peu de compagnie.

Le repas était excellent, comme d'habitude. J'ai savourée chaque bouchée, me perdant dans mes pensées. Après le repas, direction ma chambre. J'étais un peu d'humeur métaphysique, et je pensais que ça serait le moment idéale de me plonger dans mon journal. C'est probablement ce jour là où j'ai le plus écrit. Je me posais des questions à moi-même, je tentais d'y répondre. Qui suis-je? Pourquoi suis-je comme ça? Est-ce que je fais bien? Est-ce que tout ceci est un erreur inimaginable? J'avais besoin de réponses.

Je me suis toujours sentie différent des autres. Pendant mes études, j'ai presque toujours été solitaire. Je parlais aux gens, bien sûr, mais je n'appartenait à aucun clan. Je n'étais pas LA fille avec qui il fallait être bien, ni même LA fille avec qui il ne faut pas parler. Demandez à mes anciens collegues de classe, je ne suis pas sûre qu'on se souvienne vraiment de moi. Je ne trouvais personne à qui parler.

Suite aux conseils d'Alex, je suis allée voir une spécialiste. On a discuté un peu de mon enfance, de tel ou tel chose, des sentiments, et j'en passe. Au bout de 3 scéances, on a fait un petit test, qui a duré trois jours. Je n'aime pas en parler, mais je vais le faire quand-même, ou du moins, tenter. Je ne tente pas de me vanter, au contraire, je ne le vis pas très bien. Un test de QI. Je déteste le terme, et je déteste l'idée qu'on peut mettre des gens dans des cases uniquement avec les réponses à quelques questions. Mais bon, le résultat est tombé. 150. On m'a donc expliquée que ce que je vis est "normal"; ça explique clairement le besoin intensif d'affection, et pourquoi j'étais attirée par les hommes plus vieux. Je ne pouvais pas être stimulée par les "enfants" de mon age, mais par contre, les classes supérieurs, c'était possible. Heureusement, aujourd'hui, en études supérieurs, ce n'est plus tout à fait vrai, je m'intègre déjà mieux.

Je suis donc partie avec un bout de papier avec les références d'un livre; "Trop intelligent pour être heureux".

Alors pourquoi suis-je comme ça? Est-ce que ça a quelque-chose à avoir avec le sexe? Selon la spécialiste, oui. Dans une recherche de plaisir, je n'ai jamais pu trouver ce que je voulais à l'époque, et maintenant, je me venge. Je n'ai jamais eu de "plaisir" à jouer toute seule dans un jardin. Je n'ai jamais eu de "plaisir" à bavarder des heures avec des camarades de classe, et sortir en ville pour, et bien, simplement sortir. Je n'ai jamais eu de "plaisir" à faire les activités de mon âge, car je ne pouvais pas analyser. Par contre, la sexualité, avec toutes ses facettes différentes, là, je peux prendre du plaisir, à découvrir, à tenter de comprendre... Finalement, ça aurait pu être pire. J'aurais pu finir autiste, enfermée par mes études et rien d'autre. J'aurais peut-être pu finir psychopathe (quoique, il me reste un peu de temps devant moi, qui sait?). Non, je suis tombée dans la sexualité. Tant mieux pour moi quelque-part.

J'ai toujours eu une manque d'affection. Mes parents n'y étaient pour rien. Très petite, j'étais câline, toujours dans les bras, et très tactile, mais bon, on apprend au fur et a mesure que, non, on ne peut pas faire des câlins tout le temps. Et pourquoi donc? Donc oui, je l'étais moins, et surtout apart mes parents, je ne pouvais pas être câline avec qui que ce soit, puisque je n'avais pas l'impression d'être comprise. Alors, pourquoi? Et pourquoi Alex? Certaines auraient peut-être criée au scandale, disant que ce que je vis est mal-saine. Non, j'ai bien pensée à tout, je me suis posée plein de questions, et je fais tout par volonté. Rien et personne ne m'y oblige. J'aime nos conversations. J'aime quand on fait l'amour. Et j'adore quand il me soumet à ses désirs. C'est dans la nature, c'est tout. Et Alex ne pense pas uniquement à mes zones érogènes; en passant, j'ai toujours le droit a un petit câlin dans le bas du dos, être serrée dans ses bras, un petit bisou pour aucune raison que ce soit, apart l'idée de me faire plaisir. Et surtout, il a besoin de la même chose, et je suis heureuse d'en donner (même si parfois ça dérape... Ce qui commence par une caresse dans le bas du dos fini parfois nus sur le tapis).

Voici ma façon de voir les choses. En étant soumise, j'ai le pouvoir. En étant privée de volonté, j'ai le contrôle. Il m'utilise pour son plaisir, mais je me demande si ce n'est pas moi qui prend le plus de plaisir entre nous deux. Je peux tout arrêter à n'importe quel moment, mais je choisi de continuer, car ça lui fait plaisir, et ça me fait très plaisir aussi. Je découvre des choses, je vis des choses, et malgré les apparances, il pense à mon plaisir avant le sien. Je le fais jouir, et il me fait jouir. Je sens que mon corps est fait pour le sien. Et puis j'ai vu une image sur Internet qui a tout expliqué d'un coup.

Seduce my mind, and you can have my body. Find my soul, and I'm yours forever.

Séduis mon esprit, et tu peux prendre mon corps. Trouves mon âme, et je t'appartiendrai pour toujours.

Il avait séduit mon esprit, j'avais séduit son corps. Il a trouvé mon âme... Le reste se décrit ici dans mes récits. On a chacun trouvé quelqu'un qui nous comprend, qui a les mêmes besoins, les mêmes envies.

Alex avait lui aussi fait le test. Il a eu 168. Il déteste en parler, peut-être même plus que moi.

Alex est rentré vers 19 heures, avec un énorme sourire. Inutile de parler, je savais que tout s'était très bien passé. Je lui ai sautée au cou pour l'embrasser et le féliciter. J'aurais peut-être aimée faire un peu plus, mais on n'avait pas le temps. Une invitation pour un restaurant avec le client. Ah, zut. Et bien, tant pis, amuses-toi bien! On se voit quand tu rentreras.

"Non, non, tu viens avec moi. On est invité tous les deux. Quand il a su que tu étais là aussi, il a insisté pour que je vienne te chercher". Pardon? Moi? Mode panique. Notre amour est interdit, tu t'en souviens? Notre différence d'age? En même temps, jusqu'ici, personne ne nous a vraiment regardé... Bon, on tente le tout pour le tout. Je me suis eclipsée dans la salle de bains.

On avait acheté une robe chic avant de partir, c'était le moment de la porter. On avait aussi acheté des sous-vêtements plutôt sexy, c'était aussi le moment! Nous, les Françaises, on a une réputation à tenir! On est belle, est sexy, non? Si!

45 minutes plus tard, on arrivait au restaurant. Alex était toujours en costume, mais un peu plus détendu. J'étais en robe noire, maquillage, rouge à lèvres, et très tendue. En rentrant, trois hommes nous ont vu, et tous souriant, nous ont fait signe de venir. Alex m'a pris par la talle, et nous sommes allées à leur rencontre. J'ai été présentée aux trois; chacun à son tour s'est présenté, et m'a serré la main. Ca fait bizarre. J'ai eu des compliments sur ma tenue, j'ai eu la phrase typique "Je savais que les françaises étaient belles, mais alors là!". J'ignore si c'est vrai, mais ça faisait plaisir. J'ai eu des sourires, des attentions particulières, mais jamais, jamais un seul regard accusateur. Personne n'a rien dit à propos de notre différence d'age. Personne n'a sous-entendu quoi que ce soit. Et personne dans le restaurant nous a jeté un coup d'oeil. J'étais acceptée, on était accepté. J'ai passé une soirée magique. Le restaurant, le vin, la conversation que j'ai pu suivre malgré mon accent, et quelques heures plus tard, on était de retour à l'hôtel.

On est rentré dans la chambre, et je me suis retournée directement pour l'embrasser. Ses mains étaient dans mon dos, en train de défaire ma robe. Les miennes étaient sur son pantalon, en train de défaire sa ceinture. Je le voulais contre moi, je voulais qu'on soit nu. Je voulais qu'on soit près l'un de l'autre. J'ai enlevée son pantalon, il a enlevé ma robe. J'ai enlevé sa chemise, il a enlevé mon soutien-gorge. J'ai enlevé son caleôn, il a enlevé mon string. Même les bas! On était nus, l'un contre l'autre, et j'étais heureuse dans ses bras. Je lui ai pris la main, et je l'ai emmenée au lit. Il s'est allongé sur le dos, et je suis venue sur lui à quatre pattes. On s'est embrassé longuement, puis je suis venue sur lui, à m'empaler doucement sur son envie. Je me suis mise assise sur lui, en me relevant doucement pour glisser sur son sexe, le sentant rentrer en moi à chaque mouvement. Il m'a caressé les seins, pendant que je le regardais droit dans les yeux, et que je lui caressait le sexe doucement avec le bout des doigts. Puis je suis revenue vers sa bouche pour l'embrasser, en accélerant le mouvement de bassin, tout comme lui. On a joui ensemble, en même temps, en s'embrassant, nos langues se caressant. Pas de soumission, pas de domination. On a fait l'amour. On s'est dit "Je t'aime" oralement, et on a dit "je t'aime" physiquement aussi. La jouissance n'était pas très fort; c'était lent, et doux.

On s'est endormi collé ensemble. J'étais heureuse.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 19:12

La journée a commencée avec une fellation, comme à chaque fois. Je voulais qu'il parte au travail en pleine forme. Je savais que la chambre était nettoyée tous les jours vers 10h, et je savais qu'il rentrait vers 15h. J'en ai profitée pour faire un peu de PC, d'aller faire quelques longueurs dans la piscine pendant le nettoyage de la chambre, et d'aller manger a l'heure du midi. En revenant, la chambre était propre, il ne manquait plus qu'Alex. Je me suis déshabillée avant de me mettre sur le lit, à l'attendre. J'étais nue, allongée en plein milieu du lit, ma main entre mes jambes à me caresser doucement, sentant l'excitation monter. J'attendais. J'attendais qu'il rentre. Il allait peut-être venir dans la minute, ou peut-être même dans une heure, c'est pas grave! J'allais attendre.

20 minutes plus tard, j'ai entendu la carte dans le lecteur. Clic! Et la porte qui s'ouvrait. Et si ce n'était pas lui? Ce n'est pas grave, je ne connaissait personne ici, et si jamais quelqu'un me voyait me masturber, et alors? Dans une semaine j'étais partie. J'ai donc continuée à me caresser, les jambes écartées, le doigt glissant doucement sur mon clitoris, et l'autre main à serrer les draps de plaisir. J'ai entendu un petit soupir, Alex avec le souffle coupé. C'est bon, c'était lui, je pouvais donc me lâcher. Je gigotais dans le lit, un doigt qui me caressait, et puis deux, et puis trois... J'ai commencée à me caresser les seins, me concentrant sur la vue que je lui offrais, mais aussi sur mon plaisir. Il est resté à me regarder. J'ai tirée une jambe en arrière, exposant ma chatte et mes fesses, toujours avec une main qui caressait, et puis qui caressait entre mes fesses. J'imaginais son excitation monter, et je sentais ses yeux rivés sur mon corps, et ça ne faisait que m'exciter encore plus. J'ai glissée un doigt dans ma chatte trempée, en faisant du va et vient, avant de mettre un deuxième doigt. Ma main serrait mon sein très fort, pincant le téton, mais tout en faisant attention de ne pas cacher la vue. Je sentais l'excitation monter de plus en plus, mais j'étais loin d'avoir fini!

Je me suis mis à quatre pattes, mes fesses balançant doucement de gauche a droite pour qu'il puisse bien me voir, avant de recommencer à me caresser. La tête contre le matelas, une main me caressait la chatte, pendant que l'autre me caressait les fesses. Je lui montrais mon intimité, de façon à dire "Je pense à toi pendant que je me caresse", et "Tout ceci est à toi!". Je savais qu'il était excité, je savais qu'il avait envie de moi, et je pouvais presque sentir son érection traverser son pantalon, mais je n'avais toujours pas fini! Ma main est partie sous l'oreiller pour chercher le vibromasseur que j'y avais cachée, avant de venir le sucer comme si c'était Alex. J'étais gourmande, j'avais envie de lui sentir en moi, et ma langue et mes lèvres lui montraient de quoi j'avais envie. Je suçais longuement pendant que mes doigts me pénétraient, le tout en vue de son regard pervers. Une fois que je n'en pouvais plus, le vibromasseur est partie entre mes jambes, et en un mouvement, est allé au plus profond de moi.

Je criais de plaisir, le bruit étouffée par le matelas; des sons de "Mmmm oui", "Oh" et "Oui, j'aime ça!". Je sentais le plaisir monter, et avant de jouir j'ai retirée le vibromasseur pour finir en me caressant le clitoris. Avec les jambes bien écartées, j'ai jouie. Je sentais mes lèvres se serrer, et Alex pouvait tout voir de là où il était... A chaque cague de plaisir, ma chatte se reserrait de plus en plus, et je lui offrais ce spectacle, rien que pour ses yeux.

Je me sentais femme. Je me sentais belle. Je me sentais sexy.

C'était intense, et je ne tenais plus à genoux; je me suis éffondrée dans le lit. J'adore qu'on me regarde jouir. Quelques-uns de mes orgasmes les plus puissants étaient quand on avait les yeux rivés sur moi. Je ne suis pas égoïste; j'adore exciter, j'adore jouir, mais j'adore faire jouir. Alors quand j'ai sentie ses mains me prendre par la taille et me mettre en position, j'étais aux anges! J'étais à nouveau à quatre pattes, son sexe me pénétrant fort et vite, son doigt me caressant entre les fesses; j'étais ivre de plaisir. Je serrais les draps dans mes mains, je murmurais des "Oh, oui, vas-y, utilise-moi!", et j'essayais de tenir le mieux possible, répondant à ses mouvements de bassin avec le mouvement inverse. Vu la force de ses coups, je pense l'avoir vraiment excité. Je ne peux pas dire combien de temps ça a duré, j'en avais la tête qui tournait. Il s'est retiré pour jouir sur mes fesses et mon dos, avec un cri de "Ouiiii!". J'ai réussi à le faire jouir, je lui avait fait plaisir, et je me suis à nouveau éffondrée sur le lit. Je me suis réveillé une heure plus tard, Alex était en train de travailler sur le PC, mais se retournait de temps en temps pour me regarder dormir, nue, exposée. Je me suis levée pour venir m'installer sur ses genoux et l'embrasser, je sentais toujours sa jouissance sur mon dos. Je l'ai remercié, il ne savait pas pourquoi.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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