Histoire

Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 19:17

Le lendemain matin, son réveil a sonné assez tôt. J'avais beau être dans son lit à côté de celui que j'aimais, ça n'empêche pas; le réveil était super difficile. On a émergé doucement avec de la musique du réveil; j'ai eu droit à mon petit bisou, et j'ai répondu avec d'autres bisous. Il me serrait dans les bras, je lui calinais le torse. J'ai l'hbaitude de me masturber le matin au réveil, et le sexe le matin est toujours très agréable, mais je pense que j'aurais eu du mal à être très sportive. L'expérience de la veille était très agréable, mais je n'étais pas prête à refaire quelque-chose comme ça de suite, pas juste au réveil.

Je suis venue grimper sur lui, a quattre pattes pour mieux l'embrasser. C'était déjà un effort surhumain vu l'heure. J'étais allongée sur lui, j'étais dans ses bras en train de gouter à ses lèvres. Il me caressait le bas du dos, parfois les fesses avant de remonter pour me serrer dans ses bras. J'ai sentie sa queue durcir entre mes jambes, venir se poser contre ma chatte. J'ai eu des picotements de désir, mais pas comme tous ce que j'ai pu avoir avant. Là, c'était différent. J'avais envie de lui, envie de le sentir en moi, et envie de faire l'amour. En regardant dans ses yeux, il avait envie de la même chose. Pas de perversion, pas cette fois çi. Il voulait venir en moi, je le voulais en moi, et c'est venu naturellement. Je me suis assise sur sa virilité, la laissant rentrer pleinement en moi, les draps tombant autour de moi. Mes seins étaient à l'air, et il en a profité pour venir les caresser, mais tendrement, sans pincer, sans forcer. C'était de la douceur pûre; je faisais des mouvement lents avec mon
bassin, il répondait en faisant des mouvements inverses pour mieux rentrer en moi. Il me caressait très tendrement, prenant un sein dans chaque main, venant parfois les embrasser, m'embrasser dans le cou.

Ce matin, je n'étais pas son objet, son jouet. Ce matin, j'étais sa petite amie, et on faisait l'amour! C'était estrêmement agréable, une sensation de douceur, d'amour, de tendresse et d'affection. Une petite pause obligatoire pour mettre un préservatif, et j'ai fait une note mentale d'essayer de voir pour la pillule. Après, je suis revenue sur lui, nous avons continué à faire nos mouvements doux, de nous réveiller en douceur et en harmonie. J'ai jouie la première, d'un orgasme long et tendre. Ce n'était pas pareil; je n'avais pas envie de crier, mais de profiter. Je suis venu goûter à ses lèvres pendant l'explosion, toujours avec les mouvements de bassin, sentant bien qu'il n'était pas loin derrière moi. Et là, il a joui en moi. Ses mains m'ont tenu fermement par les fesses, rentrant à fond en moi pendant son explosion, puis nous sommes restés comme ça quelques minutes. Je sentais son érection partir doucement, mais il était toujours en moi. On s'est regardé dans les yeux, on s'est embrassé, et quand il fallait vraiment qu'on se lève, on est allé se préparer vite fait, et je suis partie prendre mon bus, avec le sourire jusqu'aux oreilles. J'étais heureuse et amoureuse.

Il y a une grande différence entre être un esclave sexuel, et être une petite amie. Bien-sûr que je voulais bien tout faire; j'avais déjà fait quelques pratiques que d'autres auraient pu aller "extrêmes". Même aujourd'hui je n'entend pas beaucoup de femmes dire qu'elles ont été promenées en laisse de chien. A priori, certaines n'ont pas eu de 69. Les "salopes" de l'école racontaient souvent qu'elle s'étaient tapées tel mec ou tel mec, un coup rapide dans une voiture ou alors derrière un bâtiment. Ou pire encore, dans les toilettes de l'école. Je souriait. Ces mêmes personnes pensaient que je n'avais pas de vie sexuelle, alors que la mienne étaient bien plus épanouie que la leur. Ce n'était que le début, je savais bien qu'il allait avoir d'autres expériences, et d'autres cours. J'avais hâte d'essayer!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 21:51

C'était difficile pour moi, on ne pouvait pas se voir aussi souvent qu'on aimerait. Il pouvait passer une semaine sans qu'on se voit, et c'était très difficile à supporter. On se parlait tous les jours via messagerie instantanée, et nos confidences continuaient. Finalement, je pouvais mieux dire ce que je pensais et ce que je voulais via messagerie.

 

A cet époque là, on faisait beaucoup de cybersexe. C'était nouveau pour moi, et c'était aussi une façon de découvrir mes fantasmes, de pouvoir explorer quelque-chose sans forcément avoir le danger. Nous avons parlé de sodomie, et de la découverte de mon fantasme du viol. J'ai confirmée ce que je pensais déjà, que j'étais son objet, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, et que s'il te plait, arrêtes de demander! Fais-le, c'est tout! Il a dit que c'était noté.

 

On a surtout avoué notre amour pendant ce temps. Je n'hésitais pas à dire "Je t'aime" quand je le pouvais, et il me répondait pareil. J'étais donc amoureuse de lui, et j'avais envie d'être son esclave sexuel, et lui était amoureux de moi, et ne voyait aucun problème à me dompter sexuellement.

 

On arrivait à se croiser rapidement; soit quand je rentrais de l'école, ou alors quand je faisais une sortie avec les amies. Règle général, on se voyait 10 minutes par çi par là, mais c'était déjà assez pour s'embrasser, me deshabiller et parfois même une petite fellation rapide, mais jamais jusqu'au bout; plutôt une façon de dire "Je t'aime, tu me manques". On rêvait d'autre chose, mais pour l'instant, ce n'était pas faisable. On ne regardait pas trop de futur, on attendait que ça arrive.

 

Je continuais mon journal intime, mais Alex pouvait le lire librement, et en effet, il le faisait. Du coup ça me donnait envie d'y mettre encore plus de détails, quelques photos de plus, histoire de l'exciter encore plus! Et le lendemain quand il avouait qu'il s'était masturbé en me regardant, j'étais encore plus contente. C'était un espèce de défi pour moi, j'avais envie de plaire et d'exciter, mais tout en restant moi-même.

 

Une chose avait changé. Il a avoué qu'il préférait les chattes rasées, et jusqu'ici, je ne l'était pas. Il l'a donc avoué, mais surtout, il m'a ordonné de me raser. Il avait enfin bien compris ce que j'avais dit; ne demandes plus, fais, ou ordonnes. Je me suis donc soumise à ses ordres, et j'ai essayée de me raser. La première tentative n'était pas vraiment ce que je pensais. J'avais en tête l'image de sublimes filles avec une chatte parfaitement bien rasée, une courbe pelvienne irréprochable, sans un seul poil, mais non, ce ne fut pas le cas. La première fois j'en avais laissée tout plein sans me rendre compte, et pire encore, ça gratte! Mais la masturbation était plus intense après, peut-être le fait que la peau soit moins protégée? Dans tous les cas, j'ai énormément appréciée après, mais ça a été assez long pour m'y habituer! J'allais bientôt comprendre pourquoi il avait demandée ça...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 18:22

Nous en avons largement profité pendant ces deux jours, mais même si j'aurais bien aimée que ça dure plus longtemps, il fallait être sâge. Mes parents étaient rentrés, je n'étais plus seule. Je ne pouvais pas voir Alex tous les jours, mais on pouvait discuter par email et par messagerie instantanée. Nos discussions les soirs restaient assez chaudes; une ou deux fois je me montrais sur ma webcam, mais uniquement pour Alex. Je n'allais plus sur les chats pour trouver quelqu'un d'autre, j'avais tout ce qu'il me fallait. Alex aimait beaucoup savoir quand je me masturbait, alors j'essayait de lui faire plaisir.

 

Il s'est passé quelques semaines avant qu'on ait pu se revoir. Je ne montrais rien aux parents, rien à mes copines... C'était mon petit jardin secret, mais j'avais hâte de le revoir. Un jour, mon père était en déplacement, et ma mère avait une réunion jusqu'à tard. C'était le moment idéale pour passer chez Alex. J'ai sonnée à la porte, quelques secondes plus tard il l'a ouvert. Il était surpris de me voir, mais très content. Et moi donc! Très sâge, j'ai demandée si je pouvais entrer. Mais bien-sur! Alors je suis rentrée, et quand il a refermé la porte, j'ai tout laissée tomber, et je lui ai presque sautée au cou pour l'embrasser. Il m'a pris dans ses bras et on s'est embrassé longuement. Ses mains étaient partout sur moi; dans le bas de mon dos, sur mes fesses pour mieux me tirer vers lui... Ca m'avait tellement manqué!

 

On s'est installé sur le canapé, très proche l'un de l'autre; ses mains dans mon dos, les miens sur sa cuisse.

 

"Je voudrais que tu sois mon prof. Apprends-moi tout!"

 

"Sur quel sujet?"

 

"Le sexe". J'ai été directe, et il a été assez surpris, mais il n'avait rien contre. "Je suis jeune, j'ai pas d'expérience, je sais pas trop quoi faire. J'ai besoin que tu me montres un peu."

 

"D'accord. Je veux bien te montrer quelques trucs, mais il faudrait que tu me montres ton journal, que je voie ce qui t'intéresse".

 

"D'accord". Je n'en revenait pas. J'avais dit oui! "Mais toi, qu'est-ce que tu aimes faire? Qu'est-ce que tu aimerais me faire?" Mes doigts jouaient avec le petit noeud sur mon décolleté.

 

"Plein de choses! Mais tout dépend jusqu'où tu voudrais aller".

 

"Jusqu'où tu voudras."

 

"Sans exception?"

 

"Sans exception."

 

"Tu es ma chose, c'est ça?"

 

J'ai sentie comme une goutte couler le long de ma jambe. J'ai juste réussi à chuchotter "Oui"

 

"C'est quoi le mot pour tout arrêter?"

 

"Chocolat?"

 

"Bien. Déshabilles-toi"

 

Je me suis mise debout devant lui, et sans le quitter du regard, j'ai enlevée mon haut, puis mon pantalon, pour paraitre en sous-vêtements devant lui. Du mieux que je pouvais, j'essayais d'être sensuelle et faire un strip-tease. J'ai enlevée mon soutien-gorge, puis ma petite culotte, pour paraitre nue devant lui, comme il me l'avait demandé.

 

"Viens t'asseoir sur moi". Sans hésiter un instant, j'ai fait ce qu'il m'avait demandée. Il a mis sa main sur ma chatte, souriant en remarquant mon humidité.

 

"Tu ferais vraiment tout, n'est-ce pas?"

 

"Tout"

 

"D'accord. Je t'enseignerai, mais il faut que tu sois honnête avec moi, si tu aimes quelque-chose, si tu aimes pas"

 

"J'aime quand tu fais ce que tu veux de moi. J'aime vraiment ça!"

 

"D'accord! Tu seras ma petite écolière, mais tu as intérêt de faire tes devoirs!".

 

"Quand est-ce que je commence?" J'avais le sourire jusqu'aux oreilles...

 

"Maintenant?"

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 18:53

10 heures le lendemain matin. J'avais eu la nuit pour réfléchir, et j'étais inquiète. Je ne regrettais rien, mais lui? Est-ce qu'il avait changé d'avis sur moi? Que finalement, c'était juste un soir, et aujourd'hui tout était déjà fini? Je n'allais pas tarder à le savoir. Je m'étais habillée en robe, beaucoup plus sage que la veille. 10 heures pile, ça a sonnée à la porte. J'ai presque couru jusqu'à la porte, et effectivement, c'était Alex. Je sautais presque de joie, mais il était différent de la veille. Peut-être un peu plus froid, un peu plus distant. Je n'ai pas eu de bise, et pas de bisou, juste un "Salut, toi!". J'an tentée le tout pour le tout, et je lui ai fait un bisou au coin du lèvre. Sa réponse était de mettre sa main dans le bas de mon dos, et me tirer contre lui. Je ne résistait pas, et il m'a embrassé.

 

"Je pensais que tu aurais peut-être changée d'avis".

 

"Tiens, je me disais la même chose!" C'est vrai, je stressais depuis que je m'étais levée. Je m'étais même pas caressée ce matin, trop de noeuds dans l'estomac. J'étais soulagée, mais j'avais besoin d'être sûre, j'avais besoin d'entendre les mots. "On sort toujours ensemble?". Sortir ensemble? Ca fait trop gamine, ça! Etre ensemble, peut-être, sortir ensemble?

 

"Toujours, mais il ne faut pas que tes parents sachent, on est bien d'accord?". J'ai répondu avec un bisou, "Ils ne le sauront jamais!".

 

Je l'ai pris par la main, et je l'ai emmenée dans le salon, la partie centrale de la maison.

 

"Tu n'as pas de regrets pour hier soir?" m'a-t-il dit.

 

"Des regrets? Aucun! C'était géniale, je t'en remercie!" Je n'osais pas dire qu'il pouvait recommencer quand il voulait.

 

"Je pensais que tu allais remettre ta jupe écossaise ce matin"

 

"Oh, tu veux? Allez, viens!" Je l'ai pris à nouveau par la main, et je l'ai emmené dans ma chambre, prête à lui faire plaisir en m'habillant comme ça lui plaisait. Il n'a même pas eu le temps de dire quoi que ce soit. Typique des informaticiens, il est allé directement regarder mon PC pendant que je me suis éclipsée dans la salle de mains. Je n'ai pas pris mon temps pour me changer; la jupe était froisée, la chemise n'en parlons même pas, mais j'avais envie de mettre ça car je savais que ça lui plaisait. Naturellement, c'était identique à hier soir, je n'avais pas de sous-vêtements. J'ai regardée mon décolleté... Allez, on peut enlever un bouton ou deux. Je suis sortie de la salle de bain, et je suis allée le reoindre. Il m'a regardé de la tête aux pieds avec ce même sourire pervers, et j'avour que je regardais souvent vers son entre-jambe pour savoir si ça lui faisait un effet. Eh oui, ça lui faisait un début d'effet.

 

Il m'a tiré vers lui pour m'embrasser à nouveau, et sa main est allée directement sous ma jupe pour tester... Et non! Je n'en ai pas mis! Il m'a regardé à nouveau avec ce sourire pervers, et je savais ce qu'il voulait. Il ne pouvait plus cacher son envie, ça se voyait clairement à travers son jean.

 

"Tu as aimée hier soir?"

 

"Beaucoup" J'ai encore répondu en chuchotant plus qu'autre chose. Il m'a retournée pour que je sois dos à lui; une main est venue me caresser les seins à travers ma chemise, l'autre est allée directement vers ma chatte, qui était humide depuis un certain temps déjà. J'ai penchée la tête en arrière pour me coller contre lui. On s'est embrassé comme ça. Puis ses mains sont allées déboutonner ma chemise, et je l'ai fait tomber par terre sans aucune tentative de la ratrapper. Je me laissais faire. Je l'ai gardée en tout moins de deux minutes. Puis il a remontée ma jupe, exposant mes fesses pour son plus grand plaisir. Il a caressé longuement, ses doigts dessinant une ligne entre mes fesses, et parfois descendant jusqu'à ma chatte. Il m'a poussée à genoux, je n'ai pas résistée. Il m'a poussée sur l'assise de mon fauteuil, je me suis allongée dessus; mes fesses vers lui, ma tête vers mon ordinateur, et le dossier d'un côté. Je n'ai pas non plus résistés quand il a pris mes mains, et que je l'ai senti m'attacher les mains dans le dos. J'ai fait quelques mouvements pour essayer; ce n'était pas trop serrée, je n'avais pas mal, mais c'était solide, pas moyen de m'échapper à nouveau. Il est venu chuchotter dans mon oreille. "Dis 'chocolat'".

 

"Chocolat?"

 

"C'est le mot magique. Si tu as peur, si tu as envie qu'on arrête, tu dis ce mot là, et j'arrête tout, tout de suite." C'était rassurant. Ca voulait aussi dire que je pouvais dire "non" tout ce que je voulais, il n'allait pas s'arrêter. Je l'ai entendu derrière moi, le bruit magique d'un bouton de jean qui s'enlève, le bruit de la fermeture éclair, et de vêtements qui tombent par terre. J'ai essayée de me repositionner, pour que mes fesses soient encore plus en l'air pour qu'il profite pleinement du spectacle, mais rien à faire. J'étais coincée sur mon fauteuil. Un bruit inconnu... Un bruit de plastique... Une odeur... Ah, un préservatif! Pas de préliminaires aujourd'hui, il veut y aller directement! J'ai senti à nouveau la même sensation que la veille, quand son sexe a poussé contre le mien. J'étais trempée, mes lèvres se sont écartées pour laisser passer, mais rien... J'ai essayée de me pousser en arrière pour accueillir sa queue, mais rien à faire. Il dominait.

 

"Tu en as envie?"

 

"Oui!" Ce n'était pas un chuchotement, loin de là, j'avais réellement envie qu'il me fasse l'amour. 

 

"C'est quoi le mot de passe?"

 

Le mot de passe? Mais de quoi qu'il... J'ai regardée mon écran de PC. Il avait ouvert mon journal intime! Et là, sur l'écran, était la fenêtre pour écrire mon mot de passe. Hé, attends! C'est personnel, ça!

 

"Alors?"

 

J'ai essayée de me débattre, je voulais prendre le clavier et... le clavier, mais il était où? Il avait tout derrière lui... J'avais peur, je tremblais, je ne voulais pas, mais je n'ai pas dit le mot magique. Puis j'ai senti sa main sur mon cul, juste sur mon anus. Il caressait doucement. C'était une autre première pour moi, et une partie de mon cerveau aimait bien, mais une plus grande partie paniquait à l'idée de me dévoiler si intimement.

 

"Le mot de passe?"

 

Sa queue glissait en moi. J'étais encore humide, pas forcément par excitation mais juste les restes de l'excitation quelques secondes avant. Panique!! Au secours! Je veux pas, je veux pas... Mais je ne voulais pas dire "chocolat", hors de question!

 

Il a commencée à se retirer; sa queue sortait doucement de ma chatte, et son doigts n'était plus entre mes fesses.

 

"Si tu me dis pas, je ne te ferai plus jamais ça."

 

Je lui ai donnée le mot de passe, en chuchotant plus qu'autre chose, et en tremblant fortement. Peut-être qu'il était encore temps de dire chocolat, peut-être qu'il n'irait pas tout regarder...

 

Et là, ma vie s'est dévoilée devant lui. Il avait tout sous les yeux. Les pages qui défilaient contenaient des photos de moi nue d'il y a un an, la formation de mon corps, du texte stratégiquement mis en gras. Je n'avais jamais pensée que quelqu'un le regarderait. J'étais choquée, presque en larmes. Une partie de moi était encore excitée, mais une autre partie avait envie de le mettre dehors et de ne jamais le revoir. Je ne savais pas quelle partie était en train de gagner.

 

Et là, la dernière page. Le texte écrit en gras, "Je suis sa pute". Ca lui a coupé le souffle, je l'ai entendu derrière moi, une inspiration forte. Il est sorti entièrement de moi, il ne me tenait pas par la taille. J'avais une larme qui coulait sur le visage... Je m'en voulais. j'avais tout gâchée. C'était ma faute si il ne voulait plus de moi, tout ce que j'ai écrit lui a fait peur. Les pages ont continué a défiler, dans l'autre sens. Encore des phrases soulignés en gras, exposant mes fantasmes... Des fantasmes sur lui, des images de moi en train d'essayer des poses sexy, et une photo de moi le jour que j'ai voulu voler des sous-vêtements de ma mère. Ce n'était même pas la peine de dire "chocolat"; il allait me détacher, j'allais supplier qu'il ne dise jamais rien, et notre histoire serait fini.

 

J'avais tort.

 

J'ai ressentie ses mains se poser sur ma taille, mais pas pareil. Avant j'étais tenue fermement, mais là... Là, c'était encore pire. Il me tenait comme il tiendrait un outil, une chose. Sa queue est venue écarter les lèvres de ma chatte, mais sans tendresse, sans me laissant le temps. Il a poussé au plus profond de moi, mais pas comme hier. Finalement, hier c'était doux par rapport à ce qui se passait. Hier, il m'avait fait l'amour. Là, il me prenait. Si je voulais être un objet, c'était maintenant. J'étais sa chose, j'étais son sex-toy. Il voulait jouir, et il pouvait le faire de la façon qu'il voulait. Il aurait pu m'obliger à le sucer, il aurait pu jouir sur moi, il pouvait faire ce qu'il voulait de moi, tout, j'aurais tout fait pour lui. Là, il a choisi de m'empaler par derrière, et tous mes sens étaient réveillées. Je sentais sa queue en moi, je sentais ses couilles frapper ma chatte avec chaque pulsion, je sentais mes tétons contre le siège, et je sentais ses mains me tenir très, très fermement, me 

tirant vers lui pour rentrer au plus profond de moi.

 

"Dis-moi ce que tu es!"

 

"Je suis une pute! Je suis ta pute! Je suis ton objet, fais ce que tu veux avec moi! T'arrêtes pas! Baise-moi!". Je n'y croyais pas moi-même. Je ne disais jamais ce genre de chose, et même dans mon journal je n'avais jamais parlée de baiser. Je venais d'avouer que j'étais une pute, d'accord, mais le reste? C'est venu naturellement, car c'est ce que j'étais, et c'est exactement ce que je voulais. Je criais à chaque coup de queue, je hurlais de plaisir, et plus je criais, plus il poussait fort.

 

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, encore une fois j'avais perdue la notion du temps, mais nous avons joui ensemble, presque au même moment. Il m'a détachée, et nous nous sommes allongés sur le lit; lui sur le dos, moi sur le côté, en train de l'embrasser, et sa queue dans ma main. Je ne voulais pas la lacher; je voulais qu'elle me domine. De temps en temps je léchais le bout, je faisais des bisous. Je la regardais dégonfler doucement, toujours enfermée dans son préservatif. J'étais amoureuse, j'étais heureuse. Il venait de comprendre ce que je ressentais, et la colère et l'inquiétude que j'ai pu éprouver peu de temps avant avait disparu; désormais je n'avais rien à lui cacher. Il pouvait lire tout ce qu'il voulait. Il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Je lui faisais confiance avec tout, je savais qu'il ne me trahirait jamais, et j'avais envie qu'il me domine.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 23:54

Je me suis réveillée vers 22h; il faisait noir, j'étais toujours chez Alex, nue sur son lit. Il fallait que je rentre chez moi; même si on était à 200m, il fallait que je rentre. Et si mes parents m'appellaient? Alex s'est réveillé aussi, je lui ai expliquée qu'il fallait que je rentre, et il a très bien compris. Il est allé chercher mes vêtements, encore chauds mais secs, je me suis habillée devant lui, et je suis partie pour chez moi. Inutile qu'il m'accompagne, on allait se revoir très bientôt. Pour être honnête, je voulais me retrouver toute seule pour essayer de comprendre ce qui m'était arrivée.

 

Je suis arrivée chez moi, toujours sans sous-vêtements, et la première chose que j'ai fait a été de récupérer mes sous-vêtements du salon. Vérification du téléphone, pas d'appels. Ouf! Le temps de ranger rapidement le salon, et je suis montée dans ma chambre. PC, allumes-toi! Faut qu'on parle! En attendant, je vais prendre une douche. La douche a été rapide, mais j'ai passée plus de temps après à me regarder dans le miroir. Je regardais mon corps. Je regardais mes seins, mes hanches, mes fesses, ma chatte. J'avais une sensation incroyable de savoir que je lui plaisais, que mon corps pouvait exciter! Il a joui! Avec moi! Grace à moi, à mon corps! Je n'en revenais pas... Il s'était concentré sur mes tétons, alors je les ai examinée longuement. Il m'a caressé sous le sein, prenant tout leurs poids dans ses mains. J'ai fait de même. Je regardais, j'essayais de me mettre à sa place, et de me voir, à travers le miroir. Jusqu'ici, je ne m'étais pas vraiment considérée comme belle, mais là, j'étais encore mieux que belle, j'étais une femme à ses yeux, un objet de désir. Objet?

 

Je suis allée m'allonger sur le lit, en passant par mon PC rapidement. Un message doux d'Alex. On se voit demain? Mais bien-sûr qu'on se voit demain! Tu viens demain matin? Vers 10h? Bisous, je t'aime. Je t'aime?! J'ai réellement écrit ça? Ohla... J'ai besoin de réfléchir.

 

Je me suis allongée sur le lit. J'étais encore nue, et à temps normal, ça aurait fini avec des caresses, mais pas ce soir. Je rejouais la scène dans ma tête. Depuis longtemps, j'imaginais ma première fois. Une chambre d'hôtel, un lit couvert de pétales de rose? Probablement pas. Sur la plage, un soir, après une fête un peu trop arrosée? Non plus... Mais à chaque fois que je l'avais imaginée, j'étais sur le dos, et l'homme venait sur moi, me faire l'amour en missionnaire. A aucun moment j'avais imaginée me faire caresser jusqu'à jouir, lécher une queue ou pire encore, me faire prendre en levrette. Ca, non.

 

Dans mon imagination, je me donnais à quelqu'un (la personne changeait souvent), mais il se donnait à moi. Là, encore une fois, ce n'était pas tout à fait pareil. Apart le bisou que j'avais fait à Alex au début, c'est lui qui a mené la danse, du début à la fin. Bon, c'est normal, je ne savais pas quoi faire, mais bon, j'aurais pu improviser, non? C'est pas comme si je n'avais pas déjà regardée plein de vidéos, lu plein de textes, vu plein de photos. Et j'ai jouie, 3 fois, mais je ne faisais jamais ça toute seule. Je ne pense même avoir eu deux orgasmes avec des caresses, alors trois? Mais ce n'est pas ça, ce n'est pas ça qui m'a excitée bien au-delà de ce que j'avais connu jusqu'ici, ce n'est pas ça qui m'a fait oublier mes craintes, mes inhibitions. Il y avait autre chose...

 

Je m'imaginais encore à quatre pattes, en train de me faire prendre en levrette. Je l'aimais, oui, c'était sur maintenant, je l'aimais. Mon coeur battait plus fort quand il était là, j'avais le souffle coupée quand je pensais à lui. Est-ce que c'était l'amour qui m'a rendue comme ça? Je continuais à penser à cette scène là. J'étais en train de prendre du plaisir, Alex aussi... Et ça m'a plu. Non, c'est ça! Ca m'a plu! Ca m'a vraiment, vraiment plu!

 

C'était une révélation pour moi. Qu'est-ce qui a le plus plu pour moi ce soir? Je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus jusqu'à là. Pourquoi est-ce que j'étais déçue la première fois? Pourquoi est-ce que j'ai failli être déçue la deuxième? Pourquoi ai-je acceptée d'obéir à ses ordres sans réfléchir, qu'on me regarde de la façon le plus intime possible, qu'il me prenne en levrette? Il avait envie de ça, et moi, oui, voilà, moi j'avais envie d'être son objet. Contrairement à ce que je pensais, il ne m'avait pas demandée... ordonnée, de le sucer. Je ne pourrais pas forcément d'envie d'essayer, mais si il l'avait demandé, je l'aurais fait, sans broncher, car il voulait ça. La levrette m'a tant plu car il me prenait comme il avait envie, comme ça le faisait plaisir, et puisque ça lui faisait plaisir, forcément, ça me faisait plaisir aussi.

 

J'étais pas une salope; je n'écartais pas mes jambes plus souvent que j'ouvrais mon coeur. Je m'étais souvent posée la question, si j'aime tant le sujet du sexe, suis-je une salope? Non, définitivement, non, ce n'est pas le cas. Ce qui se rapproche le plus, c'est "pute". Je ne lui dirai jamais non, si il a envie, peu importe l'heure, peu importe l'endroit, j'aurais envie de le faire jouir. C'était ça mon trophée, le voir jouir. Savoir qu'il l'a fait avec moi, grâce à moi, ou alors dans moi. Fallait que j'écrive ça!

 

Je me suis pressée de retourner sur mon ordinateur. A demain, 10h? Ok, ça marche! Bon, journal intime, où es-tu? J'ai ouvert mon document avec mon mot de passe super secret (le nom de mon dessin animée quand j'étais plus jeune), et j'ai commencée à écrire. Ce soit, ça y est! C'est officiel, je ne suis plus vierge! J'ai racontée comment, j'ai racontée le petit jeu que j'avais fait, qu'il m'ait masturbé, qu'il s'est caressé entre mes seins, et que je suis même allée chez lui, et qu'on a fini sur le lit. J'ai écrit tous les détails, et j'ai même fini par ma conclusion; Je suis une pute. Je suis sa pute; il peut me demander n'importe quoi, je lui dirai oui. J'ai envie qu'il me prenne, qu'il fasse de moi ce qu'il veut. Je suis sa pute, et je l'aime.

 

J'ai fermée le document, et je suis allée me coucher. Ma nuit a été pleine de rêves érotiques; à chaque fois il y avait le visage d'Alex.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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