Mercredi 6 mars 3 06 /03 /Mars 17:26

journal.jpgJ'ai cru comprendre que certains entre vous avait aimé mon texte de retour, une personne ayant cité qu'il aimait le fait que ça soit le présent, et non pas le passé. Ce que j'ai écrit jusqu'ici était effectivement plutôt le passé; avec une petite modification, vu que je relis mon journal, j'ai les souvenirs d'après, et quelques modifications selon les circonstances, ou simplement du fait que je suis plus grande. Le texte de l'autre jour était à vif; c'était moi, rien que moi, sans modification ni déformation. Le moi que n'importe qui ait pu croiser en ville. Moi, nue.

 

La même personne était aussi curieux de savoir ce qui s'était passé après. Alors, je fais une petite expérience, pour voir si ça vous plait. Voici un extrait de mon journal, non censuré. Ce n'est pas tout à fait le même langage; ce que j'ai écrit était pour moi, ce n'était pas destiné à être publié, mais j'ai envie de satisfaire une curiosité. Alors dites-moi ce que vous en pensez! Et d'ailleurs, on me dit aussi que ça serait sympa d'ajouter des images. Non, ce n'est pas moi! Mais j'adore cet image, je trouve ça très érotique.


Apart sa chemise noire du travail, j'étais nue. J'étais debout contre le mur, la main entre les jambes, pressée contre ma chatte comme si je voulais boucher une fuite. J'étais une gamine, la première en ligne pour un concert de Justin Bieber, ou la première à vouloir un nouvel iPhone. J'attendais, rien d'autre ne comptait. Mon regard était fixé sur la porte, et à chaque fois que la lumière du couloir s'allumait, mon coeur s'emballait. Je n'ai aucune notion du temps, je ne sais pas si ça a duré cinq minutes ou une heure. Puis il est rentré.

La porte s'est ouverte, et à peine rentré, je lui ai sauté dessus; littéralement. Les bras autour du cou, les jambes autour de sa taille, je l'embrassais. N'importe qui dans le couloir aurait pu me voir, mais rien à faire. Il aurait pu me prendre sur le palier, ou même dans la rue, je me serais mise à quatre pattes n'importe où, tant qu'il me prenne. C'était animale, je suis devenue une tigresse.

J'ai sentie la douleur quand il m'a plaquée contre le mur. C'était fort, mes epaules criaient douleur, mais ma tête était ailleurs. Je ne pensais plus avec mon cerveau, uniquement ma chatte. Je voulais pas qu'il ferme la porte; ça aurait pris trop de temps. Je le voulais, là, tout de suite. L'explication à la voisine aurait été compliquée, si elle était rentrée pour le voir derrière moi en train de me fourrer, et alors! Mais il n'a pas perdu de temps; deux secondes à peine pour refermer la porte par un coup de pied, pendant qu'il défaisait son pantalon. Peu de temps après, j'ai sentie sa queue entre mes jambes, cherchant à entrer. Raide, dure, envie de moi. Et là, je l'ai sentie en moi. Il me tenait encore en l'air, et me faisait descendre pour venir m'empaler sur lui. Morsure après morsure, griffe après griffe, j'étais sa tigresse, j'avais juste envie d'être prise, d'être à lui. C'est si bon de le ressentir en moi, comment ai-je pu oublier tout ça?

C'était pas la position où il pouvait me prendre le plus facilement, et on le sait, mais il était tout aussi pressé que moi. Je me suis retrouvée par terre; le carrelage me faisait mal aux genoux, la froideur se faisait sentir sur ma joue, mais j'étais ivre de désir; ça aurait pu être sur du gravier, ça aurait été pareil. Peu importe où, peu importe comment, mais prends-moi! Si je m'étais vue, j'aurais peut-être eu honte de moi, mais après un mois, j'avais juste envie d'être sa pute. Il me tirait les cheveux, et plus il me tirait, et plus j'aimais ça. Je lui disais que j'étais sa pute, et la grossièreté m'excitant autant plus. Et puis ce petit gémir, mais comment j'ai pu rater ça pendant un mois? J'entendais son plaisir, ça me rendait folle. Il me faisait pas l'amour, il me prenait. Je lui était offerte comme sex toy, prête à tout pour lui, et il en jouait. Sa queue poussait en moi, et à chaque coup de bassin, je croyais que j'allais jouir à nouveau. D'ailleurs, j'ai jouie, je me souviens pas combien de fois! Deux? Trois? Je ne comptais plus les orgasmes, ni le temps, ni les coups de rein...

Il allait jouir, mais j'avais envie de quelque-chose. Je me suis retournée, et toujours à quatre pattes, je l'ai suppliée de jouir dans ma bouche. Je voulais le sentir, je voulais le goûter. Je voulais avoir son intimité, et je voulais qu'il prenne le plus de plaisir possible; je voulais être la femme que je n'ai pas été pendant tant de temps. Il en jouait; je voyais sa queue dressée devant moi, et chaque mouvement de sa main risquait de la faire exploser, et me priver de mon trophée. Il en avait autant envie que moi, et j'ai eu le droit de goûter à son explosion de désir. J'étais toujours pas satisfaite, et j'ai peut-être même rit un peu quand il a dit "Ana! Doucement!" [NDLR: prénom changé, désolée :)]. Non je n'avais pas finie, pas encore. Je continuais à suçer, jusqu'à la resentir surcir dans ma bouche. J'ai pris le dessus; je suis venue grimper sur lui pendant qu'il s'allongait, et je suis venue m'empaler sur lui. Je griffais mes seins, je pinçait mes tétons, et je jouais la cowgirl sur sa queue. Les yeux fermés; je me plongeais dans un fantasme; je baisais le Dieu egyptien pendant que ses serviteurs nous regardaient. Un orgasme supplémentaire ne m'a pas arrêtée.

Il n'a pas été tranquille de la soirée, je commence même à m'en vouloir. Je devais l'avoir à côté de moi, je ne pouvais pas m'en éloigner. J'étais soit dans ses bras, soit sur ses genoux. J'en ai mal à la langue, j'en ai mal au clitoris, et je n'ai pas encore eu ma dose de câlins. J'ai l'impression d'essayer de ratrapper un mois de manque en une soirée de câlins, mais si il m'a supporté jusqu'ici, je pense que demain il sera toujours là, et que j'aurais toujours mon bisou de bonjour.

Il est deux heures du matin, et il ronflote doucement à côté de moi. J'en ai encore la chatte trempée, mais il y a 20 minutes il m'a suppliée de le laisser dormir un peu; j'ai peut-être exagérée sur ce coup là. Peut-être que demain je serais punie? J'ai été un peu égoïste sur ce coup là; je suis en vacances, et il travaille.

Je voulais juste te dire [NDLR: je tutoie mon journal] que j'ai enfin retrouvée ma sexualité, et que je me sens bien. Demain j'aurais probablement honte, et je vais passer du temps à ranger les vêtements et les jouets, et si demain est comme aujourd'hui, je vais passer autant de temps à les semer dans l'appart.

Je suis redevenue moi-même, je suis heureuse!

Par Ana - Publié dans : Présent
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