Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 18:53

10 heures le lendemain matin. J'avais eu la nuit pour réfléchir, et j'étais inquiète. Je ne regrettais rien, mais lui? Est-ce qu'il avait changé d'avis sur moi? Que finalement, c'était juste un soir, et aujourd'hui tout était déjà fini? Je n'allais pas tarder à le savoir. Je m'étais habillée en robe, beaucoup plus sage que la veille. 10 heures pile, ça a sonnée à la porte. J'ai presque couru jusqu'à la porte, et effectivement, c'était Alex. Je sautais presque de joie, mais il était différent de la veille. Peut-être un peu plus froid, un peu plus distant. Je n'ai pas eu de bise, et pas de bisou, juste un "Salut, toi!". J'an tentée le tout pour le tout, et je lui ai fait un bisou au coin du lèvre. Sa réponse était de mettre sa main dans le bas de mon dos, et me tirer contre lui. Je ne résistait pas, et il m'a embrassé.

 

"Je pensais que tu aurais peut-être changée d'avis".

 

"Tiens, je me disais la même chose!" C'est vrai, je stressais depuis que je m'étais levée. Je m'étais même pas caressée ce matin, trop de noeuds dans l'estomac. J'étais soulagée, mais j'avais besoin d'être sûre, j'avais besoin d'entendre les mots. "On sort toujours ensemble?". Sortir ensemble? Ca fait trop gamine, ça! Etre ensemble, peut-être, sortir ensemble?

 

"Toujours, mais il ne faut pas que tes parents sachent, on est bien d'accord?". J'ai répondu avec un bisou, "Ils ne le sauront jamais!".

 

Je l'ai pris par la main, et je l'ai emmenée dans le salon, la partie centrale de la maison.

 

"Tu n'as pas de regrets pour hier soir?" m'a-t-il dit.

 

"Des regrets? Aucun! C'était géniale, je t'en remercie!" Je n'osais pas dire qu'il pouvait recommencer quand il voulait.

 

"Je pensais que tu allais remettre ta jupe écossaise ce matin"

 

"Oh, tu veux? Allez, viens!" Je l'ai pris à nouveau par la main, et je l'ai emmené dans ma chambre, prête à lui faire plaisir en m'habillant comme ça lui plaisait. Il n'a même pas eu le temps de dire quoi que ce soit. Typique des informaticiens, il est allé directement regarder mon PC pendant que je me suis éclipsée dans la salle de mains. Je n'ai pas pris mon temps pour me changer; la jupe était froisée, la chemise n'en parlons même pas, mais j'avais envie de mettre ça car je savais que ça lui plaisait. Naturellement, c'était identique à hier soir, je n'avais pas de sous-vêtements. J'ai regardée mon décolleté... Allez, on peut enlever un bouton ou deux. Je suis sortie de la salle de bain, et je suis allée le reoindre. Il m'a regardé de la tête aux pieds avec ce même sourire pervers, et j'avour que je regardais souvent vers son entre-jambe pour savoir si ça lui faisait un effet. Eh oui, ça lui faisait un début d'effet.

 

Il m'a tiré vers lui pour m'embrasser à nouveau, et sa main est allée directement sous ma jupe pour tester... Et non! Je n'en ai pas mis! Il m'a regardé à nouveau avec ce sourire pervers, et je savais ce qu'il voulait. Il ne pouvait plus cacher son envie, ça se voyait clairement à travers son jean.

 

"Tu as aimée hier soir?"

 

"Beaucoup" J'ai encore répondu en chuchotant plus qu'autre chose. Il m'a retournée pour que je sois dos à lui; une main est venue me caresser les seins à travers ma chemise, l'autre est allée directement vers ma chatte, qui était humide depuis un certain temps déjà. J'ai penchée la tête en arrière pour me coller contre lui. On s'est embrassé comme ça. Puis ses mains sont allées déboutonner ma chemise, et je l'ai fait tomber par terre sans aucune tentative de la ratrapper. Je me laissais faire. Je l'ai gardée en tout moins de deux minutes. Puis il a remontée ma jupe, exposant mes fesses pour son plus grand plaisir. Il a caressé longuement, ses doigts dessinant une ligne entre mes fesses, et parfois descendant jusqu'à ma chatte. Il m'a poussée à genoux, je n'ai pas résistée. Il m'a poussée sur l'assise de mon fauteuil, je me suis allongée dessus; mes fesses vers lui, ma tête vers mon ordinateur, et le dossier d'un côté. Je n'ai pas non plus résistés quand il a pris mes mains, et que je l'ai senti m'attacher les mains dans le dos. J'ai fait quelques mouvements pour essayer; ce n'était pas trop serrée, je n'avais pas mal, mais c'était solide, pas moyen de m'échapper à nouveau. Il est venu chuchotter dans mon oreille. "Dis 'chocolat'".

 

"Chocolat?"

 

"C'est le mot magique. Si tu as peur, si tu as envie qu'on arrête, tu dis ce mot là, et j'arrête tout, tout de suite." C'était rassurant. Ca voulait aussi dire que je pouvais dire "non" tout ce que je voulais, il n'allait pas s'arrêter. Je l'ai entendu derrière moi, le bruit magique d'un bouton de jean qui s'enlève, le bruit de la fermeture éclair, et de vêtements qui tombent par terre. J'ai essayée de me repositionner, pour que mes fesses soient encore plus en l'air pour qu'il profite pleinement du spectacle, mais rien à faire. J'étais coincée sur mon fauteuil. Un bruit inconnu... Un bruit de plastique... Une odeur... Ah, un préservatif! Pas de préliminaires aujourd'hui, il veut y aller directement! J'ai senti à nouveau la même sensation que la veille, quand son sexe a poussé contre le mien. J'étais trempée, mes lèvres se sont écartées pour laisser passer, mais rien... J'ai essayée de me pousser en arrière pour accueillir sa queue, mais rien à faire. Il dominait.

 

"Tu en as envie?"

 

"Oui!" Ce n'était pas un chuchotement, loin de là, j'avais réellement envie qu'il me fasse l'amour. 

 

"C'est quoi le mot de passe?"

 

Le mot de passe? Mais de quoi qu'il... J'ai regardée mon écran de PC. Il avait ouvert mon journal intime! Et là, sur l'écran, était la fenêtre pour écrire mon mot de passe. Hé, attends! C'est personnel, ça!

 

"Alors?"

 

J'ai essayée de me débattre, je voulais prendre le clavier et... le clavier, mais il était où? Il avait tout derrière lui... J'avais peur, je tremblais, je ne voulais pas, mais je n'ai pas dit le mot magique. Puis j'ai senti sa main sur mon cul, juste sur mon anus. Il caressait doucement. C'était une autre première pour moi, et une partie de mon cerveau aimait bien, mais une plus grande partie paniquait à l'idée de me dévoiler si intimement.

 

"Le mot de passe?"

 

Sa queue glissait en moi. J'étais encore humide, pas forcément par excitation mais juste les restes de l'excitation quelques secondes avant. Panique!! Au secours! Je veux pas, je veux pas... Mais je ne voulais pas dire "chocolat", hors de question!

 

Il a commencée à se retirer; sa queue sortait doucement de ma chatte, et son doigts n'était plus entre mes fesses.

 

"Si tu me dis pas, je ne te ferai plus jamais ça."

 

Je lui ai donnée le mot de passe, en chuchotant plus qu'autre chose, et en tremblant fortement. Peut-être qu'il était encore temps de dire chocolat, peut-être qu'il n'irait pas tout regarder...

 

Et là, ma vie s'est dévoilée devant lui. Il avait tout sous les yeux. Les pages qui défilaient contenaient des photos de moi nue d'il y a un an, la formation de mon corps, du texte stratégiquement mis en gras. Je n'avais jamais pensée que quelqu'un le regarderait. J'étais choquée, presque en larmes. Une partie de moi était encore excitée, mais une autre partie avait envie de le mettre dehors et de ne jamais le revoir. Je ne savais pas quelle partie était en train de gagner.

 

Et là, la dernière page. Le texte écrit en gras, "Je suis sa pute". Ca lui a coupé le souffle, je l'ai entendu derrière moi, une inspiration forte. Il est sorti entièrement de moi, il ne me tenait pas par la taille. J'avais une larme qui coulait sur le visage... Je m'en voulais. j'avais tout gâchée. C'était ma faute si il ne voulait plus de moi, tout ce que j'ai écrit lui a fait peur. Les pages ont continué a défiler, dans l'autre sens. Encore des phrases soulignés en gras, exposant mes fantasmes... Des fantasmes sur lui, des images de moi en train d'essayer des poses sexy, et une photo de moi le jour que j'ai voulu voler des sous-vêtements de ma mère. Ce n'était même pas la peine de dire "chocolat"; il allait me détacher, j'allais supplier qu'il ne dise jamais rien, et notre histoire serait fini.

 

J'avais tort.

 

J'ai ressentie ses mains se poser sur ma taille, mais pas pareil. Avant j'étais tenue fermement, mais là... Là, c'était encore pire. Il me tenait comme il tiendrait un outil, une chose. Sa queue est venue écarter les lèvres de ma chatte, mais sans tendresse, sans me laissant le temps. Il a poussé au plus profond de moi, mais pas comme hier. Finalement, hier c'était doux par rapport à ce qui se passait. Hier, il m'avait fait l'amour. Là, il me prenait. Si je voulais être un objet, c'était maintenant. J'étais sa chose, j'étais son sex-toy. Il voulait jouir, et il pouvait le faire de la façon qu'il voulait. Il aurait pu m'obliger à le sucer, il aurait pu jouir sur moi, il pouvait faire ce qu'il voulait de moi, tout, j'aurais tout fait pour lui. Là, il a choisi de m'empaler par derrière, et tous mes sens étaient réveillées. Je sentais sa queue en moi, je sentais ses couilles frapper ma chatte avec chaque pulsion, je sentais mes tétons contre le siège, et je sentais ses mains me tenir très, très fermement, me 

tirant vers lui pour rentrer au plus profond de moi.

 

"Dis-moi ce que tu es!"

 

"Je suis une pute! Je suis ta pute! Je suis ton objet, fais ce que tu veux avec moi! T'arrêtes pas! Baise-moi!". Je n'y croyais pas moi-même. Je ne disais jamais ce genre de chose, et même dans mon journal je n'avais jamais parlée de baiser. Je venais d'avouer que j'étais une pute, d'accord, mais le reste? C'est venu naturellement, car c'est ce que j'étais, et c'est exactement ce que je voulais. Je criais à chaque coup de queue, je hurlais de plaisir, et plus je criais, plus il poussait fort.

 

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, encore une fois j'avais perdue la notion du temps, mais nous avons joui ensemble, presque au même moment. Il m'a détachée, et nous nous sommes allongés sur le lit; lui sur le dos, moi sur le côté, en train de l'embrasser, et sa queue dans ma main. Je ne voulais pas la lacher; je voulais qu'elle me domine. De temps en temps je léchais le bout, je faisais des bisous. Je la regardais dégonfler doucement, toujours enfermée dans son préservatif. J'étais amoureuse, j'étais heureuse. Il venait de comprendre ce que je ressentais, et la colère et l'inquiétude que j'ai pu éprouver peu de temps avant avait disparu; désormais je n'avais rien à lui cacher. Il pouvait lire tout ce qu'il voulait. Il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Je lui faisais confiance avec tout, je savais qu'il ne me trahirait jamais, et j'avais envie qu'il me domine.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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