Samedi 27 octobre 6 27 /10 /Oct 11:19

Un jour mon monde s'est effondré. L'email d'Alex était la pire que je n'ai jamais eu jusqu'à là. Il devait déménager. J'avais toujours pensée qu'il était propriétaire de sa maison, mais non, il était simplement locataire, et les propriétaires voulaient récupérer la maison. Il devait déménager, et tant qu'à faire, autant aller directement dans la ville où il travaillait. A la campagne, on était juste entre deux grandes villes, a mi distance. En sortant de la petite rue, on avait le choix entre gauche et droite. A gauche, une grande ville, connu pour son industrie et son cité scolaire, et à droite, une très grande ville, la préfecture du département. Il allait à droite, mon lycée était à gauche. J'étais en fin de lycée, l'année prochaine c'était la prépa, mais j'avais toute mes chances d'aller dans l'autre ville. L'idée me déprimait déjà. Il m'a assuré que ce n'était pas la fin, qu'on trouverait un moyen de se voir, que je pouvais venir chez lui quand je voulais, etc, mais ce n'était pas pareil.

Mes parents ont bien remarqués que je n'étais pas moi-même. Souciants, ils ont demandé pourquoi. Pourquoi mentir? Je leur avais dit que je venais de me séparer avec mon petit ami. Premièrement, ils ne savaient pas que j'avais un petit ami, et deuxièmement, ils étaient tristes pour moi. Ils ont été adorables, et m'ont soutenu pendant cette épreuve. J'ai vu Alex déménager quelques semaines plus tard; difficile d'être là le jour même; mes sentiments m'auraient trahis. Une semaine plus tard, il était installé avec sa connexion, et on discutaient toujours, mais ce n'était pas pareil. Pour une petite lycéenne, une grande ville me semblait être à des années lumières de là, j'avais presque besoin d'un passeport pour y aller. Je brodais du noir, et je voyais déjà notre relation fini. La masturbation n'était plus pareil, et ne me procurais plus les mêmes sensations. Mon journal inutile tombaient aux oubliettes. J'avais besoin de quelque-chose pour me sortir de la, et c'est ce que j'ai eu.

A la fin du lycée, on devait choisir les classe préparatoire. J'avais le choix; un très grand dans l'"autre" ville, et un autre dans la ville d'Alex. Peut-être que, avec un peu de chance... J'en avais parlée avec Alex, et il pensait que c'était une super idée. Je commençais à reprendre espoir. Il ne restait plus qu'à convaincre mes parents.

Les chances étaient contre moi. La prépa dans l'"autre" ville était plus grande, plus de fréquentation, et je n'étais pas obligée de prendre un appart d'étudiant. Dans la ville d'Alex, c'était plus petit, et je n'avais pas de transport tous les jours pour y aller, donc obligée de prendre un appart, et donc un coup de main supplémentaire des parents. La négociation allait être rude.

J'ai préparée mes arguments; j'avais étudiée le terrain, les prix, le taux de réussite et les possibilités de carrière. Puis un jour, j'ai confrontée mes parents.

Dans le salon, je me suis préparée d'avance. Papa, maman, faut qu'on parle. Je voudrais parler de ma prochaine prépa. Bah voilà, j'ai plusieurs choix. Je voudrais faire de l'informatique, et il y a deux possibilités intéressantes. Bon, il y a la prépa de la ville x (la ville d'Alex), et la prépa de la ville y".

"Ah non, tu vas pas aller à y... C'est trop généraliste, et tu bosses bien, vaudrait mieux que tu essaies de rentrer dans x". C'était surréaliste. J'étais tellement sûre de devoir me battre, et là, les rôles s'inversaient.

"Mais... Je ne pourrais pas y aller en bus"

"Ecoutes, chérie, on en a parlé avec ta maman. On va te prendre un petit appart là-bas. Tu risque d'être pas juste à côté du lycée, mais ça serait toujours mieux que de venir ici tous les jours. Tu seras mieux là-bas, tu auras ton indépendance, tu pourras sortir plus souvent avec les amies, et si jamais tu as un problème, on sera juste à côté, on pourra venir rapidement". J'ai du rester bouche bée pendant quelques secondes, avant de sauter dans les bras de mon père. Merci papa, merci merci merci!

"Bon, tout ceci est à condition, hein!" Ah. Vas-y, je t'écoute. "Je veux que tu aies ton BAC, bien entendu! Et bon, on te prendra aussi un téléphone portable, mais si tu dépasses ton forfait, ça sera pour toi. On te prendra aussi un ordinateur portable, ça sera plus facile pour tes cours. On te demandera juste de prendre tes meubles avec l'argent sur ton compte"

Surréaliste. Je m'étais tellement préparée à devoir me battre, et voici qu'on me serve sur un plateau tout ce que je voulais! J'étais aux anges, et je pense que j'ai rarement fait autant de bisous à mes parents. La condition était là, fallait que j'obtienne mon BAC, mais selon mes professeurs, ça ne serait pas un problème. J'ai bossée, j'ai bossée... Motivée par la possibilité de faire l'école que je voulais, aller dans la ville que je voulais, et surtout, pouvoir être avec Alex... Quelques semaines plus tard j'ai eu mon BAC avec mention, acceptée dans l'école que je voulais!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 19:17

Le lendemain matin, son réveil a sonné assez tôt. J'avais beau être dans son lit à côté de celui que j'aimais, ça n'empêche pas; le réveil était super difficile. On a émergé doucement avec de la musique du réveil; j'ai eu droit à mon petit bisou, et j'ai répondu avec d'autres bisous. Il me serrait dans les bras, je lui calinais le torse. J'ai l'hbaitude de me masturber le matin au réveil, et le sexe le matin est toujours très agréable, mais je pense que j'aurais eu du mal à être très sportive. L'expérience de la veille était très agréable, mais je n'étais pas prête à refaire quelque-chose comme ça de suite, pas juste au réveil.

Je suis venue grimper sur lui, a quattre pattes pour mieux l'embrasser. C'était déjà un effort surhumain vu l'heure. J'étais allongée sur lui, j'étais dans ses bras en train de gouter à ses lèvres. Il me caressait le bas du dos, parfois les fesses avant de remonter pour me serrer dans ses bras. J'ai sentie sa queue durcir entre mes jambes, venir se poser contre ma chatte. J'ai eu des picotements de désir, mais pas comme tous ce que j'ai pu avoir avant. Là, c'était différent. J'avais envie de lui, envie de le sentir en moi, et envie de faire l'amour. En regardant dans ses yeux, il avait envie de la même chose. Pas de perversion, pas cette fois çi. Il voulait venir en moi, je le voulais en moi, et c'est venu naturellement. Je me suis assise sur sa virilité, la laissant rentrer pleinement en moi, les draps tombant autour de moi. Mes seins étaient à l'air, et il en a profité pour venir les caresser, mais tendrement, sans pincer, sans forcer. C'était de la douceur pûre; je faisais des mouvement lents avec mon
bassin, il répondait en faisant des mouvements inverses pour mieux rentrer en moi. Il me caressait très tendrement, prenant un sein dans chaque main, venant parfois les embrasser, m'embrasser dans le cou.

Ce matin, je n'étais pas son objet, son jouet. Ce matin, j'étais sa petite amie, et on faisait l'amour! C'était estrêmement agréable, une sensation de douceur, d'amour, de tendresse et d'affection. Une petite pause obligatoire pour mettre un préservatif, et j'ai fait une note mentale d'essayer de voir pour la pillule. Après, je suis revenue sur lui, nous avons continué à faire nos mouvements doux, de nous réveiller en douceur et en harmonie. J'ai jouie la première, d'un orgasme long et tendre. Ce n'était pas pareil; je n'avais pas envie de crier, mais de profiter. Je suis venu goûter à ses lèvres pendant l'explosion, toujours avec les mouvements de bassin, sentant bien qu'il n'était pas loin derrière moi. Et là, il a joui en moi. Ses mains m'ont tenu fermement par les fesses, rentrant à fond en moi pendant son explosion, puis nous sommes restés comme ça quelques minutes. Je sentais son érection partir doucement, mais il était toujours en moi. On s'est regardé dans les yeux, on s'est embrassé, et quand il fallait vraiment qu'on se lève, on est allé se préparer vite fait, et je suis partie prendre mon bus, avec le sourire jusqu'aux oreilles. J'étais heureuse et amoureuse.

Il y a une grande différence entre être un esclave sexuel, et être une petite amie. Bien-sûr que je voulais bien tout faire; j'avais déjà fait quelques pratiques que d'autres auraient pu aller "extrêmes". Même aujourd'hui je n'entend pas beaucoup de femmes dire qu'elles ont été promenées en laisse de chien. A priori, certaines n'ont pas eu de 69. Les "salopes" de l'école racontaient souvent qu'elle s'étaient tapées tel mec ou tel mec, un coup rapide dans une voiture ou alors derrière un bâtiment. Ou pire encore, dans les toilettes de l'école. Je souriait. Ces mêmes personnes pensaient que je n'avais pas de vie sexuelle, alors que la mienne étaient bien plus épanouie que la leur. Ce n'était que le début, je savais bien qu'il allait avoir d'autres expériences, et d'autres cours. J'avais hâte d'essayer!

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 18:14

Il avait lu mon journal, et je le savais. Il avait tous les détails. En rentrant de l'école ce soir, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Ce matin en partant, il m'a fait découvir le 69, alors ce soir? Mes parents n'étaient pas là, donc je savais que ça allait être intéressant.

Je n'attendais qu'une seule chose; la fin des cours, et le bus de retour. En arrivant à l'arrêt, j'ai marchée rapidement vers la maison d'Alex, je commençais déjà à mouiller. Qu'est-ce que j'allais découvrir cette fois çi?

J'ai sonnée à la porte. Quelques secondes plus tard, il m'a ouvert.

"Bébé, tu sais que tu n'as pas besoin de sonner, tu es chez toi ici!" me dit-il en m'embrassant. J'étais son bébé, je voulais me blottir dans ses bras. On est allé sur le canapé, j'ai racontée ma journée, il m'a raconté le sien, puis on a parlé de ce qui s'était passé ce matin. J'ai avouée que j'avais adorée, que ça ne m'avait absolument pas fait peur, que j'étais très contente qu'il me montre de nouvelles choses, et que j'ai aimée avoir le gout de son sperme dans la bouche.

"Vraiment? Tu veux avoir d'autres expériences?"

Le regard pervers était de retour. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver, mais je sentais que mon journal intime allait avoir quelques pages de plus très bientot. Il a mis sa main sous la table basse pour sortir un sac en plastique. Dedans, il y avait quelques affaires. Il a sorti quelque-chose en cuir, qu'il m'a tendu. Je l'ai pris entre les mains... Un collier... Un collier de chien?

"C'est ton collier de chienne. Dans ton journal, tu disais que tu pensais être comme une chienne? Et bien maintenant tu vas pouvoir savoir ce que ça fait!"

Il me l'a pris des mains, et l'a mis autour de mon cou.

"Tant que tu as ce collier, tu es ma petite chienne. Tu dois rester à quatre pattes, tu n'as pas le droit de parler, juste d'aboyer ou de gémir, et tu seras ma petite chienne tant que je n'ai pas enlevé ton collier. C'est compris?"

J'ai hochée la tête.

"Bien. D'abord on a besoin de te laver... Suis-moi!"

Il s'est levé, et il est parti vers la salle de bain. Je l'ai suivi, à quatre pattes, obéissante. J'ai entendu l'eau couler sous la douche, et le temps que j'arrive, tout était prêt. Il m'a fait rentrer, puis m'a déshabillée, toujours à quattre pattes. Il ne m'a pas appellé par mon prénom, et il jouait bien le jeu. J'étais vraiment sa chienne, et il allait s'occuper de moi. Plus de jean, plus de pull, et bientôt plus de sous-vêtements.

"Bonne chienne. Allez, sous la douche!"

Je suis restée sur place. Une tappe sur les fesses m'a rapidement remis sur le bon chemin, et obéissante, je suis allée sous la douche à quatre pattes. J'ai laissée l'eau couler sur mon dos, pendant que mon maitre s'est déshabillée derrière moi. Il est venu me rejoindre, puis a refermé la porte. La douche était grande, largement asses grand pour nous deux, même si je restais comme ça. Il s'est mis à genoux a côté de moi, et j'ai vu sa queue dressée.

Alex a commencée à me mettre du savon sur le dos, puis à me savonner. C'était un massage plutôt agréable après une journée de cours. Le bas du dos, les épaules, le cou... Très agréable. Même dans les moments les plus érotiques, j'avais de la tendresse. Bien-sûr, je n'avais pas que ça, et sa main descendait vers mes fesses...

Sa main me caressait les fesses, son doigt me caressant entre les fesses, passant doucement sur mon anus, ce qui m'excitait de plus en plus. Puis sa main descendait vers ma chatte pour y insérer deux doigts, puis aussi vite que ça a commencé, ça s'est arrêté.

"Je me demande si ma petite chienne a aimée ça..." Bien-sûr que j'ai aimée ça! Mais comment le dire... Je n'ai pas le droit de parler, je n'ai pas le droit de me relever, et les chiens ne sont pas connus pour leur capacité à prendre des objets entre les mains. Mais je savais ce que j'avais le droit de faire... Je me suis retournée pour lui lécher le sexe longuement, en faisant le plus de bruit possible. Je léchais, puis le suçais, pour lécher à nouveau. Oui, ta petite chienne à adorée ça, et elle en redemande! Il m'a arrêtée, et m'a retournée, et à nouveau, j'ai senti sa queue rentrer en moi, sans aucune résistance de ma petite chatte. Il m'a pris, il m'a empalé, des mouvement vigoureux et énergtique. Il ne m'a pas fallu longtemps pour jouir. Les chiennes ne parlent pas, mais ça peut quand-même crier de plaisir!

Une fois que c'était fini, il a éteint l'eau et il est sorti de la douche pour se sécher, me laissant toujours sous la douche. Quand enfin il était prêt, il m'a fait sortir, toujours à quattre pattes, et il m'a essuyée avec une serviette. Les "pattes", le dos, les fesses puis en me mettant sur le dos, le ventre, et les seins. Je pensais qu'il allait sauter directement sur moi pour atteindre l'orgasme, mais non. Il m'a enlevé le collier, et j'étais enfin libre! Sa queue était juste là, alors j'ai voulu la prendre, mais non. Il m'a dit qu'il ne voulait pas encore jouir, qu'il avait encore une ou deux idées. On s'est habillé, et nous sommes retournés dans le salon pour regarder un peu la télé, parler, et faire autre chose que de faire l'amour. J'étais dans ses bras, heureuse!

On s'était mis sur le canapé, à regarder un film ensemble. Le film n'avait pas vraiment d'intérêt, mais on était ensemble, quelque-chose qui n'arrivait pas très souvent, ou en tout cas, pas autant que j'aurais aimée. On était bien comme ça aussi. Le sexe était important, mais pas que ça. On avait aussi envie de passer du temps ensemble, même habillé.

Ca ne veut pas dire qu'on n'avait pas parfois des envies. Et lui, il en avait plein.

Il était tard, il faisait nuit dehors. On n'allait pas tarder à se coucher, je me levais demain pour retourner en cours, et lui devait se lever pour travailler. Je me suis levée, et en passant devant la porte fenêtre, je regardais son jardin. Ce n'était pas le jardin le plus grand, le mien l'était d'avantage, mais il offrait un coin sympa, et on pouvait se ballader un peu. J'ai vu la lumière s'éteindre derrière moi, seul une vague lueur de lune éclairait le jardin. J'ai senti le collier serrer autour de mon cou.

Je suis presque tombée à quatre pattes, et je commençais déjà à sentir les picotements du désir, et l'anticipation. Je savais avec quoi ça allait finir, mais pas comment. Il m'a deshabillée, pas de préliminaires, pas de tendresse, il me voulait nue, là, tout de suite. J'étais obéissante, je me laissais faire. Puis il est allé chercher quelque-chose, puis il est revenu avec. Il a attaché une laisse à mon collier, il a ouvert la porte fenêtre, et il est parti pour promener sa chienne dans le jardin.

J'étais inquiète... Jusqu'ici, on faisait tout dans une chambre, ou du moins, dans une piece, mais là, j'étais dehors! Et si quelqu'un nous voyait? J'ai regardée un peu autour de moi, il n'y avait pas de fenêtres donnant sur son jardin, c'était intime. Les chances que quelqu'un me voit étaient minces. Je l'ai suivi, obéissante comme toujours. Il m'a promenée un peu partout dans le jardin; parfois je suivais, parfois je prenais la direction qu'il montrait. Il n'y avait pas beaucoup de lumière, mais je suis sûre qu'il profitait du spectacle que je lui proposait. Ca a du lui plaire, il n'a pas fallu bien longtemps avant qu'il ne baisse son pantalon, et sa petite chienne était très contente de pouvoir mécher son maitre. J'aurais été prête à lui faire jouir comme ça, mais le froid a eu raison de nous. Nous sommes rentrés nous rechauffer sous la couette. C'était enfin son tour de jouir; il m'a pris en levrette jusqu'à ce que je jouisse à nouveau, puis il est venu jouir dans ma bouche. Pour la première fois, nous
nous sommes endormis ensemble, dans son lit.

Par Ana - Publié dans : Expérience
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Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 13:08

Il fallait juste un peu de patience, mes parents finissaient toujours par trouver moyen de partir en voyage tous les deux en même temps. Même si c'était que pour un soir. On en a profité!

 

Je commençais mes cours un peu plus tard ce jour là, mais mes parents partaient tôt. J'en avais discuté avec Alex, j'allais pouvoir lui rendre une petite visite dès leur départ, vers 7h30. Ca me laissait une bonne heure pour lui dire bonjour!

 

Une fois mes parents partis, j'ai attendu quelques minutes avant de prendre mon sac et de sortir à toute vitesse pour aller chez Alex. Je tenais mon agenda a quelques minutes près, chaque seconde comptait, alors je voulais ne rien rater! Alex m'attendait derrière la porte (lui aussi a surveillé mes parents!), et je n'étais même pas obligée de frapper à la porte, il m'a fait entrer directement. Un baiser langoureux de bonjour, quelques caresses intimes pour dire à quel point on s'était manqué, et voilà. Il était encore en "pyjama"; un caleçon et un t-shirt, et j'étais prête pour l'école; un jean, un pull et même des sous-vêtements. Il ne lui ai pas fallu longtemps pour tout enlever, et encore une fois, je me suis retrouvée nue devant lui. Ca devenait une habitude, et je m'y sentais bien. Il m'a pris par la main, et m'a emmené dans la chambre.

 

"Lecon du jour, le 69!" Il s'est déshabillé et s'est allongé sur le lit, et m'a dit de venir sur lui; ma tête au niveau de sa quêue. Il ne m'a pas fallu bien longtemps pour refaire ce que j'avais apprise; en prenant la base de sa queue dans la main, j'ai plongée sa virilité dans ma bouche, retrouvant toutes les sensation que j'avaias avant. Une main restait sur la base pour la guider, l'autre lui caressait doucement les couilles pendant que ma tête faisait des va et vient. Je pensais aussi à la vue qu'il avait; ma chatte était juste au-dessus de sa tête, fraichement rasée et je mouillais depuis déjà assez longtemps. Mes fesses aussi etaient visibles, et mon petit cul n'attendant que lui! J'ai senti ses mains sur mes fesses, et j'étais partie pour une nouvelle expérience; sa langue dans ma chatte. Je l'ai senti rentrer en moi, explorant mes lèvres et allant me goûter à l'intérieur, puis revenir sur mon clitoris. L'expérience était inouïe, je frissonnais de plaisir, mais je montrais mon plaisir en le suçant plus longuement. Chaque fois qu'il me léchait, il faisait des bruits de "Mmmmm", et j'ai voulu faire de même. La réaction était immédiate; il me serrait plus fort et ça langue allait plus loin. Quand à sa queue, je l'avais rarement sentie aussi dûre. Il me léchait, il me tirait vers lui et ça m'excitait au plus haut point. Je savais bien que la moitié des filles de mon age n'avaient pas encore connu la moitié de ce que je faisais, et j'aimais ça. Il me traitait comme une femme (en plus d'un objet sexuel).

 

On a continué longtemps comme ça, jusqu'au point où je n'en pouvais plus, j'ai jouie avec sa langue dans ma chatte... C'était fort, c'était intense, et c'était encore plus intense de savoir que sa queue était toujours dans ma bouche, sa peau sur mes lèvres et ma langue. J'ai continuée le rythme pendant mon explosion, je voulais qu'il jouisse aussi, il n'avait qu'à me dire comment!

 

"Continues à me sucer, je veux jouir dans ta bouche!" D'accord! J'ai continuée, allant de plus en mlus vite. Je me concentrais sur sa queue, et aussi sur ma chatte, quelques centimètres au-dessus de ses yeux. Je voulais qu'il profite du spectacle, je sentais son regard dessus, ça me brulait presque la peau. Ses mains me caressaient les seins maintenant, tirant fort sur mes tétons, de temps en temps une main allait derrière ma tête pour me donner le rythme. Sa respiration devenait plus forte, il tremblait, sa queue frissonnait... Je savais que ça allait venir. Sa main est venue derrière ma tête pour me pousser vers le bas, faisant en sorte que sa queue reste dans ma bouche, et que je ne puisse pas m'échapper. Je n'en avais pas envie. J'avais envie de le sentir jouir, j'avais envie de sentir son sperme dans ma bouche. Encore quelques secondes et j'allais tout sentir!

 

Il a joui, dans moi! La première spasme ne m'avait rien donné, mais à la deuxième j'ai senti le liquide sur ma langue. J'ai aspirée, je voulais qu'il se vide entièrement en moi, se vider de son sperme pour mieux jouir. J'étais prête à tout prendre, et malgré le goût amer et le texture un peu surprenant, ce n'était pas désagréable. Ce n'est pas un goût que j'aime particulièrement, mais c'est l'idée que c'est sa jouissance, c'est une trophée pour moi, et je voulais tout! Je sucais aussi fort que possible, aspirant tout ce que je pouvais. J'avais l'impression que ça durait bien plus longtemps que la dernière fois, que ça me remplissait la bouche (même si, au final, il y en avait assez peu). Les spasmes se sont calmés, puis arrêtés, mais je continuais à tout garder dans la bouche. Ne sachant pas très bien quoi faire, j'ai tout avalée, autrement j'allais en perdre, et il n'avait pas été assez clair sur ce qu'il voulait. J'ai sucé sa queue qui commencait déjà à dégonfler, puis il a mis sa main sur ma tête pour me 

guider vers lui.

 

"Qu'est-ce que tu en as fait?"

 

"J'ai tout avalée"

 

"Vraiment?" Ses yeux étaient pétillants. "Je ne pensais pas que tu l'aurais fait!"

 

"Bien-sûr que si! Mais il faut que je te laisse, je vais être en retard! On se voit ce soir?"

 

"Oui, viens me voir quand tu as fini, je serai là!"

 

"D'accord! Je t'aime, a tout à l'heure!" Je suis partie m'habiller, puis je suis revenue dans la chambre. j'ai repris sa queue dans ma bouche pour lui souhaiter une bonne journée, puis je suis parti en cours, un petit peu en retard.

Par Ana - Publié dans : Expérience
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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 21:51

C'était difficile pour moi, on ne pouvait pas se voir aussi souvent qu'on aimerait. Il pouvait passer une semaine sans qu'on se voit, et c'était très difficile à supporter. On se parlait tous les jours via messagerie instantanée, et nos confidences continuaient. Finalement, je pouvais mieux dire ce que je pensais et ce que je voulais via messagerie.

 

A cet époque là, on faisait beaucoup de cybersexe. C'était nouveau pour moi, et c'était aussi une façon de découvrir mes fantasmes, de pouvoir explorer quelque-chose sans forcément avoir le danger. Nous avons parlé de sodomie, et de la découverte de mon fantasme du viol. J'ai confirmée ce que je pensais déjà, que j'étais son objet, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, et que s'il te plait, arrêtes de demander! Fais-le, c'est tout! Il a dit que c'était noté.

 

On a surtout avoué notre amour pendant ce temps. Je n'hésitais pas à dire "Je t'aime" quand je le pouvais, et il me répondait pareil. J'étais donc amoureuse de lui, et j'avais envie d'être son esclave sexuel, et lui était amoureux de moi, et ne voyait aucun problème à me dompter sexuellement.

 

On arrivait à se croiser rapidement; soit quand je rentrais de l'école, ou alors quand je faisais une sortie avec les amies. Règle général, on se voyait 10 minutes par çi par là, mais c'était déjà assez pour s'embrasser, me deshabiller et parfois même une petite fellation rapide, mais jamais jusqu'au bout; plutôt une façon de dire "Je t'aime, tu me manques". On rêvait d'autre chose, mais pour l'instant, ce n'était pas faisable. On ne regardait pas trop de futur, on attendait que ça arrive.

 

Je continuais mon journal intime, mais Alex pouvait le lire librement, et en effet, il le faisait. Du coup ça me donnait envie d'y mettre encore plus de détails, quelques photos de plus, histoire de l'exciter encore plus! Et le lendemain quand il avouait qu'il s'était masturbé en me regardant, j'étais encore plus contente. C'était un espèce de défi pour moi, j'avais envie de plaire et d'exciter, mais tout en restant moi-même.

 

Une chose avait changé. Il a avoué qu'il préférait les chattes rasées, et jusqu'ici, je ne l'était pas. Il l'a donc avoué, mais surtout, il m'a ordonné de me raser. Il avait enfin bien compris ce que j'avais dit; ne demandes plus, fais, ou ordonnes. Je me suis donc soumise à ses ordres, et j'ai essayée de me raser. La première tentative n'était pas vraiment ce que je pensais. J'avais en tête l'image de sublimes filles avec une chatte parfaitement bien rasée, une courbe pelvienne irréprochable, sans un seul poil, mais non, ce ne fut pas le cas. La première fois j'en avais laissée tout plein sans me rendre compte, et pire encore, ça gratte! Mais la masturbation était plus intense après, peut-être le fait que la peau soit moins protégée? Dans tous les cas, j'ai énormément appréciée après, mais ça a été assez long pour m'y habituer! J'allais bientôt comprendre pourquoi il avait demandée ça...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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