Expérience

Mardi 19 mars 2 19 /03 /Mars 17:54

Je suis quelqu'un qui est très à l'aise avec mon corps, et je n'aurais pas trop de mal à poser nue pour des artistes. Alex a un contact qui aimerait beaucoup débuter professionnellement dans le monde de la photographie. Il a déjà été contacté pour deux mariages, plutôt pour épauler, et fait quelques portraits par çi par là. Bien-sûr, il faut s'entrainer un petit peu. Il lui avait demandé si par hasard il connaissait une fille qui voulait bien poser, semi-nue voire nue. Pas de contexte sexe, ni pornographique. Plutôt du déshabillé, et la beauté du corps féminin. En échange, on aurait droit aux photos; pour lui, c'était plutôt un entrainement. On m'a parlée de la lumière, de la distance focale. J'ai hochée la tête pour faire semblant de comprendre. Je me sentais ridicule avec mon petit appareil photo de poche. J'ai acceptée.

Il faisait beau, et j'étais dans l'appartement d'Alex. On avait travaillé le côté "blanc"; des rideaux et voiles blanches. Des draps blancs sur le lit, des coussins blancs. Des couleurs clairs; un bain de soleil. Alex, par contre, n'était pas là. Il a un souci aux yeux, et n'aime pas du tout la lumière intense. J'avais aussi mes consignes; je ne devais pas porter de sous-vêtements, et il a pris soin de préciser que c'était pour mon corps, pas pour le côté sexuel. Porter des sous-vêtements me marquerait la peau. J'allais bien-sûr en porter, mais j'allais peut-être changer en fonction de ce que j'avais. C'est vrai qu'une photo avec une marque d'élastique, c'est moins glamour. J'attendais donc sans sous-vêtements, dans une robe plutôt classique qui ne serrait pas. Jusqu'ici, rien d'extraordinaire; ça m'arrive souvent pour des petits jeux. Mais ça, c'est une autre histoire!

Il est arrivé, à l'heure convenue, avec un sac énorme. Il s'est présenté, très cordial, très distingué. Je ne m'y connais pas en matière de photo (ou au moins, je ne connaissait pas à cet époque). Il a fait une petite présentation du matériel, et j'ai vu quelques photos qu'il avait fait. En effet, je trouvais ses photos très travaillés, et très professionnels. A mon tour de me présenter. On s'est mis d'accord sur ce que j'attendais, et ça convenait aux deux. Le but était de faire plaisir à Alex, qu'il puisse avoir quelques photos glamour. J'avais aussi dit qu'à priori, je n'aurais pas trop de mal à me déshabiller devant la caméra, mais qu'on verrait ça à ce moment là. On ira doucement au début.

Il a mis un objectif énorme, et a pris quelques photos un peu au hasard, pour effectuer les réglages. Et puis j'ai pu voir. Ca fait bizarre de se regarder. J'étais crispée devant l'appareil, je ne savais pas quoi faire, dans quel position me mettre. C'était justement ça qu'il voulait perfectionner.

Il a pris quelques photos de moi dans le salon, et je ne regardais pas l'appareil. Quelques prises pour mettre en valeur mes jambes, mon regard et mes cheveux. J'avais les cheveux rouges à ce moment là, et a priori, ça lui présentait un défi technique. Il m'a demandé de me balader comme si j'attendais Alex. Ca, c'était facile, je pouvais le faire.

Au fur et a mesure, j'étais plus à l'aise. La question est venue; prise en sous-vêtements? D'accord! Qu'est-ce qu'il aime? Il adore un ensemble en particulier; soutien-gorge noire, string noir et des bas noirs. Il a toujours le sourire quand il rentre chez lui et qu'il me voit comme ça. Les retrouvailles ont tendance à durer longtemps. Rien qu'avec son regard, je me sens femme. Et je me sentais femme à mettre l'ensemble à nouveau. J'avoue, j'ai eu quelques petits pics de désir.

Une des photos choisies à la fin, c'était justement dans cette tenue. J'étais sur la pointe des pieds, les jambes allongées, la lumière tombant sur mon corps, pendant que je caressait les rideaux en regardant à l'extérieur. "Elle l'attendait", c'est le titre qu'il avait donné. Et je l'aimais beaucoup.

Etant de plus en plus à l'aise, il a voulu rentrer un peu plus dans mon intimité. J'étais assise sur le lit, une bretelle défaite. Click. Allongée sur le lit, mes cheveux tombant du bord du lit. Click. Sur le dos, les jambes en l'air, en train de les caresser doucement. Click. Les jambes légèrement écartées? Click. Le soutien-gorge qui tombe, exposant un peu de mon sein? Click. Je rentrais dans le jeu, et pire encore, j'adorais qu'on me regarde.

"Si je peux être indiscret, qu'est-ce qu'Alex préfère chez toi? Et quel est... *rougit* votre position préférée?".

Il aime mon visage, mes cheveux, ma taille. Il adore mes seins. Il craque sur mes fesses. Et côté position? Il adore la levrette. Du coup on a essayé de faire quelques photos dans ce sens. Tout était caché par les vêtements, puis uniquement par des sous-vêtements, puis par mes cheveux ou mes mains. Plus ça continuait, et plus le photographe rougissait. Je trouvais ça craquant.

J'étais nue, sur le lit. Allongée sur le ventre, la tête relevée, le bas des jambes aussi, je laissais mes cheveux tomber sur mon dos. Il a fait quelques prises dans cette position, et au fur et a mesure, mes jambes s'écartaient. Je faisais comme si la caméra était Alex. C'est difficile de remplacer son regard pas un objectif, noir et froid, mais j'essayais d'imaginer. Je séduisais l'appareil photo. J'avais un étrange attirance sexuelle pour l'appareil, et je faisais tout pour. J'ai entendu l'inspiration du photographe quand je me suis mise à quatre pattes devant l'appareil, exposant mes fesses et mon sexe. Click. Le dos cambré? Click. A genoux, de dos, les mains sur mes seins, en train de regarder l'appareil derrière moi? Click.

Le photographe ne disait plus rien. Il avait essayé de me guider au début, mais là, il se contentait de prendre ce qu'il voyait. Je me suis mise sur le dos, une main sur les seins, l'autre sur mon sexe, un grand sourire sur mes lèvres, je regard coquin. Click. C'est là que je me suis rendue compte que j'étais vraiment trempée, que cette situation m'excitait bien plus que ce que je pensais. Même aujourd'hui, je ne sais pas trop ce qui m'a pris. J'ai commencée à me caresser. Doucement au début, discrètement, puis de moins en moins discrètement. Je savais comment Alex adorait me voir, et je le faisais, pour la caméra. Le photographe, qui était devenu blanc, continuait à tourner autour de moi à prendre des photos, pendant que je me laissais aller. J'adorais ça! Je me suis mise à quatre pattes pour continuer, oubliant totalement sa présence. Sur le moment, je ne savais même pas si il prenait des photos encore, mais le plaisir était monté, je devais faire quelque-chose.

La jouissance était vraiment intense, et quand je me caresse seule, c'est souvent bien plus intense quand je sais que quelqu'un me regarde.

On a eu quelques photos sublimes; il était là pour apprendre, donc on a eu quelques photos sans imagination, sans mise en scène, mais on a aussi eu quelques perles, qui nous ont beaucoup, beaucoup plu. Hélas, on n'a plus eu de nouvelles de ce photographe, je lui ai peut-être fait peur, ou alors le fait que je me lâche a peut-être donné une mauvaise impression sur moi, et lui a donné l'image de quelqu'un qui, j'espère, je ne suis pas.

 

Il ne s'est rien passé avec le photographe; pas de baiser, pas de sexe, pas de tendresse a part le regard qu'il avait sur moi à travers l'objectif. Je n'ai pas éprouvée d'envie, mais je vais vous avouer que j'étais un peu triste pour lui en voyant qu'il était lui aussi excité, et que je ne pouvais rien faire... Je pense qu'il est parti avec quelques souvenirs, peut-être qu'il a revit ça dans son jardin secret? Moi oui, en tout cas... C'est devenu un fantasme. Dans mon fantasme, ce n'est pas le même photographe, mais la mise en scène est presque identique. Et dans mon fantasme, je ne le laisse pas repartir sans avoir eu de plaisir. Je lui fais plaisir avec les mains, avec ma bouche et ma langue, et avec tout mon corps; le tout sous le regard attentif de l'appareil photo. Il est aussi beaucoup plus entreprenant, et il sait ce qu'il veut, dans quel position je dois me mettre, et comment il veut me voir (et me veut, aussi). Le visuel est très important pour moi. L'appareil photo, et le photographe qui me guide, sont devenus un vrai fantasme!

Par Ana - Publié dans : Expérience
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 14 mars 4 14 /03 /Mars 19:59

Mon texte précédent manquait peut-être de piquant, et ça doit être pour ça que vous venez, non? Alors ce soir, deux articles pour le prix d'un!

 

Il y a une autre chose qui m'a intriguée, la faciale. Naïvement, au début, je ne savais même pas ce que c'était, mais on s'est mis d'accord pour essayer. C'est une pratique qui ne nécessite pas d'achat, pas de préparation, et pas forcément de mise en scène.

Ca se déroulait sous la douche. L'eau est fantasmique pour moi; l'eau chaude qui coule sur mon corps me donne souvent envie, alors quand il y a quelqu'un derrière, n'en parlons même pas. Il était particulièrement en forme ce matin là. Il s'est collé derrière moi, j'ai sentie son sexe durcir sur mes fesses, et je me suis laissée faire. Il a commencé par me savonner le dos (le Palmolive Sensuel tient bien son nom), puis en se collant contre moi, il a savonné mes seins, pendant qu'il me mordait dans le cou. LE truc pour me faire démarrer au quart de tour. Je me suis retournée pour l'embrasser, pour lui caresser le membre doucement pendant que nos langues se retrouvaient. Les préliminaires sous la douche sont très agréables.

Le sexe sous la douche est un métier à risque; c'est glissant, et souvent inconfortable en baignoire, mais sous une vraie douche, c'est faisable. Là, il s'agissait d'une baignoire, alors c'était un peu moins sportive. Dans ces cas là, en général, il me fait jouir en masturbation (ou alors en me caressant les seins pendant que je me masturbe), puis après c'est son tour de prendre du plaisir. L'eau chaude coulait sur mes seins, ses mains pinçaient mes tétons, et sa bouche me mordillait l'oreille. Je me caressait, lentement au début, mais de plus en plus rapidement ensuite. Il me tenait fermement, je pouvais me laisser aller, et c'est ce que je faisait à chaque fois. Je ne risquait pas de m'écrouler, il me tenait. Quand je joui sous la douche, c'est moins intense, mais ça dure plus longtemps. Les vagues de plaisir sont plus lents, et ajouté à ça l'effet de l'eau chaude, la jouissance est un petit nid de douceur. Encore plus agréable, quand je joui, il met sa main sur mon sexe pour prolonger le plaisir. Rien que d'y penser...

Je m'égare. Ma main ne se baladera plus, promis. Enfin, j'attendrai d'avoir fini ce texte avant.

Après, c'était à son tour de prendre du plaisir. Je me suis mise à genoux devant lui, avec l'eau qui coulait sur mon dos. En le regardant dans les yeux, et sans le quitter du regard, j'ai pris son sexe dans une main, et avec l'autre je lui caressait doucement l'entrejambe. Ma langue dessinait des lignes sur le bout de son sexe, avant de la plonger dans ma bouche. J'ai entendu le petit gémissement, et j'adore entendre ça! Je faisais des mouvements de va et vient très doux; je prenais tout ce que je pouvais dans ma bouche avant de m'éloigner doucement, tout en aspirant. Une fois au bout, je la plongeais à nouveau dans ma bouche. Il adore comme ça! Puis j'accélérais le rythme, tout en le masturbant d'une main, et en lui caressant doucement les testicules de l'autre. J'essaie de courber le dos pour qu'il puisse voir mes fesses pendant ce temps là, je sais bien qu'il adore me voir.

Et puis c'est à son tour de se masturber un peu. Je le laisse faire; pendant que sa main fait des mouvements de va et vient, ma langue lèche longuement son sexe, du haut en bas. Je reste un peu en bas; en prenant soin de titiller ses testicules avec ma langue. Quand je vais trop loin, je ralentis. Il adore me sentir (et me voir) le lécher partout, mais sous la douche, on fait un peu plus attention. Puis j'ai envie de faire durer son plaisir! Je reviens en position devant lui, lui offrant ma bouche. Il ne lui faut pas longtemps avant de me laisser le sucer à nouveau. Je suis plus énergique, les mouvements sont plus rapides. J'ai envie de le sentir jouir, j'ai envie de lui faire du bien. Je me caresse les seins; non seulement ça m'excite, mais ça l'excite tout autant. Je sens son regard rivé sur moi, et sur mon corps. Je sens l'excitation monter, je sens qu'il ne va pas trop tarder. Quand il se retire de ma bouche avant la fin, je comprends où il veut en venir. Mes deux mains tiennent son sexe par la base, serrant doucement pour augmenter le plaisir, et je le laisse faire. Il continue à se caresser, mais quand il commence à gémir, et quand son rythme se ralentit, j’attends sagement. La première contraction ne donne pas grande chose, mais la deuxième jette un peu de son désir sur mon visage. Je le sens sur moi, et j'ai un grand sourire. C'est également intime comme situation, j'apprécie. Je penche la tête en arrière, attendant la suite. Et encore une contraction, et encore un peu de son désir sur mon visage. Je le laisse jouir sur moi, avant d'ouvrir les yeux et le regarder à nouveau, tout en plongeant son sexe dans ma bouche. Il en tremble, et je sens toujours quelques toutes petites contractions dans ma bouche. Je le caresse doucement, pas pour exciter, mais pour détendre. Je continue aussi longtemps qu'il le souhaite.

C'était ma première faciale. J'ai trouvée ça assez agréable, mais ce n'est pas ce que je préfère. Sous la douche ça va, mais hors de la douche, ça peut être un petit peu plus... "compliqué". Alex a avoué ne pas trop aimer; il adore jouir sur mes seins, mes fesses, ou alors dans moi, mais le visage, il n'aime pas trop.

Verdict: On fait de temps en temps, mais pas très souvent. Assez agréable, et bien plus intime que ce que je pensais.

Par Ana - Publié dans : Expérience
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 14 mars 4 14 /03 /Mars 18:55

Maintenant, vous connaissez un de mes fantasmes. On en avait déjà parlé avec Alex, il y a longtemps, et peut-être que ça serait excitant? Faudrait voir, un de ces jours.

Je suis rentrée chez moi. C'était l'hiver, il faisait froid, il faisait noir. En rentrant, je me suis rendue compte que la lumière de mon salon ne fonctionnait plus. La pièce était dans le noir, a part une petite lumière venant de la salle de bain, et qui laissait une fine ligne de lumière dans le salon, en passant par la table. Une petite feuille y était posée, et en partant, je n'avais pas laissée mon appartement comme ça. Je me suis approchée de la table pour lire la note; "C'est moi! Alex". Je ne comprenait pas.

D'un mouvement brusque et fort, j'ai été plaquée sur la table. Avant de comprendre ce qui se passait, je sentais déjà une main me passer sous la jupe, et la relever. Je pouvais difficilement me débattre, mon "agresseur" était nettement plus fort que moi. Avec ses pieds, il m'a écarté les jambes avant de s'y installer. Ma jupe était au niveau de ma taille, malgré le fait que je me débattais, et une main plongeait sous mon haut pour venir pincer mon téton, très fort. Je sentais la douleur, je sentais mon coeur qui battait très fort, mais je sentais aussi le parfum d'Alex, et malgré le fait que c'était fort et limite violent, je sentais aussi sa douceur habituelle. Je savais que c'était Alex; il me l'avait dit sur la feuille, il a attendu dans le noir que j'aille le lire, et maintenant, il était en train de faire quelque-chose qu'on s'était mis d'accord. Il s'agissait d'un viol simulé, entre partenaires consentants, ou presque. J'avais quand-même peur, et pour la première fois depuis qu'on se connait, j'ai dit
le mot magique.

"Chocolat!"

En une fraction de seconde, tout était fini. Il a immédiatement lâché mon bras, et je ne sentais plus aucune pression sur le haut de mon corps. Il a pris la couverture de mon lit canapé (qui était juste à côté, chambre d'étudiant oblige), et me l'ai mis autour des épaules. Ma jupe était remontée jusqu'à ma taille, mon slip baissée, et mon haut était tellement à travers qu'un sein était plus que visible, mais tout était immédiatement caché par la couverture. Il m'a fait m’assoir sur le lit, puis il s'est éloigné de l'autre côté de la pièce. C'était fait pas respect; il ne voulait pas être à côté si sa présence me gênait. Je lisais sur son visage son inquiétude; ce jeu est allé beaucoup plus loin que prévu, et il avait vraiment peur de ma réaction. C'est la scène et l'idée qui m'avait choquée, mais pas lui, et j'avais besoin de ses bras. Il s'est installé à côté de moi, et je me suis blottie dans ses bras. A aucun moment il a essayé de me déshabiller, de regarder mon corps ou de continuer un autre jeu. Il a attendu que je sois plus en forme, il s'est retournée quand j'ai enlevée la couverture pour me rhabiller un peu, et il a payé un petit restaurant tout à fait sympathique. Un repas chaud, quelques rires, et pour finir, un verre. Le parfait gentleman. On a passé une superbe soirée, en évitant soigneusement le sujet, presque comme si rien s'est passé, mais ce n'était pas le cas.

Il m'a accompagné jusqu'à mon immeuble, et il a proposé de me laisser, si j'avais besoin d'être seule. Non, je ne voulais pas être seule, j'avais besoin de compagnie. J'en tremblais encore un petit peu. Nous sommes montés chez moi, pour finir avec un petit café. Et une petite conversation.

Oui, j'ai eu peur. Dans mon fantasme, l'équipage entière me viole. Ca, c'est le domaine des fantasmes. Je contrôle tout. Le fantasme du viol est très fréquent chez les femmes, j'ai demandée à une sexologue quelques explications. Par contre, il y a un énorme différence entre les fantasmes et la réalité. Ce petit jeu était très bien coordonné, presque dans les conditions idéales. C'était avec l'homme que j'aimais, et que j'aime toujours. Je savais très bien qu'il n'allait pas me faire mal, et je savais que je pouvais arrêter à tout moment. Et je l'ai fait. Sa réaction était des plus adorables, et plus honorables. Je ferai tout pour Alex, je sais très bien qu'il ferait tout pour moi, mais même avec la personne que j'aime, je ne peux en aucun cas essayer ce fantasme, ce n'est clairement pas pour moi.

Le fantasme reste un fantasme, et certains sont destinés à rester dans le jardin secret de l'imagination.

J'en ai d'autres, et il y en a même qu'on a réalisé ensemble, mais pas de ce genre là.

J'ai une larme aux yeux en écrivant ceci. J'ai eu un message très désagréable en écrivant mon fantasme, je ne citerai pas le nom de la personne, ni le texte. Elle voulait que ça reste anonyme, je respecte son souhait. J'ai une larme aux yeux en imaginant ce que ça doit être de vivre cette situation. J'ai une amie à qui c'est arrivée. Mon texte n'était pas fait pour provoquer, je me livre à vous, j'exprime un fantasme, et dans ce texte, je vous explique pourquoi ça ne sera jamais autre-chose qu'un fantasme.

Alex a avoué qu'il était presque soulagé du résultat; il ne voulait pas le faire, mais puisqu'on s'était mis d'accord pour essayer... Mais plus jamais. Notre sexualité n'en a absolument pas souffert, loin de là. Comment pourrais-je lui en vouloir pour ça? On a essayé, on n'a pas aimé, et on fait autre chose. Je suis aussi rassurée; malgré le fait que je suis soumise, je sais que j'ai le pouvoir. Le pouvoir d'exciter, le pouvoir de le faire jouir, et le pouvoir de tout arrêter avec un simple mot dès que ça dépasse les limites. Rien que pour ça, je l'aime.

On en a discuté pendant le café, et puis nous nous sommes couchés. Il n"a fait aucune approche, aucune tentative de m'exciter, de me toucher, ou autre. Il me laissait le temps pour m'en remettre. C'est donc moi qui est venue sur lui, à l'embrasser longuement avant de venir m'empaler sur son envie. Il me pincait à nouveau les seins, mais tendrement. Il était à nouveau entre mes jambes, mais en douceur. Nous avons fait l'amour, et nous avons joui ensemble.

Le lendemain matin, il a pris les choses en main (façon de parler), et j'étais à nouveau sa soumise. Une levrette du matin, le sourire au visage car j'étais soumise, et car j'étais en confiance. Et amoureuse.

Verdict: Ne JAMAIS refaire.

Par Ana - Publié dans : Expérience
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 7 mars 4 07 /03 /Mars 18:37

dominatriceJe rentrais des cours. Une journée tout à fait ordinaire, comme les autres. Je suis rentrée chez Alex, qui était déjà de retour. On s'est embrassé, on a papoté un peu sur notre journée; rien de bien extraordinaire. Après quelques minutes de conversation et un bon café, il m'a emmené dans la chambre. Là, sur le lit, une tenue m'attendait. Un corset en dentelle noir, porte-jaretelles noir, des talons-aiguilles (tout aussi noir), et un petit martinet en cuir, avec un coeur en cuir au bout.

"Je vous laisse vous préparer". Par réflexe, je me suis retournée, mais il n'y avait personne d'autre. Il m'avait bien vousvoyé. Je me suis déshabillée pour mettre ma tenue. Le corset était un tout petit peu petit, et ma poitrine avait tendance à déborder. Ce n'était pas confortable à porter, mais visuellement, j'adorais l'effet! Ca me serrait bien la taille, ma poitrine sortait, et avec quelques mouvements, quelqu'un pouvait me la retirer assez facilement. Le reste était sublime, mais je n'avais pas l'habitude aux talons de cet hauteur là. Le petit martinet, j'étais fan! Je l'ai testée sur une fesse; le bruit faisait bien un petit "crac", et quelques secondes plus tard, une petite marque rouge en forme de coeur était visible. Je me suis regardée dans la glace, et franchement, j'adorais ce que je voyais! "Chaude"... Allez, c'est parti!

"Bonjour Maitresse, quels sont vos ordres?". Alex s'était déshabillé, en caleçon seulement, et il ne me regardait pas, il regardait par terre. Le caleçon était un espèce de latex étrange; on voyait bien son sexe, mais on voyait qu'il n'était pas (encore) excité.

"Alex"?

"Oui, Maitresse?"

"Qu'est-ce que je fais?"

"Vous me donnez des ordes, Maitresse, je suis là pour obéir". Hmmm... Mon petit Alex, rien qu'à moi! Ca y est! Je peux lui donner des ordres! Il fera tout ce que je veux! Si je voulais, il... il... mais il quoi, justement? De quoi ai-je envie?

"A genoux!"

Il ne s'est pas mis à genoux, il en est presque tombé par terre. Il ne me regardait toujours pas. Je me suis installée sur le canapé. "Viens-là!" Toujours aussi obéissant, il est venu vers moi, à genoux. J'ai écartée les jambes. "Regardes-moi!" Je me suis mise à me caresser le sexe à travers le string. "Tu aimes ce que tu vois?"

"Oui, Maitresse".

Définitivement, j'avais du mal avec le côté "Maitresse". "Viens me lécher la chatte!". Il s'est approché, et sans préliminaires, il s'est mis à me lécher longuement. "Plus fort!". Et il l'a fait. J'adorais sentir sa langue sur moi, me léchant autour de mon sexe et parfois frôlant mes lèvres... Je l'ai tiré par les cheveux vers moi pour qu'il plonge sa langue en moi... C'était trop bon. Je gémissait, je faisais des mouvements de bassin, mais il n'y avait aucune chance que je jouisse comme ça. Quelque-chose manquait. "Arrêtes-toi!". Et tout aussi vite, il s'est arrêté. "Debout! Et baisses son caleçon, je veux voir ta queue!". Chose faite. "Caresses-toi!", "Plus vite!", "Montre-moi!", "Arrêtes". Je touchais son sexe, j'approchais ma bouche. "Tu as envie que je te suce?"

"Oui, Maitresse"

"Et bien je ne le ferai pas! Tu ne le mérites pas". Je mentais. J'avais très, très envie de le sentir en moi, mais je jouais un rôle, et je le jouais très, très mal. "Retournes-toi!" Il s'est retourné, et j'avais ses fesses devant moi. *CRAC*. Et quelques secondes plus tard, un petit coeur rouge était gravé sur ses fesses.

J'ai pris quelques secondes pour réfléchir sur ce que je ressentais. Je n'avais jamais fait quelque-chose que je n'aimais pas (sexuellement parlant). Alex n'avait jamais fait quelque-chose que je n'aimais pas. Mais là, je n'aimais pas. Je n'avais pas ce rôle, et je n'aimais pas décider. Il était soumis, je pouvais lui demander de faire tout, et je sais qu'il l'aurait fait. Par où commencer? En lui disant de me lécher les orteils? En m'apportant un café? Qu'est-ce que je pouvais lui ordonner de faire qui aurait pu m'exciter? Je ne voyais pas; ce n'était pas ça qui m'excitait, le fait d'inverser les roles ne me plaisait pas. J'ai du réfléchir quelques secondes, et il a fini par comprendre ma panique.

Il s'est retourné, puis s'est redressé. Même avec des talons, il est plus grand que moi, et plutôt imposant. En un coup d'oeil j'ai compris qu'il allait reprendre le dessus. Il m'a pris le martinet de ma main, qui ne présentait aucune résistance. D'une main douce, mais ferme, j'ai été poussée sur le canapé, prête pour une levrette. Ses mains se sont glissés sous l'élastique de mon string pour le baisser. J'avais le sourire sur mon visage, je pensais qu'on allait reprendre ce qu'on faisait habituellement. J'avais tort.

*CRAC*

Oh, p.... Mais, AIE, quoi! Ca fait SUPER mal!! Un coeur rouge se dessinait sur mes fesses.

"Là, on est quitte!". D'accord, je l'ai méritée, celle là.

Pendant qu'il me prenait par derrière, une main me tenait fermement par les cheveux, et l'autre caressait doucement le coeur pour apaiser la douleur. Les mouvements étaient forts, et rapides. Nous avons joui ensemble, dans la position que je préfère, celle de la soumise.

On me demande souvent ce qui me motive pour être soumise. Il y a plusieurs raisons, mais en tête de liste, tout simplement car je ne sais pas quoi faire quand je dois donner des ordres. Ce n'est pas dans ma nature. J'adore qu'il me prenne, j'adore être son objet, mais je ne peux pas imaginer le dominer. Ne serais-ce que d'un point de vue taille, poids, corpulence... J'aime ma feminité, ma fragilité, et je me sens bien dans ses bras, pendant qu'il me fait l'amour. J'ai voulue essayer, et bien maintenant, je sais!

Le martinet est toujours dans le placard, mais les coeurs rouges se font rares. Les talons aiguilles sont aussi là, mais je ne les porte que rarement. Les sous-vêtements, par contre, ont été rejoint par une petite armée en dentelle; j'adore ça, et ça tombe bien, lui aussi. La Dominatrice, par contre, n'existe plus, si un jour elle avait réellement existée.

Par Ana - Publié dans : Expérience
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 18:59

Ce n'est pas l'article que je voulais poster au début, mais avec ce qui vient de se passer, c'est peut-être le moment d'en parler.

La ceinture de chasteté. Objet mystérieux. J'ai été curieuse, alors on a essayé, pour voir ce que ça donnait.

C'était un matin, au réveil. Il est venu me réveiller, je sortais à peine de mon sommeil quand il est venu poser ses lèvres sur mon sexe. Mmmmm... De quoi commencer la journée avec le sourire. Le sourire, c'est lui qui l'avait, moi je ne l'avais plus trop après.

J'ai été tirée vers le bord du lit; les jambes dans le vide, le dos sur le matelas, il est venu entre mes jambes pour me lécher. Sa langue me titillait, venant lécher doucement le clitoris avant de plonger dans moi. Ses mains me tenaient les jambes écartées; je n'avais rien à faire apart lui caresser les cheveux pour lui rythmer, et profiter du plaisir intense. J'adore ça, et il le sait! C'est réservé à des occasions spéciales, alors je me demandais bien pourquoi j'avais droit. Je prenais tout le plaisir, il n'en prenait pas. Il allait sûrement ratrapper ça, mais en attendant, je penchais ma tête en arrière, une main caressait mes seins, et l'autre guidait la tête d'Alex. Sa langue est restée sur mon clitoris pendant que je jouissait, et j'ai essayée de ne pas l'étouffer en serrant les jambes. J'étais allongée sur le lit, aux anges, sur mon petit nuage, sentant les vagues de plaisir me parcourir. C'est là où il est venu mettre ma ceinture.

Ce n'est pas tres sexy comme objet, mais en même temps, par définition même... C'est difficile à mettre, mais assez confortable. Je pensais que j'allais pouvoir mettre les doigts, mais même pas. Le tissu est plutôt serré, mais pas de façon inconfortable. Par contre, il faut en faire, des réglages, pour que ça soit comme il faut. Me voici nue devant lui, à l'exception de la ceinture, me couvrant le sexe et les fesses. Pas vraiment la fille la plus sexy, mais j'avoue que quand il a sorti le petit cadenas, j'ai eu une petite pointe d'excitation. Voilà, il contrôlait tout; il pouvait décider quand, et où (ou si) je prenais du plaisir. Il décidait encore de tout, et j'étais son objet... Et il allait me le faire comprendre. J'avais pris du plaisir, mais lui, pas encore... J'ai été utilisée; ma langue au début, puis mes seins, pour ensuite finir dans ma bouche.

La journée a été ordinaire; on n'a pas vraiment fait grande chose. Détail délicat avec ces ceintures, ça devient compliqué pour aller aux toilettes. J'ai du demander la permission, et ça a été remis aussitôt après. Même pas le temps d'une caresse! L'après-midi, on a regardé un film, The Girl Next Door. Assez sympa comme film, mais pas vraiment ce que je regarderai sans qu'on me l'impose. La fille est vraiment belle, et le garçon est plutôt mignon. Par contre, il a choisi le film pour la scène à la fin. En gros, le garçon est un élève exemplaire qui tombe amoureux d'une fille, et il découvre plus tard que c'est une ex star du porno. Il fait une connerie, l'amour prend le dessus, elle réfléchit, et ils sont à nouveau ensemble, blablabla. Par contre, la scène quand ils font l'amour est à tomber. Ce n'est pas graphique, mais c'est très, TRES sensuel, et même si on ne voit rien, hautement érotique. Je tenais plus en place, et il a choisi le film rien que pour ça. Sauf qu'avec une ceinture, on ne peut strictement rien faire. Je ne pouvais pas l'enlever, je ne pouvais pas glisser un doigt pour me caresser, et je pouvais essayer de le séduire tout ce que je voulais, il n'allait pas lâcher prise. Il a eu son plaisir, mais je n'ai pas eu le mien. C'est extrêmement frustrant, et même si on peut se caresser les seins, ça ne fait pas tout. J'étais encore privée de mon plaisir.

Le soir, je ne tenais plus en place. J'étais toujours excitée, mais pour une fois, pas dans le bon sens. Privée de mon plaisir, et sans la possibilité de me libérer, je n'étais pas très en forme. C'est difficile à expliquer, mais je l'ai presque vécue comme une punition. L'objet de désir était là, il faisait partie de mon corps, mais je ne pouvais pas toucher. Le tissu adoucissait toute sensation, pour ainsi dire, on n'y sent plus rien. Ce n'était pas un objet sexuel, et ça n'a jamais vraiment été le cas. Il y a des couples qui aiment jouer au jeu de la privation, mais chez nous, c'était différent. J'étais à genoux sur le lit, le lit que j'adorais tant. Alex est arrivé pour se coucher, et il m'a vu, la tête baissée, les cheveux devant le visage, et une larme sur le visage. Au début il ne comprenait pas, mais il arrive à lire dans mon regard, il a immédiatement compris ce qui n'allait pas.

Si j'étais une "vraie" soumise, je l'appellerai mon Maître. Je suis soumise, mais pas tout à fait comme ça. Ca n'empêche, je ferai tout pour lui, vraiment, tout. Si il voulait que je garde la ceinture pendant une semaine, oui, bien-sûr, je l'aurais fait, sans hésiter un instant. Je fais tout pour lui, car je sais qu'il ne fera jamais quelque-chose qui pourrait me blesser, ou me rendre triste. Et là, ça me rendait triste. Il s'est rendu compte de ça, et il l'a immédiatement enlevé. Inutile de bouger pour l'enlever, ça s'enlève tout seul une fois le cadenas défait. J'étais toujours à genoux sur le lit, quelque-peu traumatisée, et je n'osais rien faire. Il s'est mis à genoux derrière moi, ses mains sous mes seins, et ses lèvres dans mon cou; en train de m'embrasser, en train de me parler, en train de me rassurer. "Vas-y". C'est tout ce qu'il avait besoin de dire. Ma main a glissée entre mes jambes pour venir caresser, très doucement. "Vas-y" voulait dire que mon corps m'appartenait, que mon plaisir aussi, et qu'il n'avait pas voulu que ça aille aussi loin. Je me suis caressée jusqu'au bout, en retrouvant mon plaisir, le sentant collé derrière moi. J'ai jouie avec ses mains sur mon corps, mais avec les miennes sur mon intimité. Je ne lui en voulais pas, c'est moi qui a voulu essayer. Il a juste montré.

J'en étais presque traumatisée de cet expérience. Je me suis endormie sans dire grande chose, juste en restant collée contre son corps. Impossible de le quitter; il se levait, je le suivais. Le pire dans cet histoire? Il n'a pas eu son plaisir à lui ce soir là. Il n'a jamais demandé, il n'a jamais insisté; tout était pour moi, pour que je me sente bien. En un peu plus de 12 heures, j'ai appris que je ne pouvais pas être privée de mon corps. Même si je me serai pas forcément caressée jusqu'au bout, le fait de savoir que je pouvais, me rassurais.

Le lendemain matin, la ceinture trainait toujours par terre. Peu de temps après, elle était portée disparue. Par contre, le lendemain matin, j'ai inversée les rôles. C'est lui qui était sur le dos, les jambes dans le vide, et c'est moi qui était entre ses jambes. J'ai fait durer le plaisir, et il en a profité, comme moi j'ai pu en profiter. Par contre, depuis, on ne s'est jamais privé de plaisir. Enfin, pas de façon volontaire...

Ceinture de chasteté - fait. On ne recommencera pas.

Par Ana - Publié dans : Expérience
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Présentation

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés