Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 18:33

Je suis venue dans cette ville pour une raison, et là voilà! Mon premier jour en école d'ingenieur. Le premier jour était surtout une scéance de bienvenue; on nous a montré le bâtiment, les salles et les endroits intéressants, et puis également l'extérieure, la ville avoisinante. Alex m'avait envoyé un petit texto le matin pour me souhaiter bon courage, le midi pour savoir comment ça se passait, mais je ne lui avait pas répondue, c'est honteux! Tout était nouveau, je rencontrais mes camarades de classe, et comme je m'endoutais, les filles étaient en minorité (mais je n'étais pas seule!). Je m'amusais comme une folle, a découvrir ce qui allait être ma classe pendant quelques années, et les choses se passaient plutôt bien.

C'est au bout de quelques heures que je me suis souvenue que j'avais complètement oubliée Alex, malgré plusieurs messages! A la fin de la journée, je suis allée chez lui (on s'était échangé nos clés d'appartement) mais il n'était pas encore rentré. Je me suis installée sur le canapé pour l'attendre, pour lui faire une petite surprise. Il est rentré un petit peu plus tard. Il paraissait content de me voir; on s'est embrassé, mais un peu froid, malgré un sourire. Je me suis excusée de ne pas lui avoir répondu, mais bon, tu comprends, la journée... Il m'a coupé la parole. "Je n'ai pas eu de réponse". Oui, c'est ce que je t'expliquais, ma journée... "Je n'ai pas eu de réponse. Tu seras punie". Je suis resté bouche-bé quelques secondes, qu'est-ce qu'il voulait dire? Puis j'ai commencée à comprendre. Il m'a pris par la main, et m'a emmené dans la chambre. Il ne me faisait pas mal, mais c'était clair que je n'avais pas de choix, je devais obéir. Avec une ceinture de peignoir, il m'a attaché les mains dans le dos. Il a déboutonné ma chemise pour laisser apparaitre un peu plus ma poitine, puis il a remonté ma jupe et a baissé ma culotte. En soumise, sans possibilité de me rhabiller, et sachant très bien que je ne pouvais pas m'échapper, j'attendais ses ordres, heureuse d'être soumise à nouveau. Il s'est installé sur le lit, et m'a fait signe de venir je rejoindre. "Non, pas comme ça, sur mes genoux". Difficilement, je me suis penchée, ventre sur ses genoux, les mains impuissants dans le dos, les fesses en l'air, prête à recevoir ma punition.

La première claque m'a fait sursauter. Ca n'a pas vraiment fait mal, mais le bruit était bien plus fort que ce que je pensais. Et un deuxième, très bien placé sur mes fesses. Et un troisième, et quatrième... Je sentais ma peau picoter, et à chaque fois que ça commençais à faire mal, il me caressait la peau pour apaiser la douleur, avant de recommencer. Plus ça continuait, plus ses doigts allaient explorer ma chatte ou alors entre mes fesses, chacun son tour. Ensuite, il m'a fait relever, avant de m'emmener dans le salon, et le faire pencher sur une petite table. Encore sans possibilité de me relever toute seule, j'étais à sa merci. Je l'ai entendu se déshabiller derrière moi, avant, à nouveau, de venir me prendre. Sa queue rentrait en moi sans difficulté vu mon excitation, une main me plaquait sur le dos pour pas que je puisse bouger, et l'autre est venue encore une fois entre mes fesses, pour le titiller l'anus. Ca avait un effet sur moi, et il le savait! Il m'a utilisé pendant un certain temps, faisant ce qu'il voulait, a la vitesse qu'il voulait, et me mettant une fessée quand je ne gémissait pas assez. Puis il s'est retiré, avant de venir devant moi, sa queue dressée dans une main, en train de se caresser. Il s'est masturbé devant moi, m'ordonnant de lui lécher le bout, et parfois de prendre le bout dans ma bouche. Quand il m'a dit d'ouvrir grand, j'anticipais ce qui allait m'arriver. J'ai ouvert en grand, le regardant droit dans les yeux pendant qu'il se vidait dans ma bouche, et quand il avait fini, j'ai sucée doucement son membre.

J'étais toujours attachée, et c'était difficile de me lever. Quand il est repassé derrière moi, je pensais que c'était pour me libérer, mais il n'avait pas tout à fait fini. Avec une main fermement sur mon dos, l'autre continuait à nouveau à me caresser les fesses, entre les fesses, puis descendant vers ma chatte. Son doigt a trouvé mon clitoris, et il a commencé à me caresser doucement, allant de plus en plus vite. Juste au moment où je commençais à trembler, signe que je n'allais pas tarder à jouir, il a tout arrêté. "Tu as compris ta punition?" "Ma quoi?". Le bruit était à la hauteur de la douleur. J'ai eu droit a une fessée, une seule claque, très bien placée. J'ai essayée de me débattre un petit peu, plutôt par réflexe. Une deuxième, encore plus fort. Je me suis détendue, poussant mes fesses autant que possible en arrière pour lui plaire, pour être docile, en disant "Oui, Maître, j'ai très bien compris ma punition. Je suis désolée, je ne recommencerai plus!". "Bien!". Son doigt était aussitôt sur mon clitoris, et quelques secondes plus tard, j'ai jouie, hurlant de plaisir, me sentant totalement soumise.

Il détacha mes mains, "Alors! Racontes-moi ta journée". On a parlé pendant une heure de tout ce que j'ai vu.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Vendredi 9 novembre 5 09 /11 /Nov 18:40

Je trouvais qu'il était sage, mais il n'allait pas tarder à reprendre le dessus. Il n'allait pas tarder à me montrer qui commandait (sexuellement). Nous nous sommes réveillés en douceur, avec un petit câlin, mais rien de très érotique. J'étais nue à côté de lui, il était nu aussi, et j'étais surprise qu'il n'en fasse pas plus. On s'est levé pour faire ce qu'on avait à faire, et on a amené le café et la brioche au lit. Juste avant de revenir, il a vu mon jeu de monopoly que j'avais ramenée, et il a décidé d'emmener le carton au lit. Le monopoly, le tue-amour par excellence dans un lit d'amour? Pas forcément...

Il a sorti les deux dés de six, et me les as donné. "Vas-y". Je me demandais bien ce qu'il allait faire, mais j'ai suivie le jeu. J'al lancée les dés. J'ai fait un 7 (merci beaucoup à mon journal intime d'avoir gardé le chiffre!). En me regardant, il m'a dit très calmement, mais très fermement, que je venais de décider le nombre de fois que j'allais jouir aujourd'hui. Ma première réaction? Heureusement que je n'ai pas fait un deux!

Les règles étaient posés. Je devais jouir 7 fois dans la journée, de la façon qui me plaisait, mais il devait être témoin de chaque fois. A chaque fois, je devais lui monter; soit en lui montrant le moment de jouissance, ou alors jouir avec sa queue dans ma bouche, jouir avec sa queue en moi; peu importe la méthode, je ne devais pas faire ça en secret, je devais lui prouver. Et accessoirement, je pouvais commencer dès maintenant, si je voulais! Comment refuser son offre; je suis venue grimper sur lui, les jambes écartées, pour venir m'empaler sur son envie. J'ai repoussée les draps pour qu'il puisse pleinement me voir, en savourant chaque instant. J'adore quand il me regarde comme ça; je me sens femme. Je me caressais les seins pendant que mon bassin faisais des mouvements de va et vient, soulevant doucement avant de revenir sur lui. Son envie se faisait sentir, mais que faire? J'avais mes ordres, je devais commencer! Le petit canard allait m'aider pour la tâche. Je l'ai mis en vibration, et son petit bec est venu à nouveau chercher mon clitoris. Voyant que ça faisait de l'effet à Alex aussi, j'ai préféré utiliser le dos pour avoir la plus de surface possible, ce qui augmentait les vibrations sur ma chatte, et aussi sur sa queue. Je le sentais trembler en moi, les impulsions qui trahissaient son envie de moi. J'ai fermée les yeux, une main sur mes seins, l'autre sur le canard, je suis venue m'empaler sur son membre, de plus en plus vite, sentant l'excitation monter, jusqu'à ce que je jouisse pour la première fois de la journée. Je l'ai regardée avec le sourire; "Et de un!".

Heureusement pour lui, je n'avais pas encore fini! Je me suis levée pour sentir son membre sortir de moi, mais tout en gardant ma main dessus; je n'allais pas la lâcher comme ça! Je me suis retournée pour me mettre en position 69; comme ça je pouvais le sucer, et il pouvait me voir jouir pour une deuxième fois. Je me suis caressée avec mon doigt pendant que je le suçais comme une petite gourmande; ralentissant un tout petit peu quand je sentais qu'il n'était pas très loin. Quand j'ai senti une deuxième vague de plaisir me reprendre, j'ai accelerée pour qu'on jouisse en même temps. Il a vu mon vagin se reserrer avec chaque vague de plaisir, et j'ai senti chaque vague de sa queue pendait qu'il se vidait en moi. Et de deux!

La troisième fois était sous la douche, une heure plus tard. J'étais seule, mais quand je l'ai appellée, il a rapidement compris pourquoi; j'ai jouie pendant qu'il me regardait, sans aucune intimité.

La quatrième fois était juste avant une petite sièste en début d'après-midi, toujours sous son oeil attentif.

La cinquième fois était plus compliquée. On était au restaurant, quand je l'ai quittée pour aller aux toilettes. Il était a priori très surpris de voir un appel vidéo de ma part, et quand j'ai vu qu'il avait acceptée, j'ai continuée ce que j'avais commencée quelques minutes plus tôt; sur son téléphone il a pu voir ma chatte se contracter de plaisir; encore, et encore. Je venais de jouir en caméra pour lui. En retournant à ma place avec le sourire, je l'ai vu rouge, mais avec le même sourire. J'ai réussi à le surprendre! Je venais de jouir pour la cinquième fois, mais il devait encore attendre un petit peu!

La sixième fois était au cinéma après notre repas. On a fait exprès de choisir un vieux film où on savait qu'il n'y aurait pas trop de monde, et on était au fond. On était suffisament bien caché pour que je puisse soulever ma jupe et me caresser, mais hélas, on ne pouvait pas faire grande chose pour lui! Je sentais son érection, et j'avais vraiment envie de lui faire plaisir et de le sentir jouir, mais ce n'était pas possible. J'ai quand-même joui dans ses bras, me mordant les lèvres pour ne pas faire de bruit, et le fait de le faire avec plein de monde autour était encore plus excitant! Celui-là était intense, je m'en souviens encore.

En rentrant à la maison, il a ratrappé son retard. A peine rentrée, il m'a poussé sur la table de mon salon, et a relevé ma jupe pour me prendre. Je n'offrais aucune résistance; j'étais à lui, et je savais à quel point il avait envie. Il n'y avait pas de tendresse proprement dit, juste du désir, du désir pour mon corps, ma sexualité et tout le retard qu'il a eu pendant la restaurant et le cinéma. J'étais sur la table, j'étais contre le mur; il m'a poussée sur le canapé, pour finir par terre. Il m'a pris par derrière, je suis venue sur lui. Il m'a obligée à le sucer, puis il est revenu me prendre par derrière. Je lui donnais tout, tout était pour lui, qu'il me prenne comme il a envie! Il a fini par jouir sur mes seins, et j'ai fini par lui lécher les dernières gouttes sur sa queue. Une petite douche plus tard, et me voici de retour dans le salon pour se coucher. La septième fois est venue pendant que je me caressais dans ses bras, pendant qu'il m'embrassait.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Jeudi 8 novembre 4 08 /11 /Nov 23:44

Le repas s'était très bien passé, et on a passé des heures à parler de tout et de rien. C'était enfin l'heure de dormir (ou presque), mais je n'avais pas envie de le laisser partir. C'était ma première nuit "chez moi", et j'avoue que je n'étais pas à l'aise à l'idée d'être seule. Oui, il vivait a peine 10 minutes de chez moi, mais ce n'était pas pareil. Puis c'était enfin "mon" lit, pas le lit de chez mes parents, le mien que je m'étais payée, et j'avais envie de le partager. Il n'avait pas vraiment l'air pressé de rentrer non plus.

Quand il s'est levé, pendant une petite seconde j'étais très déçue; je pensais qu'il allait partir. Du tout, il est parti chercher mon dernier cadeau, et il est revenu sur le canapé avec moi, en me le tendant. "Tiens, c'est l'heure pour ton cadeau!". Une petite boite, bien emballée. Délicatement, j'ai défait le papier pour enfin trouver mon cadeau, un petit canard en plastique. Naïve jusqu'au bout, je pensais qu'il s'agissait d'une décoration de salle de bain. En mieux regardant l'emballade, je me suis rendue compte que, non, ce n'était pas vraiment le but ultime. Puis les canards de bain n'ont pas d'écharpe rose autour du cou. Non non, il avait un but tout autre.

Il m'a fallu un peu de temps pour le comprendre, mais j'avais entre mes mains mon premier sex toy. En appuyant là où il fallait, il s'est mis à vibrer. Il ne m'a pas fallu très longtemps pour ensuite comprendre comment l'utiliser. Il avait un regard coquin, celui que j'adorais tant, et j'étais toujours en état d'excitation. Il m'a poussé dans le canapé, en écartant mes jambes et en relevant mon tablier. Le petit canard vibrant à fait un tour sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses. Puis ça approchait de ma chatte, plus j'en demandais. Quand enfin il a frôlé mes lèvres, j'ai sursautée de plaisir. Après un court instant pour que je reprenne mes sens, il l'a collé contre ma chatte, son petit bec cherchant, et trouvant, mon clitoris. Mes mains agrippaient tout ce qui passait; sa chemise, la housse du canapé, les coussins, tout. Mes jambes tremblaient. C'était la première fois que j'ai eu quelque-chose de vibrant sur mon clitoris, et le plaisir était très, très intense. Je ne sais pas combien de temps j'ai mis à jouir, peut-être même moins d'une minute. Je me souviens que c'était intense, que c'était long, et que j'ai hurlée de plaisir! Je me suis effondrée dans ses bras, tremblant, sentant toujours des pulsations venant entre mes jambes, et je n'étais pas la seule à prendre du plaisir, lui aussi il prenait du plaisir à me voir comme ça!

C'était ma première expérience avec les sex-toys, mais je ne savais pas que ça n'allait pas être ma dernière. Mon petit canard est toujours avec moi, et on s'amuse toujours autant ensemble. De tous les cadeaux que j'ai eu ce jour là, je pense que c'est celui-là que j'ai préferée.

Une fois que les tremblents ont fini, c'était en effet l'heure de se mettre au lit. On s'est relevé, j'ai dépliée le canapé pour le mettre en lit (avec les draps déjà dessus, j'avais prévue le coup!). J'ai enlevée mon tablier, et je me suis mise à quatre pattes sur le lit, mes fesses et ma chatte offertes. En le regardant avec ce même sourire coquin, je l'ai invitée à venir partager mon lit, puis j'ai détournée mon regard pour mieux poser ma tête. J'étais toujours trempée, et bien que j'ai eu le droit de jouir, il manquait encore quelque-chose. Mes seins pointaient, ma chatte en demandait plus. Je ne pouvais plus le voir, je ne pouvais qu'écouter. Je l'ai entendu; il est allé étendre le plafonnier, puis il s'est déshabillé juste derrière moi. Je l'ai sentie se mettre à genoux derrière moi, j'ai sentie ses mains me prendre par la taille, sa queue a nouveau dressée qui cherchait mon ouverture, et qui l'a trouvée. Il a poussé en moi, s'insérant en entier, et avec ce movement de va et vient que j'adorais tant, il m'a pris. Il me dominait, il m'utilisait, et je ne demandais que ça. A nouveau ensemble, et libre de tout, il s'est laissé aller au plaisir. Sa queue s'enfonçait en moi, sa main me tenait fermement, et son doigt glissait entre mes fesses pour me faire découvrir d'autres sensations. Il prenait son temps, il prenait son plaisir. Quand le mouvement a acceleré, je savais qu'il n'était pas loin. J'ai poussée mes fesses en arrière le plus possible le permettant de rentrer au plus profond en moi, et il a explosé en moi. Criant de plaisir, il me tenait par la taille, me gardant là, se vidant en moi, avant de s'éffondrer à côté de moi. On s'est embrassé, et on s'est endormi ensemble comme ça.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 20:37

Mon déménagement s'est bien passé, rien à dire. Avec mes parents, nous avons ramené mes affaire dans mon nouvel appart, on est allé acheter mes premiers meubles et mon père a su monder ça comme un chef. Vers midi on a mangé ensemble en famille, et vers 15h, tout était fait! On s'est balladé un peu en ville, on a fait quelques courses pour remplir un peu mes placards, le temps de rassurer mes parents pendant 30 minutes que, oui, tout ira bien, ne vous en faites pas! Et me voici seule chez moi. Chez moi! Mon premier appart! J'étais heureuse comme tout, mais seule, et ça faisait bizarre. Ceci étant dit, je savais que je ne le resterai pas longtemps. J'ai envoyée mon petit texto.

Je suis allée dans la salle de bain pour me préparer; prendre une douche, me couvrir de gel douche pour me reposer, me recoiffer... Et rester nue. J'avais prétextée dire que c'était mignon, mais depuis longtemps, je savais que mon petit tablier allait servir à autre chose, alors je l'ai mise. Ca couvrait juste mes seins, tout en laissant un joli décolleté (tout reste relatif avec un tablier), et bien sûr, mes fesses étaient entièrement exposés. Et je me suis attaquée à la cuisine...

Je vous préviens tout de suite, la cuisine, ce n'est pas mon point fort. J'ai préparée des pates à la sauce bolognaise; les pâtes c'était rapide, et la bolognaise était déjà en boite, il fallait juste tout faire rechauffer. Ce n'est pas grave, c'était mes casseroles, sur ma table, avec ma nappe, mes verres, et ma bougie. Chez moi!

10 minutes plus tard, Alex a sonné à la porte. Toute contente de moi, je suis allé lui ouvrir, toujours habillée de la même façon. Il m'a vu, il m'a regardé avec ce même sourire qui m'a tant manqué, et on s'est embrassé. Je lui ai fait rentrer, et il a posé son sac sur la table, pendant que je suis retournée à la "cuisine", l'espace juste à côté de la table (studio oblige!). Je sentais déjà son regard sur mes fesses, et l'excitant est venue d'un coup. J'avais envie de ses mains, mais il est resté très gallant (ce qui m'excitait encore plus!). Il m'a offert une bouteille de vin, et quelques cadeaux. Me tendant un cadeau, j'ai acceptée avec un énorme sourire avant de le déballer. Une peluche pour mon lit (il sait que j'en suis fan, je suis une grande enfant!). Deux bons d'achat pour des magasins de déco et d'ameublement. Et un troisième, mais ça sera pour après le repas. Je l'ai embrassé longuement, avant de retourner à la cuisine. Gallant ou pas, il ne lui a pas fallu longtemps avant de se mettre derrière moi, me caresser les fesses et me demander si il pouvait m'aider. "Continues ce que tu fais, c'est très bien!". Sa main caressait, son doigt descendait vers mon intimité, trouvant la chaleur que je ne pouvais pas cacher, que je ne voulais pas cacher. De mon côté, j'essayais de me concentrer sur ce petit repas en amoureux, et de ne pas faire tout tomber dans l'évier et de le supplier de me prendre là, tout de suite. J'ai su résister, et on a mangé ensemble; lui en pantalon de ville et chemise, et moi avec mon tablier. Nous avons parlé, nous avons rigolé, et nous l'avons fait en couple. A la fin du plat, je me suis levée pour ramasser son assiete et servir le dessert. Tarte aux fraises, son préféré! Un seul part, juste pour lui. Un peu surpris, il m'a demandé pourquoi je n'en prenais pas. Avec le sourire, je lui ai dit que j'allais prendre mon dessert à moi, avant de venir m'installer sur ses genoux et l'embrasser. Je trouvais qu'il avait bien résisté jusqu'à là, mais il ne pouvait plus tenir, je sentais son érection essayer de s'échapper de son pantalon, alors je lui ai donné un petit coup de main. On s'est embrassé, avant que je ne descende à genoux sous la table. Sans aide de sa part, j'ai défait son pantalon, libérant son envie qui s'est dressé devant moi. Je l'ai prise dans ma bouche pour le sucer longuement, comme une gourmande. Il avait son dessert, et quelques minutes plus tard, j'ai eu le mien!

On s'est installé sur le canapé pour parler, et on avait du temps à ratrapper. Tellement de choses se sont produites, mais j'étais aux anges d'être dans la même ville que lui, et ça lui faisait plaisir aussi. J'avais peur que cela nous éloigne de trop, mais non, même après quelques mois de MSN et de webcam, tout est redevenu exactement comme avant. J'étais heureuse et amoureuse, et ravie de cette situation. Je savais qu'on allait pouvoir se voir bien plus souvent, que je n'allais pas être obligée de me cacher. On allait pouvoir se voir tous les jours si on le voulait, et toutes les nuits aussi, pourquoi pas! Ce n'était que le début...

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 20:03

Avant de commencer une année scolaire, il fallait bien que je trouve un appartement. J'avais discutée longuement avec Alex sur le sujet (et bizarrement, mon libido était de retour, presque plus fort que jamais). J'avais une carte de la ville, et j'avais bien ciblée où était mon école, et les quartiers autour. Il m'avait conseillé deux quartiers, donc à moi de voir, de visiter, et d'explorer. J'avais une préférence pour un quartier en particulier, puisque ça faisait en sorte que j'étais proche de mon école, mais aussi proche d'Alex. J'avais déjà prévu de le voir... souvent.

Au début des vacances scolaires, le BAC en poche, mes parents avaient bien tenu leur promesse. J'avais la journée pour aller visiter la ville, et de voir ce que je pensais. J'avais quelques visites d'appartement, surtout tôt le matin et après le repas du midi, laissant un trou vers 11h et vers 16h. J'avais déjà une idée en tête.

Je suis arrivée dans la ville, émerveillée par ce que je voyais. La ville était immense, surtout pour quelqu'un qui n'avait connu que la campagne jusqu'ici. Des lignes de bus partout, des lignes de tram... Que demander de plus? je pouvais aller partout. J'ai commencée mes visites, j'ai du voir trois ou quatre appartements le matin, donc un ou deux de très sympas. Des accès faciles, disposé comme je voulais.

Les visites se sont terminées pour 11h, comme convenu. Comme convenu, je devais retrouver Alex chez lui. Il s'était proposé de se donner rendez-vous à la sortie de ma visite, mais j'ai refusée. Je voulais le voir chez lui. Ca faisait des semaines que je ne l'avais pas vue, et je comptais ratrapper le temps perdu. Je suis arrivé devant une résidence plutôt sympa, j'ai sonnée à sa porte, et il m'a ouvert. Il n'a pas eu le temps de me demander de rentrer; je suis rentrée presque de force, j'ai refermée la porte derrière moi, et je l'ai embrassé longuement, sensuellement, et de façon plutôt érotique. Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas senti contre moi, je voulais en profiter. Pendant que ma langue caressait la sienne, je me suis déshabillée. J'ai enlevée la chemise, ma jupe et les chaussures sans strip-tease, sans tendresse. Je n'avais qu'une seule chose en tête, et le reste était du temps perdu. Il s'est retourné, en me plaquant contre le mur. La tête était contre le mur, les bras écartés, les jambes
écartées. D'une main experte, il a dégraffé mon soutien gorge et a commencé à me caresser les seins sous le tissu. Il y allait fort, il pincait les tétons, il me faisait un peu mal, il m'excitait. Puis il a plongé sa main dans ma culotte, qui était trempée depuis déjà assez longtemps. D'une main experte, elle était baissée au niveau de mes cuisses. Je m'étais rasée exprès, sachant très bien qu'il aimait ça. Je le sentais bien; il s'est collé contre moi, et je sentais son érection contre mes fesses, à travers son pantalon. J'ai poussée mes fesses en arrière, écartant encore plus les jambes, m'offrant à lui.

Je l'ai entendu se déshabiller. J'ai entendu chaque bouton de sa chemise, le bruit de la ceinture, la fermeture éclair. J'ai entendu les vêtements tomber par terre. J'ai aussi entendu le petit bruit de plastique et de latex, que j'attendais avec impatience. "Non, pas la peine, je prends la pillule, depuis plus d'un mois". La tête plaquée contre le mur, j'avais le sourire jusqu'aux oreilles. Je ne pensais pas que j'allais réussir, mais j'ai réussi à lui cacher ça. Il pouvait me prendre librement, sans se soucier de protection, chose qu'il n'a pas tardé à faire. J'ai senti ses mains me serrer, non, me prendre par la taille. J'ai senti son sexe contre le mien, mais il n'avait pas envie d'attendre; il n'a pas fallu longtemps avant qu'il pousse fort en moi, glissant doucement au plus profond de moi. Ca faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas sentie en moi que j'ai failli jouir rien qu'avec ça! Mais ce n'était pas la fin, loin de là. Le movement de va et vient a commencé fort avant de ralentir un peu; je sentais bien qu'il voulait en profiter un peu, mais l'excitation l'a gagné; peu de temps après il a recommencé ses mouvements de va et vient, de plus en plus fort, de plus en plus loin. J'assistais, impuissante, plaquée contre le mur, le laissant faire ce qu'il voulait de moi. J'avais déjà jouie, c'était à son tour. Sa main est venue me prendre par les cheveux, l'autre main très fermement sur ma taille; et je l'ai sentie! J'ai sentie sa queue se vider en moi; chaque impulsion, chaque mouvement. C'était la première fois, et j'ai adorée ça! Trempée de sueur, tremblante des après effets de ma jouissance, et le sourire au visage, je me suis redressée pour l'embrasser. C'était l'heure de manger! Aussitôt après, c'était l'heure de continuer les visites. J'ai quittée son appart, mais en laissant un petit souvenir trempé par terre. J'ai eu son texto, je savais bien qu'il allait le faire, et je l'ai rassurée pour dire que je revenais la chercher après mes visites.

Se ballader en ville, sans culotte, c'est une expérience à faire. On se sent nue; on a l'impression que tout le monde est au courant qu'on n'a rien en dessous, et j'aurais pu jurer rougir tout le temps.

Quelques visites plus tard, j'avais déjà décidée, c'était l'heure de récupérer mon bien. Je suis retournée à son appartement, pour demander très gentillement de me la rendre. Il m'a fait rentrer chez lui, mais j'ai inversée les roles. C'était lui contre le mur, avant que je m'agenouille par terre devant lui pour le sucer longuement. Sans préliminaires, sachant très bien que ça lui avait manqué, j'ai pris sa queue dans ma main pour la plonger dans ma bouche. Je voulais lui faire plaisir, et j'ai voulu me faire plaisir aussi. Tout à l'heure il a joui en moi, mais je n'ai pas pu le goûter, et j'avais envie de le sentir jouir plus fort que la dernière fois. Il ne lui a pas fallu très longtemps avant de se vider en moi, prenant ma tête entre ses mains pour me guider. J'ai ralenti, je l'ai laissé reprendre son souffle avant de lui faire un bisou, de mettre ma culotte dans ses mains, et de chuchoter "gardes-là, penses à moi, et je reviens la récupérer très bientôt!". Et puis je suis rentrée chez mes parents.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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