Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 23:03

"J'ai besoin de prendre une douche".

Avec le sourire aux lèvres, j'ai dit qu'il y avait une douche à l'étage.

"Non non, j'ai besoin de me laver chez moi, je vais devoir changer de vêtements" dit-il en remettant sa chemise par dessus son sperme qui lui coulait sur le torse. Je commencais à comprendre pourquoi. "Tu veux venir chez moi?" J'ai du sourire comme une petite folle; bien-sûr que je voulais bien le suivre! J'ai pris mes vêtements dans les mains pour m'habiller vite-fait, et c'est là qu'il a dit "Oublies les sous-vêtements, tu aurais bien besoin de prendre une douche aussi". Timidement, j'ai laissée tomber mes sous-vetements, et j'ai enfilée rapidement ma chemise, et ajustée ma jupe. Le temps qu'il s'habille, j'ai préparée la maison, et mis mes chaussures. Il m'attendais à la porte avec ce petit sourire; "Prête?". J'ai hoché la tête, et on est sorti de la maison.

Il faisait encore jour, mais le soleil se couchait. Il faisait chaud, et je sentais la sueur sur moi. J'ai refermée la porte derrière moi, et je m'apprêtais à le suivre. C'est là où je me suis sentie nue. Ca m'arrivait de temps en temps de sortir sans mon soutien-gorge, mais jamais sans culotte. J'avais l'impression d'être nue, que n'importe qui qui passait par la rue pouvait me voir, et savoir que je n'avais rien en dessous. On habitais à la campagne, dans une rue très calme. Je rigolais souvent avec les amies qu'on avait plus de tracteurs que de voitures, mais là, je me méfiais. On a longé la route sans croiser qui que ce soit, et j'avoue avoir été soulagée quand on est arrivé chez Alex. Il ouvrit la porte et m'a fait entrer.

J'étais à nouveau timide. Avant, j'étais chez moi, mais maintenant j'étais chez lui. Je n'avais pas mes repères. Je me suis collée contre un mur, les mains dans le dos, à attendre sagement, et docilement. Il a fermé la porte et m'a embrassé à nouveau. Il a enlevé sa chemise et est parti vers la salle de bains. "Je vais prendre une douche vite fait, je reviens!". Je me suis senti seule, et j'étais encore un petit peu bredouille, alors je l'ai suivi. Il m'a regardé avec ce même sourire, "Mais que fais-tu?". J'ai répondu que j'avais besoin de prendre une douche aussi, et je suis venu me blottir dans ses bras. C'est après que je me suis souvenue pourquoi il avait besoin de prendre une douche; du coup sa sémence était sur mes vêtements aussi. Petit moment de panique, que vais-je faire? Je peux pas rentrer comme ça! "Ne t'inquiètes pas, je vais faire une lessive vite fait, tu pourras remettre tes vêtements dans un une heure et demi. Tu n'as qu'à les enlever..." commenca-t-il. Il n'avait pas besoin de dire plus. Sans le quitter du regard, j'ai déboutonnée ma chemise, et j'ai enlevée ma jupe, tout laissant tomber par terre. Je ne l'ai pas quitté du regard; ni quand il a souri, ni quand il s'est baissé pour les prendre, ni même quand il s'est relevé en faisant un bisou sur mon ventre. Il est parti mettre les vêtements à la machine, et je l'ai attendue, nue, dans son couloir. Cinq minutes plus tard il est réapparu, mais il avait toujours ses vêtements.

Il m'a pris par la main et m'a emmené dans la salle de bains. Il a fait couler l'eau de la douche, a cherché des serviettes et me les as tendu. Il allait me laisser prendre ma douche tranquillement, mais je n'étais toujours pas prête à me sentir seule. "S'il te plait, restes...".

"D'accord".

A son tour, il s'est déshabillé, il est parti sous la douche, et m'a tendu la main. Je l'ai suivi, me glissant doucement sous l'eau chaude, et en me blottant dans ses bras. J'étais bien. J'étais nue, vulnerable, mais j'étais tellement bien. C'était ma première fois. Je lui ai posé quelques bisous sur son torse.

"Il faut vraiment qu'on parle..."

Je savais ce qu'il allait dire. Si il ne l'avait pas dit, je l'aurais dit moi-même. Mes parents ne doivent jamais savoir. On doit rester discret. On peut pas se montrer en public comme ça. 15 ans de différence, c'est pas si grave, mais pas quand on a 16 ans. Je l'ai écoutée, et j'étais d'accord avec ce qu'il disait. C'était le prix à payer, mais on était tous les deux d'accord, ça n'allait pas s'arrêter comme ça!

Tel un vrai pot de colle, je ne l'ai pas quitté d'une fraction de seconde. On a douché ensemble, on s'est savonné mutuellement, on s'est rincé, on s'est embrassé. j'étais bien. J'étais heureuse.

On est sorti de la douche, on s'est essuyé, j'ai mis une serviette autour de moi en attendant que mes vêtements soient sèches, lui s'est habillé en caleçon et t-shirt, et nous sommes allé dans le salon. Sur le canapé, on a encore discuté un peu, mais pas du même sujet.

C'était ma première fois, et il voulait être sûr que aça allait bien. Il était tellement attentionné avec moi qui j'étais émue. Tu es sûre que tout va bien? Je n'ai pas été trop rapide? Ca ne t'a pas choquée? Rien a ajouter? Si... Je l'avoue, il y a un sujet sur lequel je ne suis pas très à l'aise. Je voulais que ma première fois soit géniale, mais je suis restée un peu bredouille. Je voulais que ça finisse en explosion, mais je m'en voulais. On n'avait pas fait l'amour, et il a du se caresser tout seul; je n'ai pas pu, je n'ai pas su l'aider. Lui m'a fait jouir rien qu'avec ses doigts, mais moi je n'ai pas pu. Il m'a juste souri pour dire que ce n'était pas grave, qu'au début c'était normal. Il m'a confié sa première fois, bafouille sur bafouille, mais il avait quand-même fait l'amour, et pas moi.

"Donc techniquement, ce n'était pas ta première fois, ce n'était qu'un échauffement! La prochaine fois, ça sera la bonne!"

"La prochaine fois?" J'étais intriguée par ce que j'avais entendu, mais oui, techniquement on s'était masturbé, on n'avait pas fait l'amour proprement dit. "Tu me feras l'amour?" J'étais timide.

Il s'est levé, et c'est à ce moment là que j'ai remarquée son érection. Il avait encore envie! Il m'a pris par la main et m'a dit de venir. Ce n'était pas une suggestion, c'était un ordre, et il aurait presque pu me trainer derrière lui, mais je n'offrait aucune résistance.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 20:13

J'étais sur le dos, seins nus, ma jupe remontée au niveau de la taille, et ma petite culotte trempée avec l'excitation et la jouissance. Il m'avait fait jouir, et c'était ma première fois qu'on me faisait jouir. J'avais parfois pensée à quoi ressemblerait ma première fois, et j'avoue que je n'avais pas pensée à ça, mais c'était encore mieux que ce que j'imaginais. Maintenant, j'avais envie d'autre chose. J'avais envie qu'il jouisse à son tour.

"Ton tour". Encore essouflée, c'est tout ce que j'ai pu dire. Il m'a regardé avec des yeux remplis de désir, pendant que main lui caressait la queue à travers son pantalon. "Enlèves ta culotte". Ah, des ordres encore! Sans le lacher du regard, mes mains ont plongé sous ma jupe pour enlever ma culotte. Elle était trempée... J'ai ensuite voulue enlever ma jupe, mais il a mis sa main sur la mienne; "Non, pas ça, j'aime beaucoup, ça m'excite". Je venais peut-être juste de joiur, j'aurais presque pu jouir une deuxième fois rien qu'avec cette phrase.

Il s'est mis à genoux, alors que j'étais encore allongée par terre. Il a enlevé sa chemise, puis a déboutonné son pantalon. Je me suis mis à quatre pattes pour être prête à tout voir. Je mourrais d'impatience! Il a baissé son pantalon, et j'ai réussi a voir quelque-chose qui essayait à tout prix de sortir de son caleçon. Il y avait quelques zones humides, donc un autre détail, je ne savais pas que les hommes pouvaient mouiller aussi. Par contre, je le battais, haut la main! Il a commencé à baisser ton caleçon, et en tirant bien sur le tissu, il a enfin libéré sa queue. J'avais le souffle coupé! C'était la première fois que j'en voyais en vrai... J'étais fasciné. C'était long, plus épais que ce que je pensais en voyant des vidéos sur Netmeeting, et le bout était humide, avec une goutte de liquide transparent. Je ne savais pas si je devais être excitée, ou a nouveau devenir scientifique et étudier. J'ai tendu la main, et timidement, j'ai commencée à toucher. La peau était bien plus douce que ce que j'avais imaginée. En même temps, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre. Je ne savais pas quoi faire, mais Alex a rapidement pris les choses "en main". Il le faisait d'une autre façon; là où des gens prenaient leur queue en pleine main, il le prenait à bout de doigts. Il faisait les mêmes mouvements de va et vient, mais plus doucement.

"C'est ta première fois?". Je l'ai regardée dans les yeux, timide, et j'avais peur qu'il arrête tout, mais je ne pouvais pas mentir. J'ai repondu que oui, la première fois. Il m'a souri, et a répondu "Ne t'inquiètes pas. Pas de tabous, pas d'interdictions". Il s'est allongé sur le dos à nouveau, a enlevé le pantalon et caleçon qui étaient restés au nievaux des genoux, et a commencé à se caresser doucement. Je me suis mise à côté de lui, ne savant pas très bien quoi faire j'ai essayée de prendre sa queue dans ma main pour le caresser comme il faisait, et il m'a laissé faire. "Vas-y, comme ça... Un petit peu plus vite". J'ai obéi. Je le regardais, les yeux a moitié fermés, en train de se mordre la lèvre. C'est moi qui lui faisait ça! Directement! Il était excité comme c'est pas possible, il prenait du plaisir, et c'est moi qui lui faisait ça! J'adorais cette sensation (et je l'adore toujours!).

Il a repris les choses en main, et l'autre main est allée entre mes jambes pour me caresser la chatte. Son doigt a trouvé l'ouverture, toujours humide, et toujours prête à accueillir quelques doigts. J'ai gémi de plaisir, et il m'a dit "Vas-y, continues, j'adore t'entendre!". Je n'avais jamais vraiment fait de buit quand je me masturbais, mais j'avais bien vu comment elles faisaient dans les films pornos. J'ai continuée à gémir, ça venait naturellement. Je sentais son doigt en moi, mais je sentais aussi qu'il se caressait de plus en plus vite. Il m'utilisait pour son plaisir, et j'adorais ça! Et je prenais beaucoup de plaisir avec ses doigts. Je regardais son visage, et quand je pouvais, je regardais sa queue. J'aurais pu jurer qu'elle grossissait à vu d'oeil. J'avais envie de faire tellement de choses... Mais qu'est-ce que je pouvais faire? J'aurais pu la prendre en pleine main... La plonger dans ma bouche... Me mettre sur lui et m'empaler dessus... Mais je manquais d'expérience, et j'étais perdue.

"Viens entre mes jambes, je veux me caresser entre tes seins". J'ai falli bondir quand il a donné l'ordre; je n'ai même pas réfléchi, je me suis juste mis entre ses jambes, et j'ai ajustée ma hauteur pour que sa queue soit entre mes seins. Il a continué à se caresser, je sentais ses mouvements de va et vient venir heurter mes seins, et j'adorais ça. Ses yeux étaient rivés sur mes seins. D'une main il se caressait, et de l'autre il me pinçait le téton. J'ai continuée à gémir, en gardant les yeux sur sa queue. Son rythme changeait, et je savais qu'il allait pas tarder à jouir. J'étais figée, tremblant d'anticipation. Je ne savais pas où me mettre, je ne savais pas exactement quoi faire. Il a commencé à gémir à son tour, puis son va et vient s'est arrêté; j'ai vu sa queue bouger toute seule, et le moment tant attendu; il a joui!

Ce n'était pas comme dans les films; ça n'a pas volé de partout, mais suffisament pour venir attérir sur son ventre en petite flaques. A chaque mouvement, un nouvelle flaque de sperme. Je regardais, captivée, émerveillée, et aussi pas peu fière de moi. Mais j'étais aussi déçue. J'aurais tellement aimé faire plus encore, mais je n'ai pas pu. Si il avait un préservatif, peut-être que ça se serait passé autrement. Si j'avais plus d'expérience, ou si j'avais osée, peut-être que j'aurais pu le faire jouir moi-même? Et si j'avais osée le sucer? En tout cas, il a joui entre mes seins, mais a fait bien attention à ne pas me brusquer, et de ne pas en mettre sur moi. Je restais là, à lui caresser le ventre, et caresser sa queue qui, tout doucement, rétrecissait. Sa respiration était lourde, et il jouait encore avec mes cheveux.

"J'ai besoin d'une douche..."

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 17:38

Je continuais toujours mes expériences sur Internet, et je pense même que je commençais à être assez connue dans le chat. Quand j'avais envie de tester, je trouvais toujours quelqu'un pour servir de cobaye. En parallèle, je voyais toujours Alex, mais je m'étais un petit peu calmée sur l'excitation. Je demandais toujours un coup de main, mais ça devenait de vrais coups de main. Parfois le décolleté était un peu plus ouvert, façon de le motiver et de le remercier, mais c'est tout. Ca n'empêche pas que quand je fermais les yeux, je pensais à lui. Ce qui m'inquiétais, c'est que je pensais à lui nu, mais pas que. Je commençais à avoir de vrais sentiments pour lui. Une petite gamine qui tombe amoureuse d'un adulte, c'était inimaginable. Inutile de trop continuer comme ça, de toute façon ça ne marchera jamais. J'essayais de mettre ces idées là au fond de ma tête, mais je n'y arrivais pas, ça faisait toujours surface.

Lors des vacances d'été, j'ai eu le temps de réfléchir. On était partie en famille dans un camping, où j'avais assez peu de choses à faire, apart flâner à côté de la piscine et me ballader. C'était la saison des flirts, mais de tous les garçons présents, la moitié ne parlais pas français, et l'autre moitié était bien trop lourd. J'ai passée deux semaines à me faire des amis et amies, mais rien d'autre. Deux semaines à réfléchir, loin de mon PC, loin de mon journal, et loin d'Alex. Même me masturber devenait difficile; trop de risques de me faire surprendre par les parents. J'ai donc passée deux semaines très, très calmes. J'ai quand-même réussi à me caresser de temps en temps. Prétextant être trop fatiguée pour aller me ballader, je suis rentrée à la tente pour "me reposer". Me détendre, surtout. Et à chaque fois, je voyais le visage d'Alex.

De retour à la maison, j'étais toujours en vacances, mais mes parents devaient travailler. J'avais réussi à trouver un emploi d'été dans un magasin, mais ce n'était pas pour tout l'été, et ça me laissait beaucoup de temps libre. En journée je travaillais, et en soirée mes parents étaient là, impossible de voir Alex. On discutais par ICQ toujours, et j'ai essayée d'attaquer un peu plus. "Tiens, je me suis achetée des vêtements aujourd'hui". Je me demandais comment il allait réagir. "Ah oui? Quoi donc?". Un débardeur, une chemise, une jupe écossaise et un pantalon. "Oh, j'adore les jupes écossaises, ça me fait craquer". Ok, noté. Merci pour l'info! "Tu veux voir quelques photos?". Il n'a pas tardé a répondre "Si tu veux!". Je me suis donc changée rapidement, et j'ai pris une photo avec la webcam. "T'es vraiment super belle, tu sais, ça te va super bien, j'adore!". Noté bis.

Encore une fois, mes parents étaient en déplacement tous les deux en même temps, donc je devais rester deux nuits toute seule. Comme d'habitude, pendant ce temps là, j'avais le droit d'inviter une copine à la maison, et Alex était là si besoin. Bizarrement, ma meilleure amie n'ai pas reçue l'invitation pour venir dormir chez moi (désolée!), et je me sentais seule... J'ai donc appellée Alex pour savoir si il était disponible. J'ai essayée avec une voix tristounette, et cinq minutes plus tard, il était chez moi. Je l'ai accueilli en jupe écossaise et en chemise, le coup d'oeil que j'ai eu me confirmait ce qu'il avait dit; il aimait beaucoup cette tenue. J'étais rouge, j'étais tremblante, j'étais une gamine amoureuse. J'avais 16 ans, il en avait 30. J'aurais du arrêter là. J'aurais du écouter mon raison. J'ai décidée de l'ignorer concencieusement.

Je lui ai servi quelque-chose à boire, et on est allé dans le salon pour discuter. Son travail, ses passe-temps... Je n'écoutais pas un mot, j'étais accro à sa voix, son regard, et ce petit sourire. Plus il continuait, plus j'étais triste, car plus je me disais que ce n'était pas la peine. Ana, abandonnes maintenant, c'est pas la peine. Il s'est rendu compte, et il a essayé de me faire sourire. Ca marchait, pendant quelques minutes, puis j'étais à nouveau tristounette. C'est à ce moment qu'il a décidé que le meilleur moyen serait de me chatouiller. Je suis très, très chatouilleuse. J'ai du hurler comme une gamine, et me débattre pour eviter les doigts qui me chatouillaient les côtes, et en me débattant, on est tombé par terre. J'aurais aimée dire qu'on est tombé comme dans les films; parfaitement assise sur lui, mais non. Plutôt on s'est vautré; mais j'étais quand-même sur lui. Je pense même lui avoir fait un peu mal.

J'ai réussi à me relever sur lui; il était sur le dos, et j'étais à quatre pattes sur lui. J'ai cédée à mes envies, j'ai posée mes lèvres sur les siens. Il a figé, comme tétanisé, et m'a repoussé doucement, mais fermement. Voilà, mon monde s'écroulait. Je me suis assise sur lui, et je ne pouvais plus lutter contre les larmes. Il m'a tenu par les avant bras, et m'a demandé ce qui n'allait pas. Je ne me souviens même pas ce que j'ai pu dire, mais c'était du genre "De toute façon tu as 15 ans de plus que moi, tu ne voudrais jamais de moi, je suis trop jeune". Il m'a répondu qu'il m'adorait, et que je devais faire attention, puisqu'il a toujours été attiré par les filles plus jeunes que lui. "Ouais, mais bon, quoi... Je suis une gamine pour toi". J'ai commencée à me débattre un peu; je n'avais qu'une seule envie, remonter dans ma chambre, me coller sous la couette et pleurer tout ce que je pouvais. Il m'a retenu, et j'ai même réussi à tomber à nouveau sur lui, ou presque. C'est là où il a mis sa main derrière ma tête, et m'a embrassé. C'était court, c'était simple, mais c'était un choc électrique. Il m'a regardé avec ses yeux à nouveau; pas juste les yeux, mais le regard perçant. "Voilà, rassurée?". Je me suis effondrée sur lui; je l'embrassait longuement, j'étais folle, je me laissais aller, et ça me plaisait. Ca ne donnerait probablement rien, mais ce n'est pas grave! Je voulais profiter du moment.

Je me souviens aussi que plus je l'embrassait, plus j'arrivais à sentir son érection à travers son pantalon, et à travers ma culotte. Lui n'a pas du sentir que je mouillais...

Mes doigts jouaient dans ses cheveux, ses mains étaient sur le bas de mon dos, descendant parfois sur mes fesses. Ca me faisait des chocs électriques à chaque fois. J'avais déjà embrassé un garçon au collège, mais ça n'avait rien à avoir. Il avait beaucoup plus d'expérience que moi, je me laissais aller, et j'essayais de suivre le rythme. Je sentais son envie monter en lui, quand ses mains sont passés sous ma jupe. Puis à nouveau, il a eu un moment d'hésitation, et a retiré ses mains avec un simple "désolé". "Mais de quoi?". Il a commencé a expliquer que j'étais jeune, qu'il allait peut-être trop loin, que ça serait mieux avec quelqu'un de mon âge, etc. Mon humeur faisait le yoyo; en quelques secondes, je passais de l'extase à la déprime, et à nouveau à l'extase quand il a posé ses mains sur mes fesses, sous la jupe, directement sur mon slip. Ses doigts caressaient, et j'avais vraiment envie qu'il aille plus loin.

J'ai essayée de l'inciter, pour montrer que j'étais prête. J'ai caressé son torse, et j'ai même fait quelques caresses rapides sur les cuisses. Je savais que je lui faisait effet, et je m'amusais à courber le dos pour qu'il ait une meilleure vue de ma poitrine, et il en a profité pour poser quelques bisous. Je sentais mes tétons pointer sous le tissu, je devenais ivre d'envie et d'excitation. Je l'étais encore plus quand il a commencé à prendre le dessus; il s'est relevé pour me prendre dans les bras et en profiter pour déboutonner un des boutons de mon haut. "Tu me préviens si je vais trop loin", me glissa-t-il dans l'oreille, avant de déboutonner le reste. Oh, t'inquiètes pas, je ne pense pas que t'iras trop loin! En quelques mouvements, il avait enlevé mon haut, je m'en étais à peine aperçu. Rien à avoir avec ce que j'ai pu faire avec un webcam; il savait ce qu'il faisait, et je profitais de son expérience. Il m'a regardé dans les yeux pour voir si j'avais peur, mais tout ce qu'il a vu, c'était mon excitation. En un mouvement rapide et experte, il avait dégraffé mon soutien gorge, et je l'ai laissée tomber par terre, aucunement gênée par le fait d'être à moitié nue devant lui. "Si tu savais depuis combien de temps j'ai envie de te voir comme ça...". Il s'est remis sur le dos, profitant du spectacle que je proposais. Je me suis mise à me caresser les seins. Je ne savais pas quel effet ça avait sur mes victimes sur Internet, mais maintenant, je savais. Il avait les yeux rivés sur mes seins, et il regardait attentivement chaque mouvement que je faisais, et chaque fois que je me pinçais les tétons. Je sentais son érection à travers son pantalon, alors je me suis mise à bouger mon bassin pour mieux me frotter contre sa queue. Il commençait a frémir d'envie, et je pensais que dans quelques secondes, on allait être tous les deux nus.

Encore une fois, il a arrêté, et m'a regardé dans les yeux. "Tu ne prends pas la pillule, n'est-ce pas?". J'avais envie de mentir. J'avais envie de dire "Si si, vas-y, prends-moi", mais je ne le prenais pas. Triste, j'ai secoué la tête. "Je n'ai pas de préservatifs sur moi, ils sont chez moi". J'avais peur de le laisser partir; peut-être que sur le chemin il aurait pensé à tout ceci, et aurait changé d'avis? Sa réaction m'a un peu surprise, "Mais ça t'empêche pas de prendre du plaisir! Tant pis pour moi...". Sa main s'est glissée sous ma jupe, et a commencée à me caresser la chatte à travers mon slip. J'ai failli crier de plaisir. Ce n'était pas les caresses, ce n'était même pas le fait qu'il me masturbe, c'est qu'il me touche! A mon intimité. Personne apart moi n'y avait pas touché. J'aurais du avoir peur, mais j'étais ivre d'envie. Je lui ai pris la main et je l'ai serrée fort contre ma chatte. Son doigt a trouvé mon clitoris, et a commencé à me caresser. Je frisonnait de plaisir, mais j'en voulais plus... J'ai poussé ma culotte d'un côté, laissant ma chatte exposée. Il a glissé un doigt, puis deux, en faisant des mouvements de va et vient. Ca n'avait rien à avoir avec ma brosse à cheveux! C'est lui qui faisait, à son rythme. Il m'explorait avec ses doigts. J'essayais de le regarder dans les yeux, mais la moitié du temps je regardais ma chatte, et l'autre moitié du temps j'avais les yeux fermés en train de murmurer "Oh mon Dieu, c'est trop bon!". Il ne m'a pas fallu longtemps pour jouir, la première fois que je jouisse autrement qu'en me masturbant. C'était intense, c'était long... Je tremblais de partout, je ne tenais pas assise... Il m'a serré contre lui, toujours ses doigts dans ma chatte, jusqu'à ce que j'arrête de trembler, m'embrassant doucement et me caressant le bas du dos. J'étais aux anges.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Jeudi 20 septembre 4 20 /09 /Sep 18:49

Ma dernière "rencontre" avec le feu m'avait un peu brûlée. Je voulais continuer à explorer, mais je voulais garder un peu d'anonymité. Je me sentais forte et protégée derrire mon clavier, et puisque je m'entendais si bien avec mon ordinateur, j'allais continuer comme ça. Ici, au moins, je maitrisait la situation. J'avais envie d'aller plus loin; regarder des images et des vidéos porno sur Internet, c'est une chose, mais comment faire en sorte que les gens me regardent? J'avais un webcam, j'avais Internet... Je me suis dit que je pouvais essayer comme ça. Mais comment faire, je peux pas aller dans un forum et dire "Hey, les gens, est-ce que quelqu'un veut me voir nue?". J'ai commencée à chercher un peu, mais finalement, j'étais pas obligée d'attendre longtemps. On n'est pas obligée de chercher bien loin. Netmeeting était la solution. En allant dans une salle de chat, je n'ai même pas été obligée de préciser les raisons, j'étais déjà inondée par des "t'as un cam?", ou "t'es chaude?". Bon, on va pouvoir commencer par ça. Oui, j'ai une cam, et suis-je chaude? Aucune idée... Je suis là pour le savoir. J'ai donc acceptée une demande, et nos webcams se sont allumés.

Je voyais son t-shirt, je voyais son pantalon. Je ne voyais pas sa tête, il avait placé la caméra de tel sorte à ce que je ne puisse pas le voir. J'étais un peu déçue, mais je me suis rendue compte rapidement que j'avais fait exactement la même chose; c'était ma façon de me protéger. Finalement, tu pourras voir mes sens, ma taille, mes fesses, ma chatte, mais tu ne pourras pas voir ce que j'ai de plus intime sur Internet, mon visage. Ironique, puisque pour mes amis, c'était l'inverse.

Alors, à moi de jouer. Je voulais lui demander ce qu'il voulait voir. J'étais timide, mais je n'avais pas peur. J'avais en tête l'idée que de toute façon il allait me voir nue, mais comment faire? J'étais débutante, qu'est-ce que je devais faire? Enlever mon haut et secouer mes seins? Heureusement pour moi, il a su me guider. Ca manquait de tendresse, ça manquait de tacte, mais ça m'allait très bien comme ça. "Déboutonne ton haut". D'accord, c'est parti. Je me regardais plus que je le regardais, puisque je ne pouvais pas voir sa réaction directe. J'y suis allée doucement; pas trop lentement, pas trop vite. Voilà, il est déboutonné. "Enlèves-le". D'un mouvement très peu sensuelle, j'ai réussi à le faire tomber derrière la chaise. Note pour plus tard, ne pas l'installer sur ce type de fauteuil. "Hmmm... pas mal!". Pas mal?! Mais quoi exactement, je suis ici pour apprendre! Dis-moi plus! Dis-moi ce que tu vois, ce qui te plait, aides-moi! Mais au lieu de ça, un autre ordre: "Enlèves ton soutif". Ca doit être a peu près à ce moment là que je me suis vraiment rendue compte que j'exécutais ses ordres sans discuter. Ma main est allée dans mon dos pour dégraffer mon soutien gorge, mais enlevée les bretelles, puis j'ai mis les bras croisés devant ma poitrine, pour enfin le faire tomber et d'exposer mes sens au monde. La réaction était immédiate, il a mis sa main entre ses jambes et a commencé à se caresser. A la vue de ça, mes tétons se sont durcies immédiatement. Ca y est, je sais que je fais de l'effet.

Sans rien demander, il a enlevé son t-shirt et j'ai pu voir son torse. Rien d'extraordinaire, je dois avouer, j'avais toujours les yeux rivés un peu plus bas. "Caresse-toi les seins". Si tu veux, je commence déjà à être excitée comme ça, je vais pouvoir jouer un petit peu... J'ai fait comme je faisais habituellement; la main en dessous, en remontant; caressant ma peau, et dessinant des cercles autour de mes tétons avec mes doigts. Je n'avais aucun remord, aucune crainte. Pour une première expérience, je m'attendais à pire, mais finalement, j'y prenais beaucoup de plaisir. J'ai voulu tester un peu plus; j'ai glissée une main sous mon jean. Sa réaction était immédiate; il a arrêté de se caresser pour taper sur le clavier. "Vas-y, j'aime ça, enlèves ton pantalon". Ca va pas être possible assise, je vais me mettre debout, et je verrai si je peux pas me mettre mieux pour la caméra. J'ai déboutonnée mon pantalon, et j'ai commencée à l'enlever, pour faire apparaite un slip coton blanc, ce qu'il y a de plus ordinaire. Mon partenaire, ou mon cobaye, ça dépend comment on veut voir les choses, a déboutonné son pantalon à son tour pour y glisser une main. J'ai donc fait de même; je me suis mise face à la caméra, un gros plan sur mon slip, et j'y ai glissée une main. Ma chatte était déjà humide et avait envie que d'une seule chose, et je n'allais pas le lui refuser. Faisant des mouvements suffisament grands et lents pour être vu par la caméra, j'ai commencée à me caresser. "Baisses ta culotte". J'ai continuée à me caresser. "Baisses-la!". Hmmm... Je pense être en position de pouvoir, là... Alors j'essaie quelque-chose. J'ai commencée à écrire "Enlèves tout, je ferai de même". Je crois qu'à ce jour, je n'ai toujours pas vu quelqu'un se deshabiller aussi vite. Il a bondi sur sa chaise, et a tiré sur son pantalon et son caleçon pour exposer son sexe. Un moment magique pour moi. Le voilà... Des queues, j'en avais déjà vue, mais pas comme ça. Elle était pas grosse comme dans les films que j'ai pu voir, en plus la qualitée de l'image n'était pas terrible, mais elle était "à moi"; elle était dure pour moi, et pour personne d'autre. C'est moi qui a fait ça, c'est moi qui lui donne envie... Bon, chose promise, chose dûe. Sans qu'il ait à me demander, j'ai mis les mains sur les hanches pour baisser mon slip. Me voici exposée à un inconnu.

Je ne me regardais plus maintenant, je ne regardais que lui, ou du moins, sa queue. Il l'avait pris dans une main, et en faisant des mouvements de va et vient, se masturbait rapidement. J'ai glissée un doigt dans ma chatte, puis deux, plutôt pour l'occuper que pour vraiment me masturber. J'étais fascinée par ce que je voyais. Pour moi c'était à la limite de la brutalité; ce mouvement incessant qui me donnait presque mal pour lui, mais je le voyais, sans ralentir, sans hésitation... Je me concentrais sur ce que je voyais, et sa réaction. Il fait tout ça à cause de moi, car je me suis déshabillée pour lui. J'ai ce pouvoir. J'étais ivre d'envie d'aller plus loin. Une ou deux minutes après, il a changé de rythme. Je l'ai vu ralentir, puis je l'ai vu jouir. Ce sperme qui coulait de sa queue, c'était presque une trophée pour moi. J'ai réussi à faire en sorte qu'il jouisse! J'étais fière de moi. J'avais tant de questions à lui poser, savoir comment il se sentait, savoir ce qu'il a aimé. J'avais pris le rôle d'une scientifique en quête de recherche, mais mon expérience s'est juste essuyé les mains, puis a écrit "Merci, a plus" puis est parti, me laissant nue, seule, et sans avoir eu d'orgasme à mon tour. Je savais pas quoi penser. Il a coupé, net, sans rien dire. Je n'avais pas mes réponses! Un peu bredouille, je me suis allongée sur le lit, me caressant doucement, encore une fois plutôt pour occuper ma chatte plus qu'autre chose. J'étais en train de réfléchir sur ce qui venait d'arriver. Au bout d'une demi-heure, je suis arrivée à une conclusion - ça me plaisait, et j'en voulais plus. Mais je me demandais - qu'est-ce qui serait passé si il avait parlé? Si on s'était revu sur le chat? Peut-être à cause de ça, je suis revenue assez souvent sur le chat, toujours en mode scientifique. J'y allais pour étudier, mais c'était rare que je prenne du plaisir pendant, mais plutôt après. Parfois la personne me demandait d'aller jusqu'au bout. Je le faisais, mais je savais que ça serait meilleure après, seule. On m'a pris pour un objet, on m'a donné des ordres, on m'a dit quoi faire, et on m'a regardé. Ce que les garçons ne savaient pas, c'est que c'était l'inverse. Eux étaient des objets pour moi; je n'y pretais aucune attachement, je n'avais pas envie de revoir les mêmes personnes, j'étudiais simplement les réaction des gens. Mon journal a grossi de plus en plus.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 19:38

J'avais 15 ans, et je commençais à découvrir mon corps de plus en plus. Mes formes étaient visibles, et ça me plaisait. Je continuais toujours mon journal, et je continuais à prendre des photos de moi. Parfois je m'amusais à regarder dans le passé pour voir ce qui avait changé. Mes seins, surtout, commençaient vraiment à grossir, et je voyais bien que les garçons au lycée n'étaient pas indifférents. Je pensais que je pouvais plaire; avec un décolleté et une jupe (mais pas "trop"; à l'époque on ne pouvait pas s'habiller comme aujourd'hui, on a bien changé depuis!). Je savais que je plaisais aux garçons, je me demandais si je plaisais aux filles, mais les hommes? Je ne pensais pas qu'ils me regarderaient ne serais-ce qu'une fraction de seconde. Dans les films, l'héroïne a 25 ans, mais sur les vidéos X, c'était autre chose... La fantasme de l'écolière revenait souvent, et je m'imaginais en tel. Est-ce que ce seraient mes camarades de classe qui feraient le premier pas? Oui serais-je retenue par le professeur
pour des cours particuliers? C'est avec ce fantasme que j'ai commencée à réfléchir à ce que les hommes pouvaient penser. J'aurais pu demander à Alex, mais j'étais timide... Je voulais savoir, mais je le ferai autrement.

Quand on le croisait, je le regardais fixement, et j'étudiais ses réactions. Très vite il a été gêné; je le voyais rougir quand je le fixais de trop, donc j'ai été plus discrète. Et effectivement, Il avait tendance à regarder dans mon décolleté et aussi mes jambes. J'avais envie d'aller un peu plus loin, mais devant les parents, c'était difficile. Je ne pense pas qu'ils auraient appréciés. Donc j'ai du faire autrement. Les occasions rêvés étaient les mercredi après-midis quand il était disponble (ce qui n'arrivait pas tout le temps). J'avais souvent des soucis en maths ou en anglais, des sujets qu'il maitrise. Je prétextait un souci scolaire, et que j'avais besoin d'un coup de main pour m'aider. Bizarrement, il préférait se libérer l'après-midi, plutôt que de venir le soir. Je l'avais pour moi toute seule dans la maison!

Quand je savais qu'il venait, je m'habillais autrement. Les jupes étaient plus courtes, et les hauts plus serrés. En y réfléchissant, je n'étais pas bien discrète, mais c'était un jeu pour moi, en territoire inconnue, alors je m'amusais, et je testais. Un jour je suis allée bien trop loin; la jupe n'étais pas trop courte ou le décolleté trop ouvert, mais ma façon de me tenir a peut-être trahi mes intentions. C'est à ce moment là que je l'ai connu, son regard. En un coup d'oeil, j'étais nue. J'avais toujours mes vêtements, mais son regard voyait à travers. C'est difficile à expliquer, mais je me sentais vulnerable, nue, je sentais que je n'avais pas de secrets, pas d'intimité, et je sentais presque ma peau chauffer là où il regardait. J'ai pris un peu peur à ce moment là, je ne l'ai pas montré, mais ça m'a fait réfléchir sur ma façon de jouer.

Le soir même, j'y ai beaucoup réfléchi. Quelques heures après ce qui s'était passé, je m'étais rendue compte de ce que ça m'avait vraiment fait. Oui, je me sentais nue, oui, je me sentais vulnerable, mais je me sentais désirée, et très, très excitée. Ma chatte me chatouillait pendant des heures après, et je ne pouvais pas le laisser comme ça... Je me suis caressée, en pensant à ce qui s'était passé, et a ce qui aurait pu se passer. Et si je m'étais déshabillée devant lui? Et si il m'avait pris avec ses mains... Ses mains... Ca y est, je commençais a fantasmer sur ses mains; ses mains sur mon corps, mes seins, mes cuisses... Je me caressait, et j'imaginais que c'était ses mains qui me caressaient. J'ai eu quelques orgasmes les plus puissants que j'ai connu jusqu'à là. Puis c'est là que j'ai fait la plus grosse erreur jusqu'à là... J'ai tout écrit dans mon journal.

Par Ana - Publié dans : Histoire
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