L'Initiation d'Ana
Je continuais toujours mes expériences sur Internet, et je pense même que je commençais à être assez connue dans le chat. Quand j'avais envie de tester, je trouvais toujours quelqu'un pour servir
de cobaye. En parallèle, je voyais toujours Alex, mais je m'étais un petit peu calmée sur l'excitation. Je demandais toujours un coup de main, mais ça devenait de vrais coups de main. Parfois le
décolleté était un peu plus ouvert, façon de le motiver et de le remercier, mais c'est tout. Ca n'empêche pas que quand je fermais les yeux, je pensais à lui. Ce qui m'inquiétais, c'est que je
pensais à lui nu, mais pas que. Je commençais à avoir de vrais sentiments pour lui. Une petite gamine qui tombe amoureuse d'un adulte, c'était inimaginable. Inutile de trop continuer comme ça, de
toute façon ça ne marchera jamais. J'essayais de mettre ces idées là au fond de ma tête, mais je n'y arrivais pas, ça faisait toujours surface.
Lors des vacances d'été, j'ai eu le temps de réfléchir. On était partie en famille dans un camping, où j'avais assez peu de choses à faire, apart flâner à côté de la piscine et me ballader.
C'était la saison des flirts, mais de tous les garçons présents, la moitié ne parlais pas français, et l'autre moitié était bien trop lourd. J'ai passée deux semaines à me faire des amis et
amies, mais rien d'autre. Deux semaines à réfléchir, loin de mon PC, loin de mon journal, et loin d'Alex. Même me masturber devenait difficile; trop de risques de me faire surprendre par les
parents. J'ai donc passée deux semaines très, très calmes. J'ai quand-même réussi à me caresser de temps en temps. Prétextant être trop fatiguée pour aller me ballader, je suis rentrée à la tente
pour "me reposer". Me détendre, surtout. Et à chaque fois, je voyais le visage d'Alex.
De retour à la maison, j'étais toujours en vacances, mais mes parents devaient travailler. J'avais réussi à trouver un emploi d'été dans un magasin, mais ce n'était pas pour tout l'été, et ça me
laissait beaucoup de temps libre. En journée je travaillais, et en soirée mes parents étaient là, impossible de voir Alex. On discutais par ICQ toujours, et j'ai essayée d'attaquer un peu plus.
"Tiens, je me suis achetée des vêtements aujourd'hui". Je me demandais comment il allait réagir. "Ah oui? Quoi donc?". Un débardeur, une chemise, une jupe écossaise et un pantalon. "Oh, j'adore
les jupes écossaises, ça me fait craquer". Ok, noté. Merci pour l'info! "Tu veux voir quelques photos?". Il n'a pas tardé a répondre "Si tu veux!". Je me suis donc changée rapidement, et j'ai
pris une photo avec la webcam. "T'es vraiment super belle, tu sais, ça te va super bien, j'adore!". Noté bis.
Encore une fois, mes parents étaient en déplacement tous les deux en même temps, donc je devais rester deux nuits toute seule. Comme d'habitude, pendant ce temps là, j'avais le droit d'inviter
une copine à la maison, et Alex était là si besoin. Bizarrement, ma meilleure amie n'ai pas reçue l'invitation pour venir dormir chez moi (désolée!), et je me sentais seule... J'ai donc appellée
Alex pour savoir si il était disponible. J'ai essayée avec une voix tristounette, et cinq minutes plus tard, il était chez moi. Je l'ai accueilli en jupe écossaise et en chemise, le coup d'oeil
que j'ai eu me confirmait ce qu'il avait dit; il aimait beaucoup cette tenue. J'étais rouge, j'étais tremblante, j'étais une gamine amoureuse. J'avais 16 ans, il en avait 30. J'aurais du arrêter
là. J'aurais du écouter mon raison. J'ai décidée de l'ignorer concencieusement.
Je lui ai servi quelque-chose à boire, et on est allé dans le salon pour discuter. Son travail, ses passe-temps... Je n'écoutais pas un mot, j'étais accro à sa voix, son regard, et ce petit
sourire. Plus il continuait, plus j'étais triste, car plus je me disais que ce n'était pas la peine. Ana, abandonnes maintenant, c'est pas la peine. Il s'est rendu compte, et il a essayé de me
faire sourire. Ca marchait, pendant quelques minutes, puis j'étais à nouveau tristounette. C'est à ce moment qu'il a décidé que le meilleur moyen serait de me chatouiller. Je suis très, très
chatouilleuse. J'ai du hurler comme une gamine, et me débattre pour eviter les doigts qui me chatouillaient les côtes, et en me débattant, on est tombé par terre. J'aurais aimée dire qu'on est
tombé comme dans les films; parfaitement assise sur lui, mais non. Plutôt on s'est vautré; mais j'étais quand-même sur lui. Je pense même lui avoir fait un peu mal.
J'ai réussi à me relever sur lui; il était sur le dos, et j'étais à quatre pattes sur lui. J'ai cédée à mes envies, j'ai posée mes lèvres sur les siens. Il a figé, comme tétanisé, et m'a repoussé
doucement, mais fermement. Voilà, mon monde s'écroulait. Je me suis assise sur lui, et je ne pouvais plus lutter contre les larmes. Il m'a tenu par les avant bras, et m'a demandé ce qui n'allait
pas. Je ne me souviens même pas ce que j'ai pu dire, mais c'était du genre "De toute façon tu as 15 ans de plus que moi, tu ne voudrais jamais de moi, je suis trop jeune". Il m'a répondu qu'il
m'adorait, et que je devais faire attention, puisqu'il a toujours été attiré par les filles plus jeunes que lui. "Ouais, mais bon, quoi... Je suis une gamine pour toi". J'ai commencée à me
débattre un peu; je n'avais qu'une seule envie, remonter dans ma chambre, me coller sous la couette et pleurer tout ce que je pouvais. Il m'a retenu, et j'ai même réussi à tomber à nouveau sur
lui, ou presque. C'est là où il a mis sa main derrière ma tête, et m'a embrassé. C'était court, c'était simple, mais c'était un choc électrique. Il m'a regardé avec ses yeux à nouveau; pas juste
les yeux, mais le regard perçant. "Voilà, rassurée?". Je me suis effondrée sur lui; je l'embrassait longuement, j'étais folle, je me laissais aller, et ça me plaisait. Ca ne donnerait
probablement rien, mais ce n'est pas grave! Je voulais profiter du moment.
Je me souviens aussi que plus je l'embrassait, plus j'arrivais à sentir son érection à travers son pantalon, et à travers ma culotte. Lui n'a pas du sentir que je mouillais...
Mes doigts jouaient dans ses cheveux, ses mains étaient sur le bas de mon dos, descendant parfois sur mes fesses. Ca me faisait des chocs électriques à chaque fois. J'avais déjà embrassé un
garçon au collège, mais ça n'avait rien à avoir. Il avait beaucoup plus d'expérience que moi, je me laissais aller, et j'essayais de suivre le rythme. Je sentais son envie monter en lui, quand
ses mains sont passés sous ma jupe. Puis à nouveau, il a eu un moment d'hésitation, et a retiré ses mains avec un simple "désolé". "Mais de quoi?". Il a commencé a expliquer que j'étais jeune,
qu'il allait peut-être trop loin, que ça serait mieux avec quelqu'un de mon âge, etc. Mon humeur faisait le yoyo; en quelques secondes, je passais de l'extase à la déprime, et à nouveau à
l'extase quand il a posé ses mains sur mes fesses, sous la jupe, directement sur mon slip. Ses doigts caressaient, et j'avais vraiment envie qu'il aille plus loin.
J'ai essayée de l'inciter, pour montrer que j'étais prête. J'ai caressé son torse, et j'ai même fait quelques caresses rapides sur les cuisses. Je savais que je lui faisait effet, et je m'amusais
à courber le dos pour qu'il ait une meilleure vue de ma poitrine, et il en a profité pour poser quelques bisous. Je sentais mes tétons pointer sous le tissu, je devenais ivre d'envie et
d'excitation. Je l'étais encore plus quand il a commencé à prendre le dessus; il s'est relevé pour me prendre dans les bras et en profiter pour déboutonner un des boutons de mon haut. "Tu me
préviens si je vais trop loin", me glissa-t-il dans l'oreille, avant de déboutonner le reste. Oh, t'inquiètes pas, je ne pense pas que t'iras trop loin! En quelques mouvements, il avait enlevé
mon haut, je m'en étais à peine aperçu. Rien à avoir avec ce que j'ai pu faire avec un webcam; il savait ce qu'il faisait, et je profitais de son expérience. Il m'a regardé dans les yeux pour
voir si j'avais peur, mais tout ce qu'il a vu, c'était mon excitation. En un mouvement rapide et experte, il avait dégraffé mon soutien gorge, et je l'ai laissée tomber par terre, aucunement
gênée par le fait d'être à moitié nue devant lui. "Si tu savais depuis combien de temps j'ai envie de te voir comme ça...". Il s'est remis sur le dos, profitant du spectacle que je proposais. Je
me suis mise à me caresser les seins. Je ne savais pas quel effet ça avait sur mes victimes sur Internet, mais maintenant, je savais. Il avait les yeux rivés sur mes seins, et il regardait
attentivement chaque mouvement que je faisais, et chaque fois que je me pinçais les tétons. Je sentais son érection à travers son pantalon, alors je me suis mise à bouger mon bassin pour mieux me
frotter contre sa queue. Il commençait a frémir d'envie, et je pensais que dans quelques secondes, on allait être tous les deux nus.
Encore une fois, il a arrêté, et m'a regardé dans les yeux. "Tu ne prends pas la pillule, n'est-ce pas?". J'avais envie de mentir. J'avais envie de dire "Si si, vas-y, prends-moi", mais je ne le
prenais pas. Triste, j'ai secoué la tête. "Je n'ai pas de préservatifs sur moi, ils sont chez moi". J'avais peur de le laisser partir; peut-être que sur le chemin il aurait pensé à tout ceci, et
aurait changé d'avis? Sa réaction m'a un peu surprise, "Mais ça t'empêche pas de prendre du plaisir! Tant pis pour moi...". Sa main s'est glissée sous ma jupe, et a commencée à me caresser la
chatte à travers mon slip. J'ai failli crier de plaisir. Ce n'était pas les caresses, ce n'était même pas le fait qu'il me masturbe, c'est qu'il me touche! A mon intimité. Personne apart moi n'y
avait pas touché. J'aurais du avoir peur, mais j'étais ivre d'envie. Je lui ai pris la main et je l'ai serrée fort contre ma chatte. Son doigt a trouvé mon clitoris, et a commencé à me caresser.
Je frisonnait de plaisir, mais j'en voulais plus... J'ai poussé ma culotte d'un côté, laissant ma chatte exposée. Il a glissé un doigt, puis deux, en faisant des mouvements de va et vient. Ca
n'avait rien à avoir avec ma brosse à cheveux! C'est lui qui faisait, à son rythme. Il m'explorait avec ses doigts. J'essayais de le regarder dans les yeux, mais la moitié du temps je regardais
ma chatte, et l'autre moitié du temps j'avais les yeux fermés en train de murmurer "Oh mon Dieu, c'est trop bon!". Il ne m'a pas fallu longtemps pour jouir, la première fois que je jouisse
autrement qu'en me masturbant. C'était intense, c'était long... Je tremblais de partout, je ne tenais pas assise... Il m'a serré contre lui, toujours ses doigts dans ma chatte, jusqu'à ce que
j'arrête de trembler, m'embrassant doucement et me caressant le bas du dos. J'étais aux anges.