L'Initiation d'Ana

Ma dernière "rencontre" avec le feu m'avait un peu brûlée. Je voulais continuer à explorer, mais je voulais garder un peu d'anonymité. Je me sentais forte et protégée derrire mon clavier, et puisque je m'entendais si bien avec mon ordinateur, j'allais continuer comme ça. Ici, au moins, je maitrisait la situation. J'avais envie d'aller plus loin; regarder des images et des vidéos porno sur Internet, c'est une chose, mais comment faire en sorte que les gens me regardent? J'avais un webcam, j'avais Internet... Je me suis dit que je pouvais essayer comme ça. Mais comment faire, je peux pas aller dans un forum et dire "Hey, les gens, est-ce que quelqu'un veut me voir nue?". J'ai commencée à chercher un peu, mais finalement, j'étais pas obligée d'attendre longtemps. On n'est pas obligée de chercher bien loin. Netmeeting était la solution. En allant dans une salle de chat, je n'ai même pas été obligée de préciser les raisons, j'étais déjà inondée par des "t'as un cam?", ou "t'es chaude?". Bon, on va pouvoir commencer par ça. Oui, j'ai une cam, et suis-je chaude? Aucune idée... Je suis là pour le savoir. J'ai donc acceptée une demande, et nos webcams se sont allumés.

Je voyais son t-shirt, je voyais son pantalon. Je ne voyais pas sa tête, il avait placé la caméra de tel sorte à ce que je ne puisse pas le voir. J'étais un peu déçue, mais je me suis rendue compte rapidement que j'avais fait exactement la même chose; c'était ma façon de me protéger. Finalement, tu pourras voir mes sens, ma taille, mes fesses, ma chatte, mais tu ne pourras pas voir ce que j'ai de plus intime sur Internet, mon visage. Ironique, puisque pour mes amis, c'était l'inverse.

Alors, à moi de jouer. Je voulais lui demander ce qu'il voulait voir. J'étais timide, mais je n'avais pas peur. J'avais en tête l'idée que de toute façon il allait me voir nue, mais comment faire? J'étais débutante, qu'est-ce que je devais faire? Enlever mon haut et secouer mes seins? Heureusement pour moi, il a su me guider. Ca manquait de tendresse, ça manquait de tacte, mais ça m'allait très bien comme ça. "Déboutonne ton haut". D'accord, c'est parti. Je me regardais plus que je le regardais, puisque je ne pouvais pas voir sa réaction directe. J'y suis allée doucement; pas trop lentement, pas trop vite. Voilà, il est déboutonné. "Enlèves-le". D'un mouvement très peu sensuelle, j'ai réussi à le faire tomber derrière la chaise. Note pour plus tard, ne pas l'installer sur ce type de fauteuil. "Hmmm... pas mal!". Pas mal?! Mais quoi exactement, je suis ici pour apprendre! Dis-moi plus! Dis-moi ce que tu vois, ce qui te plait, aides-moi! Mais au lieu de ça, un autre ordre: "Enlèves ton soutif". Ca doit être a peu près à ce moment là que je me suis vraiment rendue compte que j'exécutais ses ordres sans discuter. Ma main est allée dans mon dos pour dégraffer mon soutien gorge, mais enlevée les bretelles, puis j'ai mis les bras croisés devant ma poitrine, pour enfin le faire tomber et d'exposer mes sens au monde. La réaction était immédiate, il a mis sa main entre ses jambes et a commencé à se caresser. A la vue de ça, mes tétons se sont durcies immédiatement. Ca y est, je sais que je fais de l'effet.

Sans rien demander, il a enlevé son t-shirt et j'ai pu voir son torse. Rien d'extraordinaire, je dois avouer, j'avais toujours les yeux rivés un peu plus bas. "Caresse-toi les seins". Si tu veux, je commence déjà à être excitée comme ça, je vais pouvoir jouer un petit peu... J'ai fait comme je faisais habituellement; la main en dessous, en remontant; caressant ma peau, et dessinant des cercles autour de mes tétons avec mes doigts. Je n'avais aucun remord, aucune crainte. Pour une première expérience, je m'attendais à pire, mais finalement, j'y prenais beaucoup de plaisir. J'ai voulu tester un peu plus; j'ai glissée une main sous mon jean. Sa réaction était immédiate; il a arrêté de se caresser pour taper sur le clavier. "Vas-y, j'aime ça, enlèves ton pantalon". Ca va pas être possible assise, je vais me mettre debout, et je verrai si je peux pas me mettre mieux pour la caméra. J'ai déboutonnée mon pantalon, et j'ai commencée à l'enlever, pour faire apparaite un slip coton blanc, ce qu'il y a de plus ordinaire. Mon partenaire, ou mon cobaye, ça dépend comment on veut voir les choses, a déboutonné son pantalon à son tour pour y glisser une main. J'ai donc fait de même; je me suis mise face à la caméra, un gros plan sur mon slip, et j'y ai glissée une main. Ma chatte était déjà humide et avait envie que d'une seule chose, et je n'allais pas le lui refuser. Faisant des mouvements suffisament grands et lents pour être vu par la caméra, j'ai commencée à me caresser. "Baisses ta culotte". J'ai continuée à me caresser. "Baisses-la!". Hmmm... Je pense être en position de pouvoir, là... Alors j'essaie quelque-chose. J'ai commencée à écrire "Enlèves tout, je ferai de même". Je crois qu'à ce jour, je n'ai toujours pas vu quelqu'un se deshabiller aussi vite. Il a bondi sur sa chaise, et a tiré sur son pantalon et son caleçon pour exposer son sexe. Un moment magique pour moi. Le voilà... Des queues, j'en avais déjà vue, mais pas comme ça. Elle était pas grosse comme dans les films que j'ai pu voir, en plus la qualitée de l'image n'était pas terrible, mais elle était "à moi"; elle était dure pour moi, et pour personne d'autre. C'est moi qui a fait ça, c'est moi qui lui donne envie... Bon, chose promise, chose dûe. Sans qu'il ait à me demander, j'ai mis les mains sur les hanches pour baisser mon slip. Me voici exposée à un inconnu.

Je ne me regardais plus maintenant, je ne regardais que lui, ou du moins, sa queue. Il l'avait pris dans une main, et en faisant des mouvements de va et vient, se masturbait rapidement. J'ai glissée un doigt dans ma chatte, puis deux, plutôt pour l'occuper que pour vraiment me masturber. J'étais fascinée par ce que je voyais. Pour moi c'était à la limite de la brutalité; ce mouvement incessant qui me donnait presque mal pour lui, mais je le voyais, sans ralentir, sans hésitation... Je me concentrais sur ce que je voyais, et sa réaction. Il fait tout ça à cause de moi, car je me suis déshabillée pour lui. J'ai ce pouvoir. J'étais ivre d'envie d'aller plus loin. Une ou deux minutes après, il a changé de rythme. Je l'ai vu ralentir, puis je l'ai vu jouir. Ce sperme qui coulait de sa queue, c'était presque une trophée pour moi. J'ai réussi à faire en sorte qu'il jouisse! J'étais fière de moi. J'avais tant de questions à lui poser, savoir comment il se sentait, savoir ce qu'il a aimé. J'avais pris le rôle d'une scientifique en quête de recherche, mais mon expérience s'est juste essuyé les mains, puis a écrit "Merci, a plus" puis est parti, me laissant nue, seule, et sans avoir eu d'orgasme à mon tour. Je savais pas quoi penser. Il a coupé, net, sans rien dire. Je n'avais pas mes réponses! Un peu bredouille, je me suis allongée sur le lit, me caressant doucement, encore une fois plutôt pour occuper ma chatte plus qu'autre chose. J'étais en train de réfléchir sur ce qui venait d'arriver. Au bout d'une demi-heure, je suis arrivée à une conclusion - ça me plaisait, et j'en voulais plus. Mais je me demandais - qu'est-ce qui serait passé si il avait parlé? Si on s'était revu sur le chat? Peut-être à cause de ça, je suis revenue assez souvent sur le chat, toujours en mode scientifique. J'y allais pour étudier, mais c'était rare que je prenne du plaisir pendant, mais plutôt après. Parfois la personne me demandait d'aller jusqu'au bout. Je le faisais, mais je savais que ça serait meilleure après, seule. On m'a pris pour un objet, on m'a donné des ordres, on m'a dit quoi faire, et on m'a regardé. Ce que les garçons ne savaient pas, c'est que c'était l'inverse. Eux étaient des objets pour moi; je n'y pretais aucune attachement, je n'avais pas envie de revoir les mêmes personnes, j'étudiais simplement les réaction des gens. Mon journal a grossi de plus en plus.

Jeu 20 sep 2012 Aucun commentaire